Sondage sur la sensibilisation du public aux méfaits liés à l'alcool

Rapport final

Préparé pour Santé Canada

Nom du fournisseur : Nanos Research
Numéro de contrat : CW2242531
Valeur du contrat : 296 738,57 $ (incluant la TVH)
Date d'attribution : 2022-09-07
Date de livraison : 2023-08-02

Numéro d'enregistrement : POR-055-22

Pour plus d'informations sur ce rapport, veuillez contacter Santé Canada à l'adresse suivante : HC.cpab.por-rop.dgcap.SC@canada.ca.

This report is also available in English.

Sondage sur la sensibilisation du public aux méfaits liés à l'alcool

Rapport final

Préparé pour Santé Canada par Nanos Research

Août 2023

Cette publication ne peut être reproduite qu'à des fins non commerciales. Une autorisation écrite préalable doit être obtenue auprès de Santé Canada. Pour plus d'informations sur ce rapport, veuillez contacter Santé Canada à l'adresse suivante : HC.cpab.por-rop.dgcap.SC@canada.ca.

© Sa Majesté le Roi du chef du Canada, représenté par le ministre des Services publics et Approvisionnement Canada, 2023.

Direction générale des communications
Santé Canada
200, Promenade Eglantine
AL 1915C, Pré Tunney
Ottawa, ON K1A 0K9

Numéro de catalogue : H14-460/2023F-PDF
Numéro international normalisé du livre (ISBN) : 978-0-660-68101-6

Also available in English under the title Public Awareness of Alcohol-related Harms Survey.

Numéro de catalogue : H14-460/2023F-PDF
Numéro international normalisé du livre (ISBN) : 978-0-660-68102-3

Table de Matières

Sommaire de gestion

A. Contexte et objectifs

L'alcool est une substance psychoactive légale et populaire qui revêt une importance particulière sur le plan social et culturel au Canada comme dans de nombreuses régions du monde. De nombreux Canadiens associent la consommation d'alcool à des événements sociaux agréables, comme des festivals de musique, des fêtes, regarder des événements sportifs et/ou pour relaxer ou à faire face à des situations difficiles. Notre société tolère, soutient et, dans certains cas, encourage la consommation d'alcool, par exemple par le biais de promotions sur les « boissons du jour » et de prix de vente sur certaines marques. L'alcool joue également un rôle important dans l'économie canadienne, générant des emplois et des revenus fiscaux pour les gouvernements.

Bien que l'alcool soit socialement accepté et que sa consommation soit largement tolérée et encouragée, particulièrement par rapport à d'autres substances, celle-ci a l'une des plus importantes répercussions sur la santé et le bien-être des Canadiens par rapport aux autres substances. En 2020, il y a eu plus de 17 000 décès liés à la consommation d'alcool et 652 000 visites aux urgences au Canada, incluant des décès dus à des surdoses d'alcool et à la conduite avec facultés affaiblies[i]. L'alcool est la substance la plus coûteuse, avec des coûts de 19,67 milliards de dollars pour la société canadienne en termes de coûts directs de soins de santé, d'application de la loi et de la perte de productivité[1]. Bien que davantage de décès puissent être attribués au tabagisme, la consommation d'alcool est celle qui coûte le plus cher, car elle peut être attribuée à des blessures et à des décès à un plus jeune âge et est donc responsable de la perte d'un plus grand nombre d'années de vie productive. En 2020, la consommation d'alcool représentait le coût le plus important pour le système de justice pénale, soit près de 4,0 milliards de dollars, équivalent à 39,8 % des coûts pour le système de justice pénale[ii]. Les données démontrent que la consommation d'alcool constitue un grave problème de santé publique qui a d'importantes répercussions sur les Canadiens.

Les coûts et les méfaits de la consommation d'alcool sont bien documentés, et 75 % des Canadiens comprennent généralement que la consommation d'alcool peut augmenter le risque de développer des problèmes de santé graves[viii]. Cependant, il existe peu de données nationales disponibles sur la sensibilisation des Canadiens aux méfaits spécifiquement attribués à l'alcool. Par exemple, un sondage mené en 2017-2018 au Yukon et dans les Territoires du Nord-Ouest a démontré un faible niveau de connaissances générales concernant les risques pour la santé liés à la consommation d'alcool, avec seulement 23 % étant conscients que l'alcool augmentait le risque de cancer du sein[ix]. Selon un rapport de recherche sur l'opinion publique de 2019, seulement 32 % des répondants étaient familiers avec les directives de consommation d'alcool à faible risque du Canada, et seulement environ la moitié des personnes interrogées savaient à quoi correspondait un verre standard de bière[x]. Compte tenu de ce qui précède, cette initiative fournira une analyse nationale exhaustive et à jour de la sensibilisation des Canadiens aux méfaits spécifiques de l'alcool.

Buts et objectifs

L'objectif global de la recherche est d'établir les points de référence de l'opinion et des connaissances des Canadiens concernant l'alcool et les risques associés à sa consommation.

Les objectifs spécifiques de la recherche étaient les suivants :

B. Méthodologie

Le sondage est composé de 9,812 Canadiens, âgés de 16 ans et plus. Le sondage a été mené partout au Canada dans chaque province et territoire entre le 13 février et le 30 juin 2023.

L'échantillon du sondage a été tiré de deux sources :

L'échantillon résultant comprend des Canadiens qui ont tous été recrutés au hasard par téléphone. Il s'agit donc d'un échantillon probabiliste qui permet d'associer une marge d'erreur à la recherche. L'échantillon probabiliste recruté au hasard a une marge d'erreur de +/-1,0 % à un intervalle de confiance de 95 %. Les résultats sont pondérés en fonction des proportions de population par région, âge et sexe du recensement de 2021. Des tests du chi carré ont été utilisés pour comparer les sous-groupes à l'échantillon restant (par exemple, l'Ontario par rapport au reste du Canada; les 16 à 19 ans par rapport au reste du Canada; les femmes par rapport aux hommes).

Tous les répondants ont pris part au sondage auto-administré en ligne. Veuillez consulter l'annexe A pour la méthodologie détaillée.

C. Valeur du contrat

La valeur du contrat était de 296 738,57 $ (TVH incluse).

Nom du fournisseur : Nanos Research
Numéro de contrat de TPSGC : CW2242531
Date du contrat d'origine : 2022-09-07

Pour plus d'informations, veuillez contacter le ministère à HC.cpab.por-rop.dgcap.SC@canada.ca.

D. Déclaration de neutralité politique et coordonnées

Cette attestation doit être soumise avec le rapport final soumis au chargé de projet.

Je certifie, en tant que représentant de Nanos Research, que les produits livrables sont entièrement conformes aux exigences de neutralité politique du gouvernement du Canada énoncées dans la Politique sur les communications et l'identité fédérale et la Directive sur la gestion des communications du gouvernement du Canada. Plus précisément, les livrables n'incluent pas d'informations sur les intentions de vote, les préférences des partis politiques, la position des partis auprès de l'électorat ou les évaluations de la performance d'un parti politique ou de ses dirigeants.

Nik Nanos
Scientifique en chef des données et Président
Nanos Research
nik@nanos.co
613‑234‑4666 poste 237

E. Principales conclusions

Niveau de sensibilisation des campagnes d'éducation à propos de l'usage de l'alcool

Les répondants ont déclaré le plus souvent avoir vu ou entendu des campagnes d'éducation ou des messages de santé ou sécurité publique au sujet de l'alcool à la télévision/radio (59 %), suivis par les médias sociaux (25 %), les journaux ou magazines (25 %), des affiches ou panneaux publicitaires (20 %), dans des établissements de soins de santé (17 %), à l'intérieur/ l'extérieur de magasins qui vendent de l'alcool (16 %) et via des sites Web autre que les médias sociaux (11 %) au cours des 12 derniers mois. Dix-neuf pour cent (19 %) ont déclaré n'avoir remarqué aucune campagne d'éducation ni aucun message de santé publique.

Connaissance des Directives de consommation d'alcool (DCA)

Une majorité disent avoir entendu parler ou connaître les « Directives de consommation d'alcool à faible risque du Canada » ou des « Repères canadiens sur l'alcool et la santé » (59 %), tandis que trois sur dix (35 %) déclarent ne pas en avoir entendu parler et sept pour cent des répondants disent ne pas le savoir.

Les répondants qui ont dit connaître les directives de consommation ont le plus souvent déclaré avoir entendu parler de ces directives pour la première fois à la télévision/radio (61 %), suivi par les journaux ou magazines (12 %), les médias sociaux (8 %), les sites Web autres que les médias sociaux (7%) et le bouche à oreille (3%).

Connaissance des mesures de verre standard (MVS)

Plus de quatre répondants sur dix (41 %) ont choisi le vin comme alcool qu'ils consomment habituellement, tandis que plus d'un répondant sur quatre a choisi la bière (27 %), plus d'un sur cinq a choisi les spiritueux (21 %) et sept pour cent ont sélectionné le cidre/coolers.

Trois répondants sur cinq (60 %) ont dit avoir entendu parler du terme « verre standard ».

Lorsqu'on leur présente l'image d'une bouteille de l'alcool qu'ils disent boire habituellement, les buveurs de bière ont, en moyenne, répondu correctement qu'une bouteille contient un verre standard (moyenne de 1,2). Tandis que, ceux qui boivent des cidres/coolers ont déclaré en moyenne que la bouteille illustrée en contient un verre standard et demi (moyenne de 1,5 – la bonne réponse étant de 1 verre). La moyenne des buveurs de vin a déclaré, à tort, que la bouteille de vin présentée contenait six verres standards (moyenne de 6,3 – la bonne réponse étant de 5 verres), et ceux qui disent boire habituellement des spiritueux ont déclaré incorrectement, en moyenne, que la bouteille de spiritueux présenté contenait 22 verres standard (la réponse correcte étant de 17 boissons).

Comportements autodéclarés de consommation d'alcool

Au cours d'une semaine typique, les répondants étaient plus susceptibles de déclarer boire davantage la fin de semaine plutôt qu'en semaine. En moyenne, ils disent boire le plus les samedis (moyenne de 1,6 verre), suivis des vendredis (moyenne de 1,3 verre) et des dimanches (0,7 verre). Au cours d'une semaine typique, les répondants disent avoir bu, en moyenne, moins d'un verre les lundis (0,4 verre), les mardis (0,4 verre), les mercredis (0,5 verre) et les jeudis (0,5 verre).

Connaissance des risques de l'alcool sur la santé

Dans l'ensemble, plus de huit répondants sur dix pensent que la consommation de tout nombre de verres standard (au moins 1 à 2 verres standard d'alcool) par semaine augmente les risques de complications pour le fœtus pendant la grossesse (84 %). Une plus grande proportion de répondants pense que le risques de complications pour le fœtus pendant la grossesse augmente avec la consommation de 3 à 6 verres standard d'alcool par semaine (92 %) ou de 7 verres standard ou plus par semaine (95 %).

Environ trois répondants sur dix pensent que boire 1 à 2 verres standards par semaine augmente le risque de plusieurs cancers (du côlon, de la gorge, du sein et de la bouche). Cela augmente à environ quatre sur dix répondants pour 3 à 6 verres standards par semaine et à environ un sur deux pour 7 verres standard ou plus par semaine.

Les répondants étaient moins susceptibles de penser que l'alcool augmente le risque d'arthrite quel que soit le nombre de verres standards consommés par semaine (1-2 : 17 %; 3-6 : 31 %; 7 ou plus : 43 %) et étaient plus susceptibles de penser que l'alcool diminue le risque de maladies cardiaques par rapport à d'autres problèmes de santé (1 à 2 verres : 6 %; 3 à 6 verres : 3 %; 7 verres ou plus : 1 %).

Il est important de noter que les problèmes de santé ayant une proportion plus faible de réponses correspondant à « augmente le risque » avaient également une proportion plus élevée de répondants indiquant être incertains. Plus d'un participant sur cinq n'était pas sûr de l'impact de l'alcool sur le cancer du côlon, un taux de cholestérol élevé, le cancer de la gorge, le cancer du sein, le cancer de la bouche et l'arthrite, quel que soit le nombre de verres consommés par semaine.

Utilisation autodéclarée des informations figurant sur l'étiquette

Étiquette de risque

Près de six répondants sur dix (55 %) ont déclaré que les étiquettes d'avertissement affichant les risques sérieux de l'alcool sur la santé (y compris que cela peut causer le cancer) les inciteraient à réfléchir aux méfaits causés par l'alcool, que ce soit dans une faible mesure (31 %) ou dans une mesure modérée (24 %), tandis qu'environ un sur cinq (19 %) a répondu dans une large mesure (13 %) ou dans une très large mesure (6 %), et environ un sur quatre a déclaré que cela ne le ferait pas du tout réfléchir (23 %). Après avoir vu l'étiquette, une part croissante de répondants ont indiqué cela les ferait réfléchir aux méfaits de l'alcool dans une large mesure (17 %) ou dans une très large mesure (10 %) et 21 pour cent ont continué à dire que cela ne les ferait pas du tout réfléchir.

Un répondant sur deux (50 %) a déclaré qu'une étiquette affichant les risques de l'alcool sur la santé l'inciterait à envisager de réduire sa consommation d'alcool ou à parler à d'autres de la possibilité de réduire leur consommation d'alcool dans une mesure faible (29 %) ou modérée (21 %), tandis qu'une personne sur cinq a répondu dans une large mesure (12 %) ou dans une très large mesure (6 %), et 28 % affirment que cela ne les inciterait pas du tout à envisager de réduire leur consommation d'alcool. Lorsqu'on leur a montré l'étiquette, un peu moins d'une personne sur quatre (24 %) a déclaré que cela les inciterait à réfléchir à réduire leur consommation ou à suggérer aux autres de réduire leur consommation dans une large mesure (15 %) ou dans une très large mesure (9 %), ce qui représente une augmentation marginale. Vingt-cinq pour cent continuent de dire que l'étiquette ne les inciterait pas du tout à réduire leur consommation.

Étiquette de verre standard

Lorsqu'on leur montre l'étiquette affichant le nombre de verre standard pour une bouteille d'alcool, près de six répondants sur dix (57 %) ont déclaré qu'ils utiliseraient cette information pour les aider à surveiller le nombre de verres consommés, tandis qu'environ une personne sur trois (30 %) a déclaré qu'il n'utiliserait pas ces informations et treize pour cent étaient incertains.

Étiquette indiquant des limites de consommation

Environ un répondant sur deux (51 %) a déclaré que l'étiquette d'avertissement indiquant les limites de consommation l'inciterait à réfléchir à réduire sa consommation d'alcool ou à suggérer aux autres de réduire leur consommation dans une faible mesure (26 %) ou dans une mesure modérée (25 %), tandis que moins d'un sur quatre a déclaré que l'étiquette d'avertissement les inciterait à y réfléchir dans une large mesure (16 %) ou dans une très large mesure (8 %) et 22 pour cent ont déclaré qu'ils n'y penseraient pas du tout.

Soutien pour l'étiquetage de l'alcool

Les répondants sont le plus souvent fortement d'accord (26 %) ou d'accord (36 %) avec le fait que les canettes et les bouteilles de boissons alcoolisées devraient afficher le nombre de verres standard par contenant afin d'aider les consommateurs à suivre le nombre de verres qu'ils consomment. Cela est suivi par ceux qui sont d'accord avec le fait que les canettes et les bouteilles devraient afficher des conseils pour réduire les risques de l'alcool sur la santé pour informer les consommateurs du niveau de risque associé au nombre de verres consommés (24 % fortement d'accord; 36 % d'accord). Un peu plus d'une personne sur deux est fortement d'accord (23 %) ou d'accord (31 %) avec le fait que les canettes et les bouteilles devraient afficher des mises en garde sanitaires décrivant le lien entre l'alcool et ses méfaits sur la santé afin de sensibiliser le public.

Les répondants étaient trois fois plus susceptibles d'être fortement en désaccord (28 %) ou en désaccord (30 %) avec le fait que l'alcool devrait continuer d'être exempté des avertissements sanitaires actuellement requis sur les emballages de produits de tabac et de cannabis, plutôt que d'être d'accord (13 %) ou fortement d'accord (9 %).

À propos du rapport

Ce rapport commence par un résumé décrivant les principaux résultats et conclusions, suivi d'une analyse détaillée des résultats. Un ensemble de données détaillé de « tableaux de données » est fourni sous pli séparé; ceux-ci présentent les résultats de toutes les questions au sondage par segments clés tels que la région, l'âge et le sexe.

Les résultats quantitatifs sont exprimés en pourcentage sauf s'il y a indication du contraire. La taille de base est l'échantillon total de n=9 812 sauf indication contraire.

Les résultats détaillés sont présentés dans les sections qui suivent. Les résultats globaux sont présentés dans la partie principale du document et sont généralement supportés par des présentations graphiques ou des tableaux. Les résultats pour la proportion de répondants dans l'échantillon qui ont dit « ne sait pas » ou qui n'ont pas fourni de réponse peuvent ne pas être indiqués dans tous les cas dans la représentation graphique des résultats, en particulier lorsqu'ils ne sont pas assez importants (par exemple, 10% ou moins). Les résultats nets cités dans le texte peuvent ne pas correspondre exactement aux résultats individuels figurant dans les graphiques en raison des arrondis. Les résultats peuvent ne pas totaliser 100% en raison des arrondis ou des réponses multiples.

Les puces sous les graphiques notent également toute différence significative entre les sous-groupes de répondants appartenant à différents groupes démographiques. Seules les différences démographiques étant significativement différentes en fonction de la marge d'erreur de plus ou moins 1,0 point de pourcentage (intervalle de confiance à 95 %) et des tests Khi carré sont présentées.

Veuillez noter que tout au long du rapport, la définition suivante est utilisée pour les volets de recherche :

Les principales tendances démographiques d'intérêt sont décrites tout au long du rapport, dans l'ordre suivant : sexe, âge, province/territoire, personnes ayant consommé et n'ayant pas consommé de l'alcool au cours des 12 derniers mois, fréquence de consommation d'alcool et littératie en santé).

Les détails de la méthodologie et des caractéristiques de l'échantillon se trouvent à l'annexe A. L'instrument d'enquête final se trouve à l'annexe B.

À propos de l'échantillon

A. Sexe

L'objectif de recrutement du Sondage sur la sensibilisation du public aux méfaits liés à l'alcool (SSPMA) pour le sexe était de 50 % d'hommes et 50 % de femmes, en fonction du sexe des répondants à la naissance. Cet objectif était basé sur le Recensement de la population canadienne de 2021, selon lequel 49 % de la population canadienne était de sexe masculin et 51 % de sexe féminin[xi]. Dans l'échantillon final du SSPMA, 51 % des répondants étaient des hommes et 49 % des répondants étaient des femmes. Une comparaison basée sur le sexe est disponible tout au long du rapport.

B. Âge

Le recrutement du SSPMA a ciblé quatre groupes d'âge (16-19 ans, 20-24 ans, 25-49 ans et adultes âgés de 50 ans et plus) en fonction de leur représentation proportionnelle dans les données du recensement de 2021[xii]. Un suréchantillonnage de ceux âgés de 16-19 ans a été prévu compte tenu des difficultés connues pour recruter cette tranche d'âge. Dans l'échantillon final du SSPMA, quatre pour cent des répondants étaient âgés de 16 à 19 ans, neuf pour cent de 20 à 24 ans, 38 % de 25 à 49 ans et 48 % de 50 ans et plus. Une comparaison des groupes d'âge est disponible tout au long du rapport.

C. Provinces / Territoires

Le recrutement du SSPMA a ciblé chaque province et territoire sur la base de la représentation proportionnelle dans les données du recensement de 2021[xiii]. Compte tenu des difficultés de recrutement dans les territoires individuellement, cette région est ci-après collectivement dénommé « le Nord ». Dans l'échantillon final du SSPMA, 4 % des répondants provenaient de Terre-Neuve-et-Labrador, 5 % du Nouveau-Brunswick, 5 % de la Nouvelle-Écosse, 4 % de l'Île-du-Prince-Édouard, 14 % du Québec, 28 % de l'Ontario, 5 % du Manitoba, 5 % de la Saskatchewan, 11 % de l'Alberta, 15 % de la Colombie-Britannique et 4 % des territoires (Territoires du Nord-Ouest, Nunavut et Yukon). Une comparaison entre les provinces et le Nord avec les résultats nationaux est disponible tout au long du rapport.

D. Consommation d'alcool

Le quota de recrutement du SSPMA pour la consommation d'alcool visait à recruter un échantillon dans lequel 75 % des répondants déclareraient avoir consommé de l'alcool au cours des 12 derniers mois et 25 % n'auraient pas consommé d'alcool au cours des 12 derniers mois. Cet objectif était basé sur l'Enquête canadienne sur l'alcool et les drogues de 2019, selon laquelle 76 % des Canadiens ont déclaré avoir consommé une boisson alcoolisée au cours de la dernière année[xiv]. À la fin du recrutement, 95 % des répondants au SSPMA ont déclaré avoir consommé de l'alcool au cours de leur vie (Volet A –Consommateurs), avec 90 % des répondants du volet A ayant consommé de l'alcool au cours des 12 derniers mois. Tandis que 5 % des répondants ont déclaré n'avoir jamais consommé de boissons alcoolisées. (Volet B – Non-consommateur). Par ailleurs, 85 % de l'échantillon total a déclaré avoir consommé de l'alcool au cours des 12 derniers mois et 15 % n'avaient pas consommé d'alcool au cours des 12 derniers mois ou plus. Les estimations concernant l'échantillon global doivent être interprétées avec prudence, car les personnes ayant consommé de l'alcool au cours des 12 derniers mois sont surreprésentées dans l'échantillon total. Une raison possible de ce biais d'auto-sélection pourrait être que le titre de l'enquête révélait le sujet aux répondants potentiels, ce qui aurait pu entraîner une plus grande participation parmi les personnes qui consomment de l'alcool (c'est-à-dire des personnes qui sont naturellement plus intéressées à discuter de sujets liés à l'alcool parce qu'elles en consomment). L'équipe de recherche a tenté d'encourager une plus grande participation parmi les personnes qui n'avaient pas consommé d'alcool au cours des 12 derniers mois en modifiant le script téléphonique le 13 juin 2023 pour souligner aux répondants potentiels que la participation d'individus n'étant pas de consommateurs d'alcool était possible. Une comparaison entre les personnes ayant consommé de l'alcool au cours des 12 derniers mois et les personnes n'ayant pas consommé d'alcool au cours des 12 derniers mois est disponible tout au long du rapport.

E. Score de littératie en santé

Dans l'échantillon du SSPMA, 20 % des répondants ont été identifiés comme ayant un niveau faible ou potentiellement faible de littératie en santé selon l'adaptation canadienne de l'outil d'évaluation de la littératie en santé « Nouveau signe vital »[xv]. Cependant, des recherches antérieures estiment que 60 % des Canadiens un faible niveau de littératie en santé[xvi]. Les estimations pour l'échantillon global doivent être interprétées avec prudence, car les personnes ayant un niveau adéquat de littératie en santé sont surreprésentées dans l'échantillon total. Une comparaison entre des personnes ayant un niveau adéquat de littératie en santé et des personnes ayant un niveau de faible littératie en santé est disponible tout au long du rapport.

F. Données démographiques de l'échantillon

Taille de la communauté

Dans l'échantillon final du SSPMA, 50 % des répondants résident dans un grand centre urbain (plus de 100 000 habitants), 18 % résident dans un moyen centre démographique (30 000 à 99 999 habitants), 21 % résident dans un petit centre démographique (1 000 à 29 999 habitants) et 10 % résident en zone rurale (moins de1 000 habitants). Les estimations pour l'échantillon global doivent être interprétées avec prudence, car les personnes vivant dans une zone rurale ont été sous-représentées dans l'échantillon (environ 18 % des Canadiens résident dans une zone rurale selon le recensement de 2021, comparativement à 10 % de l'échantillon du SSPMA) [xvii] en raison des difficultés à rejoindre les individus dans ces communautés.

Éducation

En termes de niveau d'éducation, environ la moitié des répondants de l'échantillon final du SSPMA déclarent avoir obtenu au moins un baccalauréat (25 % ont obtenu un baccalauréat et 22 % ont obtenu un certificat, diplôme ou grade universitaire au-dessus du niveau du baccalauréat), tandis que 19 % déclarent avoir obtenu un certificat ou diplôme d'un collège, d'un cégep ou d'un autre établissement non universitaire (autre qu'un certificat ou diplôme d'une école de métiers) et 9 % ont obtenu un certificat ou un diplôme universitaire inférieur à un baccalauréat. Sept pour cent des répondants de l'échantillon final déclarent avoir obtenu jusqu'à un certificat ou diplôme d'une école de métiers et 17 % ont obtenu soit un diplôme d'études secondaires, un certificat d'équivalence d'études secondaires ou moins qu'un diplôme d'études secondaire. Les estimations pour l'échantillon global doivent être interprétées avec prudence, car les personnes ayant terminé des études secondaires ou moins qu'un diplôme d'études secondaires étaient sous-représentées dans l'échantillon final (43 % des Canadiens), tandis que celles ayant terminé des études universitaires (certificat universitaire ou supérieur) étaient surreprésentées (30%)[xviii].

Identité ethnique ou culturelle

Dans l'échantillon final du SSPMA, 80 % des répondants se sont auto-identifiés comme blanc (d'origine européenne), tandis que 17 % se sont auto-identifiés comme PANDC. Plus précisément, 5 % des répondants de l'échantillon final se sont identifiés comme Asiatiques de l'Est/du Sud-Est (d'origine chinoise, coréenne, japonaise, taïwanaise ou philippine, vietnamienne, cambodgienne, thaïlandaise, indonésienne ou toute autre origine d'Asie du Sud-Est), 4 % se sont identifiés comme Asiatiques du Sud (d'origine asiatique du Sud; par exemple, Indien de l'est, Pakistanais, Bangladais, Sri-Lankais, Indo-antillais), 3 % se sont identifiées comme Noir (d'origine africaine, afro-antillaise ou afro-canadienne) et 2 % sont identifiés comme Autochtones (de descendance des Premières Nations, Métis ou de descendance inuk/inuite). Un pour cent, respectivement, s'est identifié comme latino-américain (d'origine latino-américaine ou hispanique) ou du Moyen-Orient (d'origine arabe, perse ou asiatique de l'Ouest [par exemple, Afghan, Égyptien, Iranien, Libanais, Turc, Kurde) Les estimations pour l'échantillon global doivent être interprétées avec prudence, car les personnes qui s'identifient comme PANDC étaient légèrement sous-représentées dans l'échantillon final (27 % des Canadiens).[xix]

Revenu

Cinquante-deux pour cent des répondants de l'échantillon final du SSPMA ayant déclaré un revenu ont déclaré avoir un revenu familial annuel de 80 000 $ ou plus, tandis que 24 % ont déclaré un revenu total du ménage entre 40 000 $ et un peu moins de 80 000 $ par an et 12 % ont déclaré avoir un total du ménage inférieur à 40 000 $ par an. Les estimations de l'ensemble du sondage doivent être interprétées avec prudence, car les personnes dont le revenu familial est inférieur à 40 000 $ par année étaient légèrement sous-représentées dans le sondage (19 % des Canadiens)[xx]. Il convient toutefois de noter que 12 % des répondants de l'échantillon final ont choisi de ne pas déclarer le revenu de leur ménage.

Langue officielle

Plus de huit répondants sur dix de l'échantillon final du SSPMA ont l'anglais comme première langue officielle (88 %), tandis que 11 % de l'échantillon ont le français comme première langue officielle et 1 % ont une langue différente comme première langue officielle. Les estimations pour l'ensemble de l'enquête doivent être interprétées avec prudence, car les personnes ayant le français comme première langue officielle étaient sous-représentées dans l'échantillon final (21 % des Canadiens).[xxi]

Résultats détaillés

A. Niveau de sensibilisation des campagnes d'éducation à propos de l'usage de l'alcool

Souvenirs de campagnes éducatives

Les répondants ont déclaré avoir vu ou entendu, le plus souvent au cours des 12 derniers mois, des campagnes d'éducation ou des messages de santé ou sécurité publique au sujet de l'alcool à la télévision/radio (59 %), suivis par les médias sociaux (25 %), les journaux ou magazines (25 %), des affiches ou panneaux publicitaires (20 %), dans des établissements de soins de santé (17 %), à l'intérieur/ l'extérieur de magasins qui vendent de l'alcool (16 %) et via des sites Web autre que les médias sociaux (11 %). Dix-neuf pour cent (19 %) ont déclaré n'avoir remarqué aucune campagne d'éducation ni aucun message de santé publique.

Q – Au cours des douze derniers mois, est-ce que vous avez vu ou entendu des campagnes d'éducation ou des messages de santé ou de sécurité publique* au sujet de l'alcool dans les endroits suivants ? [AFFICHER DEMANIÈRE ALÉATOIRE] [Sélectionnez toutes les réponses qui s'appliquent] * Ces campagnes et messages décrivent les risques liés à la consommation d'alcool ou comment réduire ces risques.

Tableau 3 – Campagnes éducatives marquantes sur la consommation d'alcool
Localisation de campagne(s) éducative(s) Total (n=9 812)
Télévision/radio 59 %
Médias sociaux (par exemple, TikTok, Instagram, Facebook, Twitter, Snapchat, YouTube) 25 %
Journaux ou magazines 25 %
Affiches ou panneaux publicitaires (par exemple, dans les transports en commun, les bars et restaurants) destinés au public 20 %
Établissement de soins de santé (par exemple, pharmacie, cabinet médecins) 17 %
L'intérieur/extérieur de magasins qui vendent de l'alcool 16 %
Sites Web autres que les médias sociaux 11 %
Événements (par exemple, événements sportifs, concerts, festivals) 6 %
École (par exemple, campus universitaire) 5 %
Organismes communautaires ou à but non lucratif 4 %
Lieu de travail 4 %
Kiosques ou emplacements temporaires de vente (par exemple, marché fermier) 1 %
Je n'ai remarqué aucune campagne d'éducation ni aucun message de santé publique 19 %

Base : Tous les répondants, n = 9 812.

Sexe

Âge

Provinces/territoires

Consommation d'alcool au cours des 12 derniers mois

Connaissance des Directives de consommation d'alcool

Score de littératie en santé

B. Connaissance des Directives de consommation d'alcool (DCA)

Connaissance des DCA

Environ trois Canadiens sur cinq (59 %) ont déclaré avoir entendu parler ou être au courant des « Directives de consommation d'alcool à faible risque du Canada » ou des « Repères canadiens sur l'alcool et la santé », tandis qu'un sur trois (35 %) a déclaré ne pas en avoir entendu parler ou ne pas être au courant et sept pour cent des répondants ont déclaré ne pas en être certains. Remarque : Un lancement en douceur des « Repères canadiens sur l'alcool et la santé » a eu lieu en novembre 2022, la diffusion au grand public ayant eu lieu en janvier 2023, immédiatement après le lancement du SSPMA (mi-février 2023). Cela peut avoir eu un impact sur la connaissance des directives de consommation d'alcool.

Q - Avez-vous entendu parler ou êtes-vous au courant des « Directives de consommation d'alcool à faible risque du Canada » ou des « Repères canadiens sur l'alcool et la santé » ?

Tableau 4 – Connaissance des Directives de consommation d'alcool
Connaissance des directives Total (n=9 812)
Oui 59 %
Non 35 %
Je ne sais pas 7 %

Base : Tous les répondants, n = 9 812.

Sexe

Âge

Provinces/territoires

Consommation d'alcool au cours des 12 derniers mois

Score de littératie en santé

Où les Canadiens ont pris connaissance des directives de consommation d'alcool

Les répondants qui ont dit connaître directives de consommation ont le plus souvent déclaré avoir entendu parler de ces directives pour la première fois à la télévision/radio (61 %), suivi par les journaux ou magazines (12 %), les médias sociaux (8 %), les sites Web autres que les médias sociaux (7%) et le bouche à oreille (3%).

Q – Où avez-vous entendu parler pour la première fois des « Directives de consommation d'alcool à faible risque du Canada » ou des « Repères canadiens sur l'alcool et la santé » ?

Tableau 5 – Où les répondants ont entendu parler pour la première fois des DCA
Emplacement Total (n = 5 758)
Télévision/radio 61 %
Journaux ou magazines 12 %
Médias sociaux (par exemple, TikTok, Instagram, Facebook, Twitter, Snapchat, YouTube) 8 %
Sites Web autres que les médias sociaux 7 %
Bouche à oreille 3 %
Établissement de soins de santé (par exemple, pharmacie, cabinet médecins) 2 %
Radio-Canada 1 %
L'intérieur/extérieur de magasins qui vendent de l'alcool 1 %
Affiches ou panneaux publicitaires (par exemple, dans les transports en commun, les bars et restaurants) destinés au public 1 %
École (par exemple, campus universitaire) 1 %
Lieu de travail 1 %
Organismes communautaires ou à but non lucratif <1 %

Base : Répondants au courant des « Directives de consommation d'alcool à faible risque du Canada » ou des « Repères canadiens sur l'alcool et la santé », n = 5 758.

Sexe

Âge

Provinces/territoires

Consommation d'alcool au cours des 12 derniers mois

Score de littératie en santé

C. Connaissance des mesures de verre standard (MVS) – [VOLET A – CONSOMMATEURS UNIQUEMENT]

Boisson alcoolisée typique consommée

Plus de quatre Canadiens sur dix ayant déclaré consommer de l'alcool (41 %) ont choisi le vin comme alcool qu'ils consomment habituellement, tandis que plus d'un répondant sur quatre a choisi la bière (27 %), plus d'un sur cinq a choisi les spiritueux (21 %) et sept pour cent ont sélectionné du cidre/coolers.

Q – [VOLET A – CONSOMMATEUR SEULEMENT] Quand vous consommez de l'alcool, consommez-vous typiquement de la bière, du cidre, des coolers, du vin ou des spiritueux (par exemple : rhum, whisky, vodka) ? [Sélectionnez-en un]

Tableau 6 – Type d'alcool habituellement consommé
Emplacement Total (n = 9 377)
Vin 41 %
Bière 27 %
Spiritueux 21 %
Cidre/coolers 7 %

Base : Répondants ayant déclaré avoir déjà bu une boisson alcoolisée (sans compter quelques gorgées de vin à des fins religieuses ou autres), n = 9 377

Sexe

Âge

Provinces/territoires

Connaissance des Directives de consommation d'alcool

Score de littératie en santé

Connaissance du terme « verre standard »

Trois Canadiens sur cinq (60 %) ayant déclaré consommer de l'alcool ont aussi déclaré avoir entendu parler du terme « verre standard ».

Q - [VOLET A – CONSOMMATEURS SEULEMENT] Avez-vous déjà entendu l'expression « verre standard » ?

Tableau 7 – Connaissance du terme « verre standard »
Connaissance du terme Total (n = 9 343)
Oui 60 %
Non 38 %
Pas de réponse 2 %

Base : Répondants ayant déclaré avoir déjà bu une boisson alcoolisée (sans compter quelques gorgées de vin à des fins religieuses ou autres), n = 9 343

Sexe

Âge

Provinces/territoires

Consommation d'alcool au cours des 12 derniers mois

Connaissance des Directives de consommation d'alcool

Score de littératie en santé

Identifier le nombre de verres standards dans les boissons alcoolisées

Lorsqu'on leur montre l'image d'une bouteille de l'alcool qu'ils déclarent consommer habituellement, les consommateurs de bière ont répondu correctement en moyenne que la bouteille contient un verre standard (moyenne de 1,2), tandis que ceux qui consomment des cidres/coolers ont déclaré, en moyenne, que le cooler illustrée contient un verre standard et demi (moyenne de 1,5 - la réponse correcte est un verre). En moyenne, les consommateurs de vin ont déclaré à tort que la bouteille de vin illustrée contient six verres (moyenne de 6,3 – la réponse correcte est de 5 verres), et ceux qui ont déclaré typiquement consommer des spiritueux ont, en moyenne, déclaré à tort que la bouteille de spiritueux présentée contenait 22 verres. (La réponse correcte est de 17 verres).

Q - [VOLET A – CONSOMMATEURS SEULEMENT] Selon vous, cette bouteille de [INSÉRER LA RÉPONSE DE Q6] contient combien de « verres standard » ? (Image de leur type de boisson préféré de Q6 affichée à l'écran)

Tableau 8 – Test de connaissances de « Verre standard »
Type de boisson Moyenne
Bière 1,2
Cidre/coolers 1,5
Vin 6,3
Spiritueux 22,1

Base : Répondants ayant déclaré avoir déjà bu une boisson alcoolisée (sans compter quelques gorgées de vin à des fins religieuses ou autres), n = 9 377.

Sexe

Âge

Provinces/territoires

Consommation d'alcool au cours des 12 derniers mois

Connaissance des Directives de consommation d'alcool

Score de littératie en santé

D. Comportements autodéclarés de consommation d'alcool – [VOLET A – CONSOMMATEURS SEULEMENT]

Alcool consommé au cours d'une semaine type

Au cours d'une semaine type, les Canadiens étaient plus susceptibles de déclarer consommer davantage d'alcool la fin de semaine plutôt que la semaine. En moyenne, les répondants ont déclaré consommer la plus grande quantité d'alcool le samedi (moyenne de 1,6 verre), suivi du vendredi (moyenne de 1,3 verre) et du dimanche (0,7 verre). Au cours d'une semaine type, ils ont déclaré avoir consommé, en moyenne, moins d'un verre le lundi (0,4 verre), le mardi (0,4 verre), le mercredi (0,5 verre) et le jeudi (0,5 verre).

Q – [VOLET A – CONSOMMATEURS SEULEMENT] Considérez le tableau (ou la liste) avec les jours de la semaine ci-dessous. En pensant à une semaine typique, veuillez indiquer combien de verres vous consommez habituellement chaque jour de la semaine :

Tableau 9 – Nombre de verres consommées par jour au cours d'une semaine typique
Jour de la semaine Moyenne
Lundi 0,4
Mardi 0,4
Mercredi 0,5
Jeudi 0,5
Vendredi 1,3
Samedi 1,6
Dimanche 0,7

Base : Répondants ayant déclaré avoir déjà bu une boisson alcoolisée (sans compter quelques gorgées de vin à des fins religieuses ou autres), n = 9 377.

Sexe

Âge

Provinces/territoires

Consommation d'alcool au cours des 12 derniers mois

Connaissance des Directives de consommation d'alcool

Score de littératie en santé

E. Connaissance des risques de l'alcool sur la santé – [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS]

Dans l'ensemble, les personnes interrogées étaient les plus susceptibles de penser que la consommation de tout nombre de verres standard par semaine augmente les risques pour le fœtus pendant la grossesse, cette tendance augmente entre 1 à 2 verres standard par semaine (84 % répondants croient que cela augmente le risque), 3 -6 verres par semaine (92%) et 7 verres standard ou plus par semaine (95%).

Environ trois répondants sur dix pensent que consommer 1 à 2 verres standards par semaine augmente le risque de plusieurs cancers (du côlon, de la gorge, du sein et de la bouche). Cela augmente à environ quatre sur dix répondants pour 3 à 6 verres standards par semaine et à environ un sur deux pour 7 verres standard ou plus par semaine.

Les répondants étaient moins susceptibles de penser que l'alcool augmente le risque d'arthrite quel que soit le nombre de verres standards consommés par semaine (1-2 : 17 %; 3-6 : 31 %; 7 ou plus : 43 %) et étaient plus susceptibles de penser que l'alcool diminue le risque de maladies cardiaques par rapport à d'autres problèmes de santé (1 à 2 verres : 6 %; 3 à 6 verres : 3 %; 7 verres ou plus : 1 %).

Il est important de noter que les problèmes de santé ayant une proportion plus faible de réponses « augmente le risque » avaient également une proportion plus élevée de répondants indiquant être incertains. Plus d'un participant sur cinq n'était pas sûr de l'impact de l'alcool sur le cancer du côlon, un taux de cholestérol élevé, le cancer de la gorge, le cancer du sein, le cancer de la bouche et l'arthrite, quel que soit le nombre de verres consommés par semaine.

Sexe

Âge

Provinces/territoires

Consommation d'alcool au cours des 12 derniers mois

Connaissance des Directives de consommation d'alcool

Score de littératie en santé

Augmentation des risques pour la santé liée à la consommation de 1 à 2 verres standard par semaine

Les Canadiens étaient les plus susceptibles de penser que la consommation d'un à deux verres standard par semaine augmente les risques pour le fœtus pendant la grossesse (84 %), suivi par les maladies du foie (64 %), être surpoids ou obèse (57 %) et le diabète (50 %). Ils étaient moins susceptibles de penser que cela augmente le risque d'arthrite (17 %), de cancer de la bouche (26 %), de cancer de la gorge (27 %) ou de cancer du sein (28 %).

Q – [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] Croyez-vous que le fait de consommer 1 à 2 verres standard d'alcool par semaine augmente, diminue ou n'a aucun impact sur votre risque de développer les problèmes de santé suivants ? [Afficher de manière aléatoire]

Tableau 10 – Connaissance de l'impact de 1 à 2 verres d'alcool standard par semaine
Problèmes de santé Augmente le risque Diminue le risque N'aucun impact sur le risque Incertain(e)
Faire du mal à un fœtus pendant la grossesse 84 % <1 % 8 % 7 %
Maladie du foie 64 % 1 % 26 % 10 %
Être en surpoids ou obèse 57 % 1 % 30 % 12 %
Diabète 50 % 1 % 28 % 21 %
Maladie cardiaque 44 % 6 % 33 % 18 %
Cancer du côlon 34 % 1 % 35 % 30 %
Taux de cholestérol élevé 29 % 3 % 38 % 30 %
Cancer du sein 28 % 1 % 38 % 34 %
Cancer de la bouche 26 % 1 % 39 % 34 %
Cancer de la gorge 27 % 1 % 39 % 34 %
Arthrite 17 % 1 % 44 % 38 %

Base : Tous les répondants, n=9 812

Augmentation des risques pour la santé liée à la consommation de 3 à 6 verres standard par semaine

La proportion de Canadiens qui déclarent consommer trois à six verres standard par semaine a augmenté à tous les niveaux, tandis que la proportion de ceux qui se sont déclarés comme incertains est resté similaire. La proportion affirmant que trois à six verres standard augmentent le risque de maladie cardiaque a augmenté de 22 points de pourcentage (de 44 % à 66 %) par rapport à un à deux verres, tandis que la proportion affirmant la même chose à propos du surpoids ou de l'obésité a augmenté de 21 points de pourcentage (57 % à 78 %).

Q – [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] Croyez-vous que le fait de consommer 3 à 6 verres standard d'alcool par semaine augmente, diminue ou n'a aucun impact sur votre risque de développer les problèmes de santé suivants ? [Afficher de manière aléatoire]

Tableau 11 – Connaissance de l'impact de 3 à 6 verres standard d'alcool par semaine
Problèmes de santé Augmente le risque Diminue le risque N'aucun impact sur le risque Incertain(e)
Faire du mal à un fœtus pendant la grossesse 92 % <1 % 3 % 5 %
Maladie du foie 84 % <1 % 9 % 7 %
Être en surpoids ou obèse 78 % <1 % 12 % 10 %
Diabète 69 % <1 % 12 % 18 %
Maladie cardiaque 66 % 3 % 15 % 17 %
Cancer du colon 50 % <1 % 20 % 30 %
Taux de cholestérol élevé 49 % 2 % 21 % 29 %
Cancer du sein 43 % <1 % 22 % 35 %
Cancer de la gorge 42 % <1 % 23 % 35 %
Cancer de la bouche 41 % <1 % 24 % 35 %
Arthrite 31 % <1 % 28 % 41 %

Base : Tous les répondants, n=9 812

Augmentation des risques pour la santé liée à la consommation de 7 verres standard ou plus par semaine

Les Canadiens croyaient le plus souvent que boire sept verres standard d'alcool ou plus par semaine augmente les risques pour le fœtus pendant la grossesse (95 %), les maladies du foie (92 %), le surpoids ou l'obésité (87 %), le diabète (79 %) et les maladies cardiaques (87 %), mais une majorité pensait également que sept boissons standard ou plus entraînaient un risque accru de divers cancers, ainsi que le diabète et d'un haut taux de cholestérol. Les Canadiens étaient moins susceptibles de penser que la consommation d'alcool augmente le risque d'arthrite que d'autres problèmes de santé.

Q - [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] Croyez-vous que le fait de consommer 7 verres standard d'alcool ou plus par semaine augmente, diminue ou n'a aucun impact sur votre risque de développer les problèmes de santé suivants ? [Afficher de manière aléatoire]

Tableau 12 – Connaissance de l'impact de 7 verres standard ou plus par semaine
Problèmes de santé Augmente le risque Diminue le risque N'aucun impact sur le risque Incertain(e)
Faire du mal à un fœtus pendant la grossesse 95 % <1 % 1 % 4%
Maladie du foie 92 % <1 % 3 % 5 %
Être en surpoids ou obèse 87 % <1 % 5 % 8 %
Diabète 79 % <1 % 6 % 15 %
Maladie cardiaque 78 % 1 % 7 % 14 %
Taux de cholestérol élevé 62 % 1 % 12 % 25 %
Cancer du côlon 61 % <1 % 12 % 27 %
Cancer du sein 54 % <1 % 15 % 32 %
Cancer de la bouche 52 % <1 % 16 % 32 %
Cancer de la gorge 53 % <1 % 15 % 32 %
Arthrite 43 % <1 % 19 % 38 %

Base : Tous les répondants, n=9 812

Sensibilisation à que l'alcool augmente le risque de cancer

Parmi ceux qui ont déclaré que la consommation d'une certaine quantité d'alcool augmentait le risque de cancer, plus de la moitié (56 %) ont déclaré avoir pris connaissance de cette information il y a plus d'un an. Cependant, 16 pour cent (16 %) ont déclaré avoir pris conscience que l'alcool augmente le risque de cancer au cours de la dernière année, huit pour cent (8 %) au cours du dernier mois et un pour cent (1 %) au cours de la semaine dernière. Dix-huit pour cent (18 %) ne se souvenaient pas du moment où ils en avaient pris conscience.

Q - [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] [SI « AUGMENTE » À TOUTE OPTION DE RÉPONSE AU CANCER] Quand avez-vous pris conscience que la consommation d'alcool augmentait votre risque de développer un cancer ?

Tableau 13 – Moment où les répondants ont pris conscience du lien entre l'alcool et un risque accru de cancer
Temps Total (n = 6 731)
La semaine dernière 1 %
Le mois dernier 8 %
L'année dernière 16 %
Il y a plus d'un an 56 %
Je ne sais pas 18 %
Préfère ne pas dire 1 %

Base : Répondants qui pensent que l'alcool entraîne un risque accru de cancer, n = 6 731.

Sexe

Âge

Provinces/territoires

Consommation d'alcool au cours des 12 derniers mois

Connaissance des Directives de consommation d'alcool

Score de littératie en santé

Où les répondants ont entendu parler du lien entre l'alcool et un risque accru de cancer

Parmi ceux qui pensaient que la consommation d'alcool augmente le risque de cancer, quatre sur dix ont déclaré avoir entendu cette information pour la première fois à la télévision ou à la radio (39 %), suivis par des journaux ou des magazines (13 %) et dans un établissement de soins de santé (10 %).

Q – [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] [SI "AUGMENTE" À TOUTE OPTION DE RÉPONSE AU CANCER] Où avez-vous été exposé pour la première fois à de l'information au sujet que la consommation d'alcool augmente votre risque de développer un cancer ? [Afficher de manière aléatoire]

Tableau 14 – Où les répondants ont entendu parler du lien entre l'alcool et le risque accru de cancer
Emplacement Total (n = 5 779)
Télévision/radio 39 %
Journaux ou magazines 13 %
Établissement de soins de santé (par exemple, pharmacie, cabinet médecins) 10 %
École (par exemple, campus universitaire) 8 %
Sites Web autres que les médias sociaux 6 %
Médias sociaux (par exemple, TikTok, Instagram, Facebook, Twitter, Snapchat, YouTube) 5 %
Affiches ou panneaux publicitaires (par exemple, dans les transports en commun, les bars et restaurants) destinés au public 2 %
Lieu de travail 2 %
Bouche à oreille 1 %
Bon sens/mes propres connaissances 1 %
L'intérieur/extérieur de magasins qui vendent de l'alcool 1 %
Organismes communautaires ou à but non lucratif 1 %
Étude de recherche 1 %
N'était pas au courant/Appris de cette enquête 1 %
Incertain(e) 8 %

Base : Répondants qui pensent que l'alcool augmente le risque de cancer(s), n = 5 779.

Sexe

Âge

Provinces/territoires

Consommation d'alcool au cours des 12 derniers mois

Connaissance des Directives de consommation d'alcool

Score de littératie en santé

F. Utilisation autodéclarée des informations figurant sur l'étiquette (LAB) – [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS]

Impact d'une étiquette d'avertissement sur les répondants pensant aux méfaits causés par l'alcool

Près de six Canadiens sur dix (55 %) ont déclaré que les étiquettes d'avertissement affichant les risques sérieux de l'alcool sur la santé (y compris que cela peut causer le cancer) les inciteraient à réfléchir aux méfaits causés par l'alcool, que ce soit dans une faible mesure (31 %) ou dans une mesure modérée (24 %), tandis qu'environ un sur cinq (19 %) a répondu dans une large mesure (13 %) ou dans une très large mesure (6 %), et environ un sur quatre a déclaré que cela ne le ferait pas du tout réfléchir (23 %). Après avoir vu l'étiquette, une part croissante de répondants ont indiqué cela les ferait réfléchir aux méfaits de l'alcool dans une large mesure (17 %) ou dans une très large mesure (10 %) et 21 pourcents ont continué à dire que cela ne les ferait pas du tout réfléchir.

Q - [VOLET A – CONSOMMATEURS SEULEMENT] Dans quelle mesure, le cas échéant, est-ce que des étiquettes d'avertissement affichant les sérieux risques de l'alcool sur la santé, tel que le cancer, sur les bouteilles et les canettes de boissons alcoolisées vous feraient réfléchir à propos des méfaits de l'alcool ?

Tableau 15 – Impact de l'étiquette d'avertissement sur la perception des méfaits causés par l'alcool (avant d'avoir vu l'étiquette)
Étendue de l'impact Total (n=9 812)
Pas du tout 23 %
Dans une faible mesure 31 %
Dans une mesure modérée 24 %
Dans une large mesure 13 %
Dans une très large mesure 6 %
Incertain(e) 3 %

Base : Tous les répondants, n = 9 812.

Q - [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] Dans quelle mesure, le cas échéant, est-ce que des étiquettes d'avertissement, comme celle montrée ci-dessous indiquant que l'alcool cause le cancer, sur des bouteilles et des canettes de boissons alcoolisées, vous feraient réfléchir aux méfaits de l'alcool ?

Figure 1: Mise en garde de Santé Canada - L'alcool cause le cancer

Équivalent textuel

HEALTH CANADA ADVISES

MISE EN GARDE DE SANTÉ CANADA

Alcohol causes cancer including breast and colon cancers

L'alcool cause le cancer y compris le cancer du sein et du côlon

Tableau 16 – Impact de l'étiquette d'avertissement sur la perception des méfaits causés par l'alcool (après l'étiquette)
Étendue de l'impact Total (n = 9 812)
Pas du tout 21 %
Dans une faible mesure 26 %
Dans une mesure modérée 23 %
Dans une large mesure 17 %
Dans une très large mesure 10 %
Je ne sais pas 2 %

Base : Tous les répondants, n = 9 812.

Sexe

Âge

Provinces/territoires

Consommation d'alcool au cours des 12 derniers mois

Connaissance des Directives de consommation d'alcool

Score de littératie en santé

Impact d'une étiquette d'avertissement sur les répondants envisageant de réduire leur consommation d'alcool

Un Canadien sur deux (50 %) a déclaré qu'une étiquette affichant les risques de l'alcool sur la santé l'inciterait à envisager de réduire sa consommation d'alcool ou à parler à d'autres de la possibilité de réduire sa consommation d'alcool dans une mesure faible (29 %) ou modérée (21 %), tandis qu'une personne sur cinq a répondu dans une large mesure (12 %) ou dans une très grande mesure (6 %), et 28 % affirment que cela ne les inciterait pas du tout à envisager de réduire leur consommation d'alcool. Lorsqu'on leur a montré l'étiquette, un peu moins d'une personne sur quatre (24 %) a déclaré que cela les inciterait à réfléchir à réduire leur consommation ou à suggérer aux autres de réduire leur consommation dans une large mesure (15 %) ou dans une très large mesure (9 %), ce qui représente une augmentation marginale. Vingt-cinq pour cent continuent de dire que l'étiquette inciterait pas du tout à réduire leur consommation.

Q - [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] Dans quelle mesure, le cas échéant, est-ce que des étiquettes d'avertissement affichant les sérieux risques de l'alcool sur la santé, tel que le cancer, sur les bouteilles et les canettes de boissons alcoolisées vous inciteraient à réduire votre consommation d'alcool ou à suggérer aux autres de réduire leur consommation d'alcool ?

Tableau 17 – Impact de l'étiquette d'avertissement sur la consommation d'alcool (avant d'avoir vu l'étiquette)
Étendue de l'impact Total (n = 9 812)
Pas du tout 28 %
Dans une faible mesure 29 %
Dans une mesure modérée 21 %
Dans une large mesure 12 %
Dans une très large mesure 6 %
Je ne sais pas 4 %

Base : Tous les répondants, n=9 812

Q - [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] Dans quelle mesure, le cas échéant, est-ce que des étiquettes d'avertissement, comme celle montrée ci-dessous indiquant que l'alcool cause le cancer, sur des bouteilles et des canettes de boissons alcoolisées, vous inciteraient à réduire votre consommation d'alcool ou à suggérer aux autres de réduire leur consommation d'alcool ?

Figure 2: Mise en garde de Santé Canada - L'alcool cause le cancer

Équivalent textuel

HEALTH CANADA ADVISES

MISE EN GARDE DE SANTÉ CANADA

Alcohol causes cancer including breast and colon cancers

L'alcool cause le cancer y compris le cancer du sein et du côlon

Tableau 18 – Impact de l'étiquette d'avertissement sur la consommation d'alcool (après avoir vu l'étiquette)
Étendue de l'impact Total (n = 9 812)
Pas du tout 25 %
Dans une faible mesure 26 %
Dans une mesure modérée 22 %
Dans une large mesure 15 %
Dans une très large mesure 9 %
Je ne sais pas 3 %

Base : Tous les répondants, n=9 812)

Sexe

Âge

Provinces/territoires

Consommation d'alcool au cours des 12 derniers mois

Connaissance des Directives de consommation d'alcool

Littératie en santé

Utilisation probable d'une étiquette pour aider à suivre le nombre de boissons consommées

Lorsqu'on leur montre l'étiquette affichant le nombre de verre standard pour une bouteille d'alcool, près de six répondants sur dix (57 %) ont déclaré qu'ils utiliseraient cette information pour les aider à surveiller le nombre de verres consommés, tandis qu'environ une personne sur trois (30 %) a déclaré qu'il n'utiliserait pas ces informations et treize pour cent étaient incertains.

Q – Si le nombre de verres standard était affiché sur les étiquettes des bouteilles et des canettes de boissons alcoolisées, comme le montre l'image ci-dessous, utiliseriez-vous cette information pour vous aider ou aider une autre personne à surveiller le nombre de verres consommés ?

Figure 3: Combien de verre standards

Équivalent textuel

How many standard drinks? Combien de verre standards?

750 ml, 12% ALC = 5

750 ml, 15% ALC = 7

Tableau 19 – Utilisation d'une étiquette de verre standard pour suivre la consommation d'alcool
Utilisation de l'informations Total (n = 9 812)
Oui 57 %
Non 30 %
Je ne sais pas 13 %

Base : Tous les répondants, n = 9 812.

Sexe

Âge

Provinces/territoires

Consommation d'alcool au cours des 12 derniers mois

Connaissance des Directives de consommation d'alcool

Score de littératie en santé

Impact d'un modèle d'étiquette décrivant les limites de consommation d'alcool sur les répondants qui envisagent de réduire leur consommation d'alcool

Enfin, il a été demandé aux répondants dans quelle mesure une étiquette d'avertissement indiquant des limites de consommation pour réduire les risques pour la santé, comme celle illustrée, les inciterait à réfléchir à réduire leur consommation d'alcool ou à parler à d'autres de la possibilité de réduire leur consommation d'alcool. Environ un répondant sur deux (51 %) a déclaré que l'étiquette d'avertissement indiquant les limites de consommation l'inciterait à réfléchir à réduire sa consommation d'alcool ou à suggérer aux autres de réduire leur consommation dans une faible mesure (26 %) ou dans une mesure modérée (25 %), tandis que moins d'un sur quatre a déclaré que l'étiquette d'avertissement les inciterait à y réfléchir dans une large mesure (16 %) ou dans une très large mesure (8 %) et 22 % ont déclaré qu'ils n'y penseraient pas du tout.

Q – [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] Dans quelle mesure, le cas échéant, est-ce que des étiquettes indiquant des limites de consommation pour réduire les risques de l'alcool sur la santé, comme le montre l'image ci-dessous, sur les bouteilles et les canettes de boissons alcoolisées vous inciteraient à réduire votre consommation d'alcool ou à suggérer aux autres de réduire leur consommation ?

Figure 4: Le risque d'alcool

Équivalent textuel

The risk of consequences caused by alcohol increases with the number of standard drinks (SDs) you have per week.

1-2 SDs / week = Low risk

3-6 SDs / week = Moderate risk

7+ SDs / week = Increasingly high risk

Le risque de subir des conséquences liées à la consommation d'alcool augmente avec le nombre de verres standard (VS) consommés par semaine.

1-2 VS / semaine = Risque faible

3-6 VS / semaine = Risque modéré

7+ VS / semaine = Risque de plus en plus élevé

Tableau 20 – Impact potentiel des étiquettes d'avertissement indiquant les limites de consommation d'alcool sur la consommation d'alcool
Étendue de l'impact Total (n = 9 812)
Pas du tout 22 %
Dans une faible mesure 26 %
Dans une mesure modérée 25 %
Dans une large mesure 16 %
Dans une très large mesure 8 %
Incertain(e) 3 %

Base : Tous les répondants, n = 9 812.

Sexe

Âge

Provinces/territoires

Consommation d'alcool au cours des 12 derniers mois

Connaissance des Directives de consommation d'alcool

Score de littératie en santé

G. Soutien pour l'étiquetage de l'alcool (SLA)

Les répondants sont le plus souvent fortement d'accord (26 %) ou d'accord (36 %) le fait que les canettes et les bouteilles de boissons alcoolisées devraient afficher le nombre de verres standard par contenant afin d'aider les consommateurs à suivre le nombre de verres qu'ils consomment. Cela est suivi par ceux qui sont d'accord avec le fait que les canettes et les bouteilles devraient afficher des directives pour réduire les risques de l'alcool sur la santé pour informer les consommateurs du niveau de risque associé au nombre de verres consommés (24 % fortement d'accord; 36 % d'accord). Un peu plus d'une personne sur deux est fortement d'accord (23 %) ou d'accord (31 %) avec le fait que les canettes et les bouteilles devraient afficher des mises en garde sanitaires décrivant le lien entre l'alcool et ses méfaits sur la santé afin de sensibiliser le public.

Les répondants étaient trois fois plus susceptibles d'être fortement en désaccord (28 %) ou en désaccord (30 %) avec le fait que l'alcool devrait continuer d'être exempté des avertissements sanitaires actuellement requis sur les emballages de produits de tabac et de cannabis, plutôt que d'être d'accord (13 %) ou fortement d'accord (9 %).

Accord sur l'étiquetage des boissons alcoolisées avec des informations d'avertissement relatives à la santé

Il a été demandé aux répondants d'indiquer dans quelle mesure ils étaient d'accord avec l'énoncé selon lequel, pour sensibiliser davantage le public aux effets nocifs de l'alcool sur la santé, les canettes et les bouteilles de boissons alcoolisées devraient afficher des avertissements sanitaires décrivant le lien connu entre l'alcool et les maladies, y compris le cancer, telle que l'image montrée avec la question. Un peu plus d'une personne sur deux se dit fortement d'accord (23 %) ou d'accord (31 %) avec l'énoncé, tandis que 19 % (19 %) ne sont ni d'accord ni en désaccord, et un sur quatre est soit en désaccord (12 %) ou fortement en désaccord (12%).

Q - [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] Dans quelle mesure êtes-vous d'accord ou en désaccord avec l'énoncé qui suit ? Pour sensibiliser le public aux méfaits de l'alcool sur la santé, les canettes et les bouteilles de boissons alcoolisées devraient afficher des mises en garde sanitaires décrivant le lien entre l'alcool et ses méfaits sur la santé, y compris le cancer, comme le montre l'image ci-dessous.

Figure 5: Mise en garde de Santé Canada - L'alcool cause le cancer

Équivalent textuel

HEALTH CANADA ADVISES

MISE EN GARDE DE SANTÉ CANADA

Alcohol causes cancer including breast and colon cancers

L'alcool cause le cancer y compris le cancer du sein et du côlon

Tableau 21 – Étiquetage des boissons alcoolisées avec des mises en garde sanitaires
Accord avec l'énoncé Total (n = 9 812)
Fortement en désaccord 12 %
En désaccord 12 %
Ni d'accord ni en désaccord 19 %
D'accord 31 %
Fortement d'accord 23 %
Je ne sais pas 3 %
Préfère ne pas dire <1 %

Base : Tous les répondants, n = 9 812.

Sexe

Âge

Provinces/territoires

Consommation d'alcool au cours des 12 derniers mois

Connaissance des Directives de consommation d'alcool

Score de littératie en santé

Accord sur l'étiquetage des boissons alcoolisées avec information sur les risques liés à la consommation d'alcool

Lorsqu'on leur a montré une étiquette affichant des directives pour réduire le risque de l'alcool sur la santé, la majorité des personnes interrogées ont déclaré qu'elles étaient fortement d'accord (24 %) ou d'accord (36 %) que les canettes et les bouteilles de boissons alcoolisées devraient être afficher des directives pour réduire les risques pour la santé liés à l'alcool, pour informer les consommateurs du niveau de risque associé à la quantité qu'ils consomment, alors que 16 pour cent ne sont ni d'accord ni en désaccord, et plus d'un sur cinq était en désaccord (11 %) ou fortement en désaccord (10 %).

Q - VOLET A ET B - DEMANDER À TOUS] Dans quelle mesure êtes-vous d'accord ou en désaccord avec l'énoncé qui suit ? Les canettes et les bouteilles de boissons alcoolisées devraient afficher des directives pour réduire les risques de l'alcool sur la santé, comme le montre l'image ci-dessous, pour informer les consommateurs du niveau de risque associé au nombre de verres consommés.

Figure 6: Le risque d'alcool

Équivalent textuel

The risk of consequences caused by alcohol increases with the number of standard drinks (SDs) you have per week.

1-2 SDs / week = Low risk

3-6 SDs / week = Moderate risk

7+ SDs / week = Increasingly high risk

Le risque de subir des conséquences liées à la consommation d'alcool augmente avec le nombre de verres standard (VS) consommés par semaine.

1-2 VS / semaine = Risque faible

3-6 VS / semaine = Risque modéré

7+ VS / semaine = Risque de plus en plus élevé

Tableau 22 – Étiquetage des boissons alcoolisées avec des informations sur les risques liés à l'alcool
Accord avec l'énoncé Total (n = 9 812)
Fortement en désaccord 10 %
En désaccord 11 %
Ni d'accord ni en désaccord 16 %
D'accord 36 %
Fortement d'accord 24 %
Je ne sais pas 2 %
Préfère ne pas dire <1 %

Base : Tous les répondants, n = 9 812.

Sexe

Âge

Provinces/territoires

Consommation d'alcool au cours des 12 derniers mois

Connaissance des Directives de consommation d'alcool

Score de littératie en santé

Accord sur l'étiquetage des boissons alcoolisées avec des informations sur les verres standard

Plus de six Canadiens sur dix sont fortement d'accord (26 %) ou d'accord (36 %) avec l'énoncé « Les canettes et les bouteilles de boissons alcoolisées devraient afficher le nombre de verres standard par contenant, comme le montre l'image ci-dessous, afin d'aider les consommateurs à suivre le nombre de verres qu'ils consomment. ».

Q - [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] Dans quelle mesure êtes-vous d'accord ou en désaccord avec l'énoncé qui suit ? Les canettes et les bouteilles de boissons alcoolisées devraient afficher le nombre de verres standard par contenant, comme le montre l'image ci-dessous, afin d'aider les consommateurs à suivre le nombre de verres qu'ils consomment.

Figure 7: Combien de verre standards

Équivalent textuel

How many standard drinks? Combien de verre standards?

750 ml, 12% ALC = 5

750 ml, 15% ALC = 7

Tableau 23 – Étiquetage des boissons alcoolisées avec le nombre de verres standard
Accord avec l'énoncé Total (n=9 812)
Fortement en désaccord 9 %
En désaccord 10 %
Ni d'accord ni en désaccord 17 %
D'accord 36 %
Fortement d'accord 26 %
Je ne sais pas 3 %
Préfère ne pas dire <1 %

Base : Tous les répondants, n=9 812

Sexe

Âge

Provinces/territoires

Consommation d'alcool au cours des 12 derniers mois

Connaissance des Directives de consommation d'alcool

Score de littératie en santé

Accord avec l'exemption d'avertissement sanitaires pour les contenants d'alcool

Un peu moins de six personnes sur dix sont fortement en désaccord (28 %) ou en désaccord (30 %) avec l'énoncé selon lequel les contenants d'alcool devraient continuer d'être exemptés de l'affichage d'avertissements sanitaires, tandis que 18 % se disent ni d'accord ni en désaccord. Plus d'un sur cinq se dit fortement d'accord ( 9%) ou d'accord (13%).

Q - [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] Au Canada, les paquets de tabac et de cannabis doivent afficher des avertissements sanitaires, mais les contenants d'alcool ne sont pas tenus d'en avoir. Dans quelle mesure êtes-vous d'accord ou en désaccord avec l'énoncé qui suit ? L'alcool devrait continuer à être exempté d'afficher de tels avertissements.

Tableau 24 – Exempter l'alcool des exigences en matière d'affichage d'avertissements sanitaires
Accord avec l'énoncé Total (n=9 812)
Fortement en désaccord 28 %
En désaccord 30 %
Ni d'accord ni en désaccord 18 %
D'accord 13 %
Fortement d'accord 9 %
Je ne sais pas 2 %
Préfère ne pas dire <1 %

Base : Tous les répondants, n=9,812

Sexe

Âge

Provinces/territoires

Consommation d'alcool au cours des 12 derniers mois

Connaissance des Directives de consommation d'alcool

Score de littératie en santé

Annexe A : Méthodologie

Échantillonnage

L'échantillon a été tiré de deux sources :

  1. Le panel de probabilités Nanos en ligne et,
  2. Numéros aléatoires composés de lignes terrestres et cellulaires et sondage administrés en ligne.

Nanos a mené une enquête mixte téléphonique et en ligne par génération aléatoire de numéros de téléphone (GANT) à bases duales (lignes terrestres et cellulaires) auprès de 9 812 Canadiens, âgés de 18 ans ou plus, entre le 13 février et le 30 juin, 2023. Les participants ont été recrutés au hasard par téléphone à l'aide d'agents en direct et ont administré un sondage en ligne, l'échantillon étant recruté à partir du panel de probabilités en ligne Nanos et recruté directement par un échantillon GANT à bases duales de numéros de lignes terrestres et cellulaires et sondage administré en ligne.

Avec plus de 50 000 panélistes, le panel de probabilités en ligne de Nanos est composé de personnes recrutées au hasard par des agents en direct sur des lignes terrestres et cellulaires. Comme les panélistes sont recrutés au hasard, cela garantit que le panel est représentatif des Canadiens. Au total, 7 663 Canadiens ont été recrutés par l'intermédiaire du panel Nanos et 2 149 par téléphone.

Plan d'échantillonnage, pondération et profil des répondants

La méthode d'échantillonnage a été conçue pour réaliser des entrevues avec 4 500 Canadiens de 16 ans et plus. Des quotas souples ont été fixés en fonction de l'âge, du sexe, de la région et du statut de consommation d'alcool. Finalement, 9 812 entretiens ont été réalisés afin d'atteindre les objectifs souples lorsque que possible, notamment celles fixées pour les jeunes (16 à 19 ans). Des discussions ont eu lieu tout au long du travail de terrain et des ajustements ont été apportés aux quotas et objectifs flexibles, notamment en réduisant l'objectif pour le Nord et les jeunes (16 à 19 ans). Cela était dû aux défis continus de recrutement pour ces groupes, où le recrutement a atteint un point de saturation, après quoi très peu de nouveaux répondants dans ces groupes ont pu être recrutés pour l'enquête malgré des efforts considérables pour y parvenir.

L'enquête a obtenu la répartition suivante :

Variable % de la population Objectif initial (quota flexible) % de l'échantillon Objectif ajusté (quota flexible)[*] Réel non pondéré Réel pondéré[*] Marge d'erreur
Région
Terre-Neuve-et-Labrador 1 % 450 5 % - 438 140 ±4.7
Nouvelle-Écosse 2 % 450 5 % - 486 264 ±4.5
Île-du-Prince-Édouard <1 % 450 5 % 385 346 41 ±5.3
Nouveau-Brunswick 2 % 450 5 % - 452 211 ±4.7
Québec 19 % 1 550 16 % - 1 364 2 253 ±2.7
Ontario 31 % 2 500 25 % - 2 784 3 793 ±1.9
Manitoba 3 % 450 5 % - 499 344 ±4.4
Saskatchewan 2 % 450 5 % - 463 287 ±4.6
Alberta 9 % 1 000 10 % - 1 103 1 092 ±3.0
Colombie-Britannique 11 % 1 200 12 % - 1 456 1 358 ±2.6
Territoires du Nord-Ouest <1 % 450 5 % 385 421 29 ±4.8
Yukon <1 % 450 5 %
Nunavut <1 % 100 1 %
Âge
16-19 5 % 700 7 % 385 368 517 ±5.2
20-24 7 % 900 9 % - 923 707 ±3.2
25-49 40 % 3 750 38 % - 3 763 3 900 ±1.6
50+ 48 % 4 600 46 % - 4 758 4 688 ±1.4
Sexe
Hommes 49 % 4 975 50 % - 5 005 4 792 ±1.4
Femmes 51 % 4 975 50 % - 4 807 5 020 ±1.4
Statut de consommation d'alcool des personnes du volet
A consommé de l'alcool au cours des 12 derniers mois 76 % 7 475 75 % - 8 364 8 386 ±1.1
N'a pas consommé d'alcool au cours des 12 derniers mois 24 % 2 475 25 % - 1 013 956 ±3.1
[*]
le cas échéant

Dans le cadre de la méthodologie d'échantillonnage, Nanos a également inclus un échantillon de numéros de téléphone fixe et de téléphone portable composé d'une double base de sondage aléatoire pour recruter les participants. Avec cette approche, une base de sondage distincte a été créée pour la partie de l'échantillon concernant les lignes terrestres et pour la partie de l'échantillon concernant les lignes cellulaires. Cette approche a permis d'assurer la couverture de l'échantillon non seulement pour les lignes terrestres, mais aussi pour les ménages disposant d'une ligne terrestre et d'une ligne cellulaire, ainsi que pour les ménages ne disposant que d'une ligne cellulaire. Le chevauchement a permis d'obtenir un niveau de granularité plus élevé. Il a été décidé d'augmenter la proportion de lignes cellulaires à 85 % (15 % de lignes terrestres) afin de mieux rejoindre les jeunes (16 à 19 ans).

Dans le cadre de l'évaluation du recrutement, les participants ont reçu une série de questions de sélection pour filtrer toute personne non éligible pour participer à l'étude. Aux fins de cette étude, les critères de sélection suivants ont été appliqués :

Comme indiqué, les répondants qui entraient dans l'une des catégories ci-dessus ont été immédiatement exclus de la recherche/empêchés d'aller plus loin et ils n'étaient plus éligibles pour participer à l'étude.

Les lecteurs doivent noter que les membres du panel ont déjà été présélectionnés pour les critères spécifiques à l'industrie; cependant, dans le cadre des meilleures pratiques de l'industrie, les répondants sont toujours sélectionnés sur cette question au cas où leur situation d'emploi ou celle d'un membre de leur famille immédiate a changé et qu'ils sont maintenant employés dans un domaine inéligible. Dans ce cas, l'adresse courriel est supprimée du panel et placé dans une base de données "ne jamais contacter".

À titre de bonne pratique, une question de sélection a été ajoutée pour garantir que les répondants n'avaient pas participé à des sondages du gouvernement du Canada au cours des 30 derniers jours avant d'être contactés.

Il convient de noter que quelques modifications ont été apportées au script de recrutement et aux questions de présélection pendant le travail de terrain dans le but d'augmenter le taux de conversion du travail de terrain.

Entretien du panel

Les individus ne peuvent pas choisir eux-mêmes de rejoindre le panel ou de répondre à des enquêtes une fois qu'ils sont panélistes. Pour chaque projet, l'échantillon est sélectionné au hasard à partir du panel recruté au hasard.

Les personnes sont recrutées au hasard pour le panel par lignes terrestres et cellulaires à travers le Canada. Ils donnent leur consentement lors de l'appel et fournissent volontairement leur adresse e-mail à Nanos pour qu'ils soient contactés pour de futures recherches en ligne. Nous recrutons pour le panel chaque semaine car nous effectuons une enquête nationale hebdomadaire qui est représentative du Canada et comprend le recrutement pour le panel. Les panélistes quittent généralement le panel après quelques mois.

Procédures de pondération

Notre méthodologie d'échantillonnage a stratifié la population en fonction de trois variables clés, ce qui a permis de trianguler l'approche de pondération et d'obtenir une solide représentation géographique et démographique dans l'ensemble du pays.

L'échantillon a été stratifié selon trois axes – par région/province, par sexe et par âge. Des quotas d'achèvement fixes ont été attribués à chaque province, au niveau régional dans les territoires, en raison de leur taille relative, qui étaient ancrés dans la répartition de leur population par rapport au total national.

Afin d'assurer une représentation équilibrée dans chaque province/région, l'échantillon a ensuite été stratifié par sous-régions. Cela a permis d'éviter un suréchantillonnage ou un sous-échantillonnage des zones géographiques (p. ex., la ville de Toronto) dans le total provincial.

Dans chaque province, des quotas souples de sexe ont ensuite été établis, qui se rapprochent de la répartition par sexe de cette région. La collecte de données a permis une variance de +/- 5% pour le sexe dans chaque région, empêchant là encore la surreprésentation des hommes ou des femmes. Le troisième axe de stratification était par catégorie d'âge. Les catégories d'âge ont été utilisées pour regrouper les répondants et à des fins de pondération.

Chacune des catégories d'âge a été pondérée, en fonction de son sexe et de sa province/région, ce qui a produit un ensemble de données qui reflète fidèlement la composition démographique de la population dans son ensemble.

Collecte de données

Méthodologie

La méthodologie de l'enquête comprenait un échantillon probabiliste sélectionné au hasard. L'échantillon a été tiré de deux sources :

  1. le panel de probabilités Nanos en ligne et;
  2. des lignes terrestres et cellulaires composées de chiffres aléatoires et administrées en ligne.

En raison de la grande taille de l'échantillon cible proposé et pour compenser les paramètres du panel de probabilité en ligne Nanos, Nanos a mené un recrutement à double mode, qui consistait à utiliser notre panel de probabilités en ligne Nanos et à des entretiens recrutés au hasard via un entretien téléphonique (numéros aléatoires de lignes terrestres - et lignes cellulaires). Tous les répondants ont auto-administré le questionnaire en ligne.

Dispositions en matière d'accessibilité

L'accessibilité est primordiale lors du processus de conception du questionnaire, où nous avons veillé à ce que les questions ne soient pas trop verbeuses ou complexes et qu'elles soient faciles à comprendre.

Notre plateforme d'enquête en ligne est conçue pour répondre aux normes d'accessibilité, notamment le format et les balises HTML appropriés, le texte alternatif, le contraste approprié et d'autres « meilleures pratiques » pour permettre une utilisation facile des lecteurs d'écran et d'autres technologies d'assistance.

Pendant le travail de terrain, nous nous sommes assurés de répondre aux besoins de tous les répondants éligibles, selon les besoins, notamment en les informant des accommodements disponibles ou des alternatives disponibles, comme de remplir l'enquête par téléphone plutôt qu'en ligne et vice versa.

Dates des travaux sur le terrain

Les travaux sur le terrain ont été réalisés entre le 13 février et le 30 juin 2023.

Durée de l'entretien

La durée moyenne des entretiens était de 22,0 minutes et variait entre 14 et 41 minutes.

Incitatifs/méthodes pour encourager la participation

Un incitatif de 5$ (soit par virement électronique, soit par un don à un organisme de bienfaisance enregistré) a été offert à tous les panélistes qui ont participé à la recherche. Au moins trois courriels de rappel ont été envoyés et jusqu'à trois appels de rappel ont été adressés aux invités pour encourager leur participation.

Contrôles de qualité

Avant le lancement de l'enquête, un pré-test a été réalisé en ligne auprès de 20 personnes (10 anglophones, 10 francophones) du 7 au 8 février 2023. L'objectif du pré-test était de s'assurer que le contenu du questionnaire était compréhensible, que la durée de l'entretien correspondait à la cible, d'assurer la comparabilité entre le français et l'anglais et de s'assurer que la logique de l'enquête se déroulait bien.

À la fin du pré-test, Nanos et Santé Canada ont examiné les résultats et ont déterminé qu'aucune modification n'était nécessaire et l'enquête a été déployée sur l'ensemble de l'échantillon.

Pour nos enquêtes en ligne auprès de notre panel, nous disposons d'une période de terrain minimale d'une semaine pour donner aux personnes une chance de répondre à l'enquête et pour que Nanos envoie des rappels à ceux qui n'ont pas répondu à l'enquête (cela limite le biais de ne prendre que les personnes qui n'ont pas répondu à l'enquête à la première invitation car ils sont disponibles et/ou ont un accès immédiat à un ordinateur pour les enquêtes en ligne).

Le fichier de données a été vérifié sur un certain nombre d'éléments pour assurer l'exactitude et la validité, à la fois pendant et après la collecte des données comme suit :

Nanos Research surveille 10 % de tous les travaux sur le terrain pour le contrôle et l'assurance de la qualité conformément aux normes du Conseil de recherche et d'intelligence marketing Canadien (CRIC), de la Société européenne pour la recherche d'opinion et de marketing (ESOMAR) et de l'American Association for Public Opinion Research (AAPOR).

Dispositions d'appel

Les tableaux suivants décrivent les modalités de contact pour le travail sur le terrain.

Enquête en ligne Contact Disposition
Total des invitations (a) 43 929
Total terminé (b) 9 812
Ruptures qualifiées (c) 142
Disqualifié (d) 31
Pas de réponse (e) 33 944
Tarif de contact (b+c+d)/a 22.7 %
Taux de participation (b+d)/a 22.4 %
Disposition des contacts pour l'enquête téléphonique
  Total
Nombre total de tentatives 589 203
Hors de portée - invalide 440 566
NIS, Entreprises, etc. 440 566
Non résolu (U) 25 748
Pas de réponse/machine/etc. 25 748
Occupé  
Non-réponse (IS) 117 693
Barrière de la langue  
Rappel 112
Refus 117 581
Résiliation  
Réponse dans le champ d'application (R) 5 196
Complet 5 196
Partiels  
Taux de réponse 3.5%

Taux de réponse

Le taux de réponse à cette enquête était de 3,5 %. Ceci a été calculé à l'aide de la formule du Conseil de recherche et d'intelligence marketing Canadien (CRIC), qui a été approuvée par le gouvernement du Canada (taux de réponse/taux de participation = R/(U + IS + R)

Biais de non-réponse

Premièrement, il existe un biais de non-réponse potentiel basé sur le profil de l'échantillon de répondants. D'après notre expérience, l'utilisation d'un échantillon à double b ase de sondage (téléphone fixe et téléphone portable) constitue la forme de recherche optimale et la plus fiable qui nécessite le moins de pondération statistique après le travail sur le terrain (tant pour l'échantillon téléphonique que pour l'échantillon en ligne, puisque les participants ont été recrutés par téléphone fixe et par téléphone portable). Du point de vue de la recherche, moins il y a de pondération, mieux c'est puisque les données restent aléatoires et sous leur forme brute comme partagée avec Nanos.

Le biais de non-réponse est géré principalement par l'application de poids statistiques. Un autre biais de non-réponse possible concernerait les personnes ayant un statut socio-économique plus bas. Ces personnes peuvent ne pas avoir accès à une ligne terrestre ou cellulaire pour être incluses dans l'échantillon, ce qui pose un problème de couverture potentielle du point de vue de l'échantillonnage. Nanos a géré ce biais de non-réponse en vérifiant statistiquement les données démographiques de l'échantillon participant par rapport à la population canadienne. En cas d'écart valable, l'ensemble des données est pondéré afin d'être cohérent avec le profil de tous les Canadiens, y compris ceux qui ont, par exemple, un statut socio-économique inférieur. La proportion estimée de Canadiens n'ayant pas accès à Internet pour répondre au sondage est de 6%[xxii].

Deuxièmement, il y a le biais potentiel de non-réponse basé sur les réponses elles-mêmes. Bien que le profil démographique de l'échantillon reflète la population canadienne, les participants qui n'ont pas répondu peuvent avoir des opinions différentes. Bien qu'il s'agisse d'une possibilité hypothétique, les résultats obtenus par Nanos en ce qui concerne le sentiment économique et politique, qui reflètent très précisément l'opinion et sont en corrélation proche avec un certain nombre de mesures externes destinées à être examinées, suggèrent qu'il y a peu de biais de non-réponse dans la méthodologie Nanos.

Troisièmement, comme l'agent de sélection a mentionné le sujet de l'enquête sur l'alcool, il existe un biais potentiel de non-réponse en faveur de ceux qui consomment de l'alcool. Nanos a travaillé pour gérer cela avec Santé Canada en ajoutant une note au script de recrutement informant les répondants potentiels que leur consommation d'alcool (ou son absence) n'avait aucune incidence sur leur capacité à répondre aux questions de l'enquête.

Annexe B : Questionnaire du sondage

Introduction

Merci de votre intérêt pour participer à ce sondage de 20 minutes réalisé pour Santé Canada. Toutes les opinions et informations que vous partagerez avec Nanos Research seront confidentielles et protégées conformément aux lois canadiennes sur la protection de la vie privée. Merci d'avance pour votre temps.

Ce projet de recherche est enregistré auprès du service de vérification de la recherche du CRIC. Vous pouvez ainsi vérifier qu'il s'agit bien d'un projet de recherche légitime et laisser si vous le voulez, des commentaires en visitant le site Internet suivant : https://canadianresearchinsightscouncil.ca/rvs/home/?lang=fr et en utilisant le code SVR : XYZ

Invitation à participer : Vous pouvez participer au sondage en acceptant ici l'invitation de Nanos Research.

If you prefer to complete the survey in english, please click on english

Objectif de l'étude : Avec ce sondage, nous souhaitons examiner le niveau de connaissance des Canadiens au sujet des méfaits de l'alcool. Cette étude servira comme base de référence pour de futures projets de recherche.

Participation : Pour participer au sondage, veuillez cliquer sur le lien dans l'invitation. Vous donnez votre consentement pour participer à ce sondage lorsque vous acceptez de le remplir et de le retourner. Il devrait vous prendre environ 20 minutes à remplir.

Confidentialité et anonymat : Vos réponses demeureront strictement confidentielles et seront utilisées uniquement dans le cadre de ce projet de recherche. Nanos Research et Santé Canada seront les seuls autorisés à avoir accès aux réponses. Les résultats seront publiés dans un format regroupé (agrégé). L'anonymat est garanti. Santé Canada n'aura accès qu'aux données anonymisées sans aucun moyen d'identifier les participants.

Conservation des données : Les sondages complétés seront conservés dans un serveur sécurisé au bureau de Nanos à Toronto accessible uniquement par le responsable de la confidentialité de Nanos pendant une période de 5 ans, après quoi ils seront détruits.

Participation volontaire : Vous n'êtes pas obligé de participer à ce sondage. Si vous choisissez finalement d'y participer, vous pouvez refuser de répondre aux questions qui ne vous conviennent pas. Vous pouvez choisir de vous retirer du processus à tout moment pendant ou après la collecte des données. Toutes les données recueillies peuvent également être détruites sur demande.

Contact : Si vous avez des questions ou avez besoin de plus d'informations sur ce projet de recherche, ou pour un support technique avec le sondage, des besoins spéciaux pour y avoir accès, ou pour demander à répondre au sondage par téléphone, vous pouvez contacter jhenwood@nanosresearch.com. Si vous avez des questions concernant la gestion de ce projet de recherche, vous pouvez contacter le chef du projet, Nik Nanos à nik@nanos.co ou 613‑234‑4666 poste 237.

En vous remerciant à l'avance pour votre temps et votre collaboration.

A. Dans quel groupe d'âge appartenez-vous?

B. Est-ce que vous ou quelqu'un de votre famille immédiate travaillez dans l'un des secteurs suivants?

C. Au cours des 30 derniers jours, avez-vous participez à un sondage pour le gouvernement du Canada ou un sondage qui porte sur l'alcool?

D. Quel était votre sexe à la naissance? Le sexe fait référence au sexe attribué à la naissance. [CAPTURÉ POUR LA GESTION DES QUOTAS]

G. Quel est votre genre? Désigne le genre auquel vous vous identifiez (peut différer de votre sexe assigner à la naissance et de ce qui est indiqué dans vos documents juridiques). [QUESTION OUVERTE]

H. Dans quelle province ou quel territoire habitez-vous actuellement?

Nos prochaines questions portent sur la consommation d'alcool.

1. Avez-vous déjà bu une boisson alcoolisée? On exclut ici le fait de boire quelques gorgées de vin, par exemple, à des fins religieuses ou autres.

2. Au cours des 12 derniers mois, à quelle fréquence avez-vous consommé des boissons alcoolisées?

Niveau de sensibilisation des campagnes d'éducation à propos de l'usage de l'alcool

3. Au cours des douze derniers mois, est-ce que vous avez vu ou entendu des campagnes d'éducation ou des messages de santé ou de sécurité publique* au sujet de l'alcool dans les endroits suivants? [AFFICHER DE MANIÈRE ALÉATOIRE] [Sélectionnez toutes les réponses qui s'appliquent]

[*]
Ces campagnes et messages décrivent les risques liés à la consommation d'alcool ou comment réduire ces risques.

Connaissance des Directives de consommation d'alcool

4. Avez-vous entendu parler ou êtes-vous au courant des « Directives de consommation d'alcool à faible risque du Canada » ou des « Repères canadiens sur l'alcool et la santé » ?

5. Où avez-vous entendu parler pour la première fois des « Directives de consommation d'alcool à faible risque du Canada » ou des « Repères canadiens sur l'alcool et la santé »? [Sélectionnez-en un]

Connaissance des mesures de verre standard – [VOLET A – CONSOMMATEURS SEULEMENT]

6. [VOLET A – CONSOMMATEURS SEULEMENT] Quand vous consommez de l'alcool, consommez-vous typiquement de la bière, du cidre, des coolers, du vin ou des spiritueux (p. ex. rhum, whisky, vodka) ? [Sélectionnez-en un]

7. [VOLET A – CONSOMMATEURS SEULEMENT] Avez-vous déjà entendu l'expression « verre standard » ?

8. [VOLET A – CONSOMMATEURS SEULEMENT] Selon vous, cette bouteille de [INSERER LA RÉPONSE DE Q6] contient combien de « verres standard » ? (Image du type de boisson alcoolisé préférée Q6 affichée à l'écran)

Comportements autodéclarés de consommation d'alcool – [VOLET A – CONSOMMATEURS SEULEMENT]

Les questions suivantes portent sur votre consommation d'alcool.

Pour les besoins de ce sondage, un verre standard correspond à :

Cette définition inclut la bière légère mais pas la bière ou les coolers désalcoolisés (0,5 % d'alcool) ni les cocktails sans alcool (ex.: Virgin Mary ou Shirley Temple).

APV = Alcool par volume

[INSÉRER L'IMAGE]

[VOLET A – CONSOMMATEURS SEULEMENT] Considérez le tableau (ou la liste) avec les jours de la semaine ci-dessous. En pensant à une semaine typique, veuillez indiquer combien de verres vous consommez habituellement chaque jour de la semaine :

Min = 0; Max = 50 – NE PAS ADDITIONER/AFFICHER LE TOTAL

  1. Lundi nombre
  2. Mardi nombre
  3. Mercredi nombre
  4. Jeudi nombre
  5. Vendredi nombre
  6. Samedi nombre
  7. Dimanche nombre

Connaissance des risques de l'alcool sur la santé – [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS]

[VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] Croyez-vous que le fait de consommer 1 à 2 verres standard d'alcool par semaine augmente, diminue ou n'a aucun impact sur votre risque de développer les problèmes de santé suivants : [AFFICHER DE MANIÈRE ALÉATOIRE]

  1. Cancer du sein
  2. Cancer du côlon
  3. Cancer de la bouche
  4. Cancer de la gorge
  5. Maladie cardiaque
  6. Arthrite
  7. Diabète
  8. Taux de cholesterol élevé
  9. Maladie du foie
  10. Être en surpoids ou obèse
  11. Faire du mal à un fœtus pendant la grossesse

[VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] Croyez-vous que le fait de consommer 3 à 6 verres standard d'alcool par semaine augmente, diminue ou n'a aucun impact sur votre risque de développer les problèmes de santé suivants : [AFFICHER DE MANIÈRE ALÉATOIRE]

  1. Cancer du sein
  2. Cancer du côlon
  3. Cancer de la bouche
  4. Cancer de la gorge
  5. Maladie cardiaque
  6. Arthrite
  7. Diabète
  8. Taux de cholesterol élevé
  9. Maladie du foie
  10. Être en surpoids ou obèse
  11. Faire du mal à un fœtus pendant la grossesse

[VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] Croyez-vous que le fait de consommer 7 verres standard d'alcool ou plus par semaine augmente, diminue ou n'a aucun impact sur votre risque de développer les problèmes de santé suivants : [AFFICHER DE MANIÈRE ALÉATOIRE]

  1. Cancer du sein
  2. Cancer du côlon
  3. Cancer de la bouche
  4. Cancer de la gorge
  5. Maladie cardiaque
  6. Arthrite
  7. Diabète
  8. Taux de cholesterol élevé
  9. Maladie du foie
  10. Être en surpoids ou obèse
  11. Faire du mal à un fœtus pendant la grossesse

49. [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] [SI "AUGMENTE" À TOUTE OPTION DE RÉPONSE AU CANCER] Quand avez-vous pris conscience que la consommation d'alcool augmentait votre risque de développer un cancer?

50. [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] [SI "AUGMENTE" À TOUTE OPTION DE RÉPONSE AU CANCER] Où avez-vous été exposé pour la première fois à de l'information au sujet que la consommation d'alcool augmente votre risque de développer un cancer ?

Utilisation autodéclarée des informations figurant sur l'étiquette (LAB) – [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS]

51. [VOLET A – CONSOMMATEURS SEULEMENT] Dans quelle mesure, le cas échéant, est-ce que des étiquettes d'avertissement affichant les sérieux risques de l'alcool sur la santé, tel que le cancer, sur les bouteilles et les canettes de boissons alcoolisées vous feraient réfléchir à propos des méfaits de l'alcool ?

52. [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] Dans quelle mesure, le cas échéant, est-ce que des étiquettes d'avertissement affichant les sérieux risques de l'alcool sur la santé, tel que le cancer, sur les bouteilles et les canettes de boissons alcoolisées vous inciteraient à réduire votre consommation d'alcool ou à suggérer aux autres de réduire leur consommation d'alcool ?

53. [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] Dans quelle mesure, le cas échéant, est-ce que des étiquettes d'avertissement, comme celle montrée ci-dessous indiquant que l'alcool cause le cancer, sur des bouteilles et des canettes de boissons alcoolisées, vous feraient réfléchir aux méfaits de l'alcool ?

[Insérer l'image]

54. [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] Dans quelle mesure, le cas échéant, est-ce que des étiquettes d'avertissement, comme celle montrée ci-dessous indiquant que l'alcool cause le cancer, sur des bouteilles et des canettes de boissons alcoolisées, vous inciteraient à réduire votre consommation d'alcool ou à suggérer aux autres de réduire leur consommation d'alcool ?

[Insérer l'image]

[VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] L'étiquette ci-dessous indique qu'une bouteille de 750 ml de vin à 12 % d'alcool par volume (APV) contient 5 verres standard et une bouteille de 750 ml de vin à 15 % APV contient 7 verres standard.

55. Si le nombre de verres standard était affiché sur les étiquettes des bouteilles et des canettes de boissons alcoolisées, comme le montre l'image ci-dessous, utiliseriez-vous cette information pour vous aider ou aider une autre personne à surveiller le nombre de verres consommés?

[Insérer l'image]

56. [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] Dans quelle mesure, le cas échéant, est-ce que des étiquettes indiquant des limites de consommation pour réduire les risques de l'alcool sur la santé, comme le montre l'image ci-dessous, sur les bouteilles et les canettes de boissons alcoolisées vous inciteraient à réduire votre consommation d'alcool ou à suggérer aux autres de réduire leur consommation ?

[Insérer l'image]

Soutien pour l'étiquetage de l'alcool (SLA)

57. [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] Dans quelle mesure êtes-vous d'accord ou en désaccord avec l'énoncé qui suit? Pour sensibiliser le public aux méfaits de l'alcool sur la santé, les canettes et les bouteilles de boissons alcoolisées devraient afficher des mises en garde sanitaires décrivant le lien entre l'alcool et ses méfaits sur la santé, y compris le cancer, comme le montre l'image ci-dessous.

[Insérer l'image]

58. [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] Dans quelle mesure êtes-vous d'accord ou en désaccord avec l'énoncé qui suit? Les canettes et les bouteilles de boissons alcoolisées devraient afficher des directives pour réduire les risques de l'alcool sur la santé, comme le montre l'image ci-dessous, pour informer les consommateurs du niveau de risque associé au nombre de verres consommés.

[Insérer l'image]

59. [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] Dans quelle mesure êtes-vous d'accord ou en désaccord avec l'énoncé qui suit? Les canettes et les bouteilles de boissons alcoolisées devraient afficher le nombre de verres standard par contenant, comme le montre l'image ci-dessous, afin d'aider les consommateurs à suivre le nombre de verres qu'ils consomment.

[Insérer l'image]

60. [VOLET A ET B – DEMANDER À TOUS] Au Canada, les paquets de tabac et de cannabis doivent afficher des avertissements sanitaires, mais les contenants d'alcool ne sont pas tenus d'en avoir. Dans quelle mesure êtes-vous d'accord ou en désaccord avec l'énoncé qui suit? L'alcool devrait continuer à être exempté d'afficher de tels avertissements.

[DEMANDER À TOUS] Nouveau signe vital – Littératie en santé (SNV)

Nous demandons aux participants de nous aider à apprendre dans quelle mesure les gens peuvent comprendre l'information sur la santé dans notre environnement. La prochaine série de questions vous demandera d'examiner certains renseignements sur la santé, puis de répondre à quelques questions à ce sujet. Vos réponses nous aideront à apprendre comment fournir de l'information sur la santé d'une manière que les gens comprendront. Cette partie ne prendra qu'environ 3 minutes.

Ce tableau de la valeur nutritive (TVN) figure sur un contenant de crème glacée de 500 ml. Vous pouvez vous référer régulièrement à ce tableau pendant que vous répondiez aux questions ci-dessous.

[ASSUREZ-VOUS QUE L'IMAGE EST VISIBLE POUR CHAQUE QUESTION]

[Insérer l'image]

61. [DEMANDER À TOUS] Si vous mangez toute la crème glacée dans le contenant, combien de calories aurez-vous mangées?

62. [DEMANDER À TOUS] S'il vous est permis de manger 60 grammes de glucides comme collation, quelle portion de crème glacée pouvez-vous vous servir?

63. [DEMANDER À TOUS] Votre médecin vous recommande de réduire la quantité de gras saturés dans votre alimentation. Habituellement, vous mangez 42 grammes de gras saturés chaque jour, ce qui comprend une portion de crème glacée. Si vous arrêtiez de manger de la crème glacée, combien de grammes de gras saturés mangeriez-vous chaque jour?

64. [DEMANDER À TOUS] Si vous mangez habituellement 2 500 calories par jour, quel pourcentage de la valeur de vos calories quotidiennes mangerez-vous en prenant une portion de crème glacée?

65. [DEMANDER À TOUS] Imaginez que vous êtes allergique aux substances suivantes : à la pénicilline, aux arachides, aux gants en latex et aux piqûres d'abeilles Pouvez-vous manger cette crème glacée sans danger?

66. [SI NON] Pourquoi pas? [AFFICHER DE MANIÈRE ALÉATOIRE]

Démographies des répondants (DEM) – [DEMANDER À TOUS]

Nos dernières questions nous aideront à grouper vos réponses et à déterminer dans quelle mesure notre échantillon de répondants au sondage est représentatif de la population canadienne.

67. Quel choix parmi les suivants décrit le mieux la taille de votre collectivité?

68. Quel est le plus haut certificat, diplôme ou grade que vous avez obtenu?

69. Êtes-vous:

70. [SI AUTOCHTONE] À quel(s) groupe(s) autochtone(s) vous identifiez-vous?

71. Dans lequel des groupes suivants se situait le revenu total de votre ménage pour l'année se terminant le 31 décembre 2021?

72. [SI SEXE = FÉMININ] Êtes-vous actuellement enceinte?

73. [SI SEXE = FÉMININ] Allaitez-vous actuellement?

74. Connaissez-vous assez bien le français ou l'anglais pour soutenir une conversation?

75. Quelle langue parlez-vous le plus souvent à la maison?

76. Quelle est la langue que vous avez apprise en premier lieu à la maison dans votre enfance et que vous comprenez encore?

77. À des fins de vérification seulement, veuillez saisir les trois premiers caractères de votre code postal :

78. En quelle année êtes-vous né(e)?

Merci d'avoir participé à cette étude. Vos réponses resteront anonymes et ne seront rapportées que sous forme agrégée. Nous apprécions beaucoup votre temps et votre honnêteté.

Si vous souhaitez vous retirer de l'étude, veuillez envoyer un courriel à la chercheuse principale de Nanos, Jennifer Henwood, à jhenwood@nanosresearch.com.

Si vous avez d'autres questions ou souhaitez des éclaircissements concernant cette recherche et/ou votre participation, veuillez contacter : Nik Nanos à nik@nanos.co.

Si vous avez des inquiétudes quant à la façon dont vous avez été traité en tant que participant, veuillez communiquer avec le Secrétariat du Comité d'éthique de la recherche Santé Canada-ASPC à reb-cer@hc-sc.gc.ca.

CONCLUSION DE L'ENQUÊTE : Ceci conclut l'étude. Merci pour votre participation!

Si le sondage vous donne envie de parler à quelqu'un de votre propre consommation d'alcool ou de la consommation d'alcool de quelqu'un d'autre, veuillez visiter Espace mieux-être Canada, Soutien en matière de santé mentale et de consommation de substances ou rechercher des services de santé et de soutien spécifiques à la province ou au territoire où vous vivez.

[i]
Tableau de bord des Coûts et méfaits de l'usage de substances au Canada. Disponible sur : https://cemusc.ca/consulter-les-donnees/. Consulté le 2023-08-29.
[ii]
Groupe de travail scientifique sur les coûts et les méfaits de l'usage de substances au Canada. Coûts et méfaits de l'usage de substances au Canada (2015-2017), Coûts et méfaits de la consommation de substances au Canada 2007-2020. préparé par l'Institut canadien de recherche sur l'usage de substances et le Centre canadien sur les dépendances et l'usage de substances, Ottawa (Ont.), Centre canadien sur les dépendances et l'usage de substances, 2020.
[iii]
Rehm, J., Mathers, C., Popova, S., Thavorncharoensap, M., Teerawattananon, Y. et Patra, J. (2009). Global burden of disease and injury and economic cost attributable to alcohol use and alcohol-use disorders. The Lancet, 373 (9682),2223-2233.
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Monographie du Centre international de recherche sur le cancer. (2014). Monographies du CIRC sur l'évaluation des risques cancérogènes pour l'homme. Disponible sur https://monographs.iarc.fr/wp-content/uploads/2018/08/14-002.pdf.
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Sherk, A., Stockwell, T., Rehm, J., Dorocicz, J., Shield, KD et Churchill, S. (2020). The international model of alcohol harms and policies: A new method for estimating alcohol health harms with application to alcohol-attributable mortality in Canada. Journal of studies on alcohol and drugs, 81(3), 339-351.
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Santé Canada. (2019). Résumé des résultats de l'Enquête canadienne sur le tabac, l'alcool et les drogues chez les élèves 2018-2019. Disponible à https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/enquete-canadienne-tabac-alcool-et-drogues-eleves/2018-2019-sommaire.html
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Institut canadien d'information sur la santé. (2018). Les méfaits de l'alcool sont en hausse chez les Canadiennes. Disponible sur https://www. cihi.ca/fr/les- méfaits-de-l-alcool-en-augmentation-pour-les-femmes-canadiennes.
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Vallance, K., Stockwell, T., Zhao, J., Shokar, S., Schoueri-Mychasiw, N., Hammond, D. & Hobin, E. (2020). Baseline assessment of alcohol-related knowledge of and support for alcohol warning labels among alcohol consumers in northern Canada and associations with key sociodemographic characteristics. Journal of Studies on Alcohol and Drugs, 81(2), 238-248.
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Statistique Canada, Recensement de la population de 2021, n° 98-316-X2021003. Consulté le 2023-08-29.
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[xviii]
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[xxi]
Statistique Canada, Recensement de la population de 2021, n° 98-200-X2021002. Consulté le 20/09/2023.
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https://www150.statcan.gc.ca/n1/en/daily-quotidien/210531/dq210531d-eng.pdf?st=A1Uw2f80