Sondage de suivi sur la démence

Rapport final

Préparé à l'intention de l'Agence de la santé publique du Canada
Nom de la firme de recherche : LES ASSOCIÉS DE RECHERCHE EKOS INC.
Numéro de contrat : CW2340561
Valeur du contrat : 199 476,08 $ (TVH incluse)
Date d'attribution des services : 6 décembre 2023
Date de livraison des services : 8 juillet 2024

Numéro d'enregistrement : ROP 091-23
Pour obtenir de plus amples renseignements sur ce rapport, veuillez communiquer avec l'Agence de la santé publique du Canada à hc.cpab.por-rop.dgcap.sc@canada.ca

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Sondage de suivi sur la démence
Rapport final

Préparé pour Agence de la santé publique Canada
Nom du fournisseur : LES ASSOCIÉS DE RECHERCHE EKOS INC.
Date : Juillet 2024

Cette recherche sur l'opinion publique présente les résultats d'un sondage en ligne mené par Les Associés de recherche EKOS inc. pour l'Agence de la santé publique Canada Cette étude a été menée auprès de 4 427 répondants vivant au Canada âgés de 18 ans ou plus en date de janvier et de février 2024.

This publication is also available in English under the title: Dementia Tracking Survey

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Ministère de la Santé
200, promenade Églantine
A.L. 1915C
Ottawa, Ontario
K1A 0K9

Numéro de catalogue : H14-628/2024F-PDF
Numéro international normalisé du livre (ISBN) : 978-0-660-72413-3

Publications connexes (numéro d'enregistrement : ROP 091-23)

Numéro de catalogue : H14-628/2024E-PDF (English Report)
Numéro international normalisé du livre (ISBN) : 978-0-660-72412-6

© Sa Majesté le Roi du chef du Canada, représenté par la ministre des Travaux publics et des Services gouvernementaux, 2024

Table des matières

Liste des tableaux

Liste des graphiques

Sommaire

A. Contexte et objectifs

La démence est un terme générique utilisé pour décrire un ensemble de symptômes affectant la fonction cérébrale qui sont causés par des maladies ou des blessures neurodégénératives et vasculaires. Elle se caractérise par un déclin des capacités cognitives, notamment de la mémoire, de la conscience de soi, du lieu et du temps, du langage, des compétences de base en mathématiques, du discernement et de la planification. La démence peut également affecter l'humeur et le comportement. À l'heure actuelle, il n'existe pas de remède connu à la démence. Un rapport de Lancet de 2020 décrit douze facteurs de risque modifiables qui représentent jusqu'à 40 % des cas de démence dans le monde[1]. De plus, les personnes atteintes de démence et les aidants naturels considèrent la stigmatisation et le manque de compréhension comme des obstacles importants à la prise en charge précoce et opportune du diagnostic, à la qualité des soins et à la capacité de s'engager de façon significative dans des activités sociales au sein de la collectivité. Avec une population croissante et vieillissante, le nombre de Canadiens atteints de démence devrait augmenter au cours des prochaines décennies[2]. Il est essentiel de créer des communautés sécuritaires et inclusives qui apportent du soutien aux personnes atteintes de démence et aux aidants naturels au Canada pour maximiser leur qualité de vie.

La première stratégie nationale du Canada sur la démence, Une stratégie sur la démence pour le Canada : Ensemble, nous y aspirons, publiée en juin 2019, cerne trois objectifs nationaux : prévenir la démence; faire progresser les thérapies et trouver un remède, et améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de démence et des aidants naturels. Afin d'appuyer les objectifs nationaux de la stratégie et de fournir des données à l'appui des rapports annuels, la recherche sur l'opinion publique est nécessaire pour tenir à jour l'information traitant de la sensibilisation, des connaissances, des perceptions et des attitudes à l'égard de la démence, et pour en surveiller les changements.

L'objectif principal de la présente recherche est de revenir sur les questions posées dans des sondages d'opinion publique antérieurs, en mettant un accent particulier sur l'étude de référence de 2020 sur la démence de l'Agence de la santé publique du Canada (ASPC)[3]. Plus précisément, le sondage de 2020 posait des questions sur les perceptions de personnes atteintes de démence, sur le niveau d'aise lors d'interactions avec des personnes atteintes de démence, ainsi que sur la recherche et le partage de renseignements en lien avec les diagnostics de démence. Une comparaison est également effectuée, dans la mesure du possible, avec un sondage de l'ASPC tenu en 2022, lequel s'articulait autour de la sensibilisation aux facteurs de risque modifiables, aux défis et obstacles, ainsi qu'aux catalyseurs et sources d'influence qui ont une incidence sur l'adoption de comportements favorisant la réduction du risque de démence[4]. D'autres sondages d'opinion publique de l'ASPC ont porté sur les communautés inclusives en matière de démence, sur la stigmatisation liée à la démence, sur la prévention de la démence, sur les expériences de fournisseurs de soins à des personnes atteintes de démence, sur les perspectives de populations autochtones en lien avec des conseils en matière de démence, sur les priorités d'un portail d'information traitant de démence, sur les liens entre les communautés de langue officielle en situation minoritaire et la démence, ainsi que sur la qualité de vie. Les rapports finaux et les documents connexes pour ces sondages sont disponibles sur le site Web de Bibliothèque et Archives Canada.

La recherche actuelle évalue les changements au fil du temps de données clés de la stratégie nationale sur la démence et les efforts qui y sont liés. La compréhension des changements dans les attitudes, les connaissances et les expériences liées à la démence, et de ce qui a favorisé ces changements, contribuera à l'évaluation des progrès réalisés par rapport aux objectifs nationaux et aux domaines d'intérêt de la stratégie. Les résultats de la recherche orienteront l'établissement des priorités pour la prochaine étape de l'investissement de l'ASPC dans la lutte contre la démence et appuieront la présentation de rapports annuels au Parlement sur la stratégie, comme l'exige la Loi relative à une stratégie nationale sur la maladie d'Alzheimer et d'autres démences.

B. Méthodologie

Dans le cadre du sondage, 4 427 répondants vivant au Canada qui sont âgés de 18 ans ou plus ont répondu au questionnaire, y compris des sur échantillons de gens qui s'identifient comme des Noirs (213), des Asiatiques du Sud (223), des Asiatiques du Sud-Est (228), des Hispaniques (144), des Autochtones (365[5]), des personnes 2SLGBTQI+ (530), et des répondants du Canada atlantique (1145) ou des territoires (406).

L'échantillon du sondage est issu du panel Probit des Associés de recherche EKOS, assemblé au moyen de la composition aléatoire pour échantillonnage à partir d'une base composée de personnes dotées d'un téléphone cellulaire ou filaire, ce qui offre un recoupement de l'ensemble des Canadiens munis d'un accès téléphonique. Le processus de recrutement était réparti de manière à refléter telle quelle la population du Canada (selon la définition de Statistique Canada[6]). Ainsi, avec plus de 120 000 membres actifs, le panel Probit peut être considéré comme représentatif de la population canadienne (c'est-à-dire qu'une population cible donnée comprise dans notre panel correspond de près à l'ensemble de la population), et il est donc possible de lui attribuer une marge d'erreur. Une majorité de l'échantillon a été recueillie par le biais d'un questionnaire en ligne autoadministré, alors que le quart de l'échantillon a été recueilli par des enquêteurs bilingues formés.

La durée moyenne requise pour répondre au sondage était de 16 minutes en ligne et de 23 minutes au téléphone. Les données ont été recueillies du 17 janvier au 20 février 2024. La collecte faisait suite à une mise à l'essai préalable du questionnaire auprès de répondants dont l'objectif était d'examiner la longueur, le débit, l'ordre des questions et la clarté de la terminologie ((47 cas : 32 en anglais, 15 en français, 10 en ligne et 5 au téléphone). Le taux de participation a été de 9 % (27 % en ligne, 17 % avec des membres du panel répondant au sondage par téléphone et 4 % avec l'échantillon par CA, au téléphone). Des détails sur le taux de participation sont disponibles à l'annexe A. Le questionnaire du sondage est fourni à l'annexe B.

Cet échantillon probabiliste recruté de façon aléatoire a une marge d'erreur de +/- 1,5 % à un intervalle de confiance de 95 %. La marge d'erreur de chacun des groupes cibles oscille entre 2,3 et 7,8 %, à l'exception de ceux du Nunavut[7]. Les résultats sont pondérés en fonction des proportions de la population selon la région, l'âge, le genre et le niveau de scolarité, ainsi qu'en tenant compte des répondants qui sont des Noirs, des Asiatiques du Sud ou du Sud-Est, des Hispaniques, des Autochtones et des membres de la communauté 2SLGBTQI+.

Les résultats sont comparés à ceux du sondage de référence sur la démence menée en 2020 auprès des répondants âgés de 18 ans et plus. Pour ce qui est des constatations en lien avec la perception du risque et de la prévention, elles sont comparées à celles obtenues dans le sondage de 2022 traitant de ces questions. Ce dernier sondage comprenait un échantillon de répondants âgés de 18 à 74 ans. Aux fins d'une comparaison plus directe, les résultats relatifs à la perception du risque et à la prévention apparaissant dans le présent rapport excluent les répondants qui étaient âgés de 75 ans ou plus au moment de leur participation à l'étude. Il y a aussi une concentration un peu plus élevée d'aidants naturels non rémunérés dans l'échantillon du sondage de 2024 par rapport à celui de 2020 (27 % contre 22 %), selon la définition originale d'« aidants naturels non rémunérés » de 2020[8].

Les comparaisons globales avec les résultats des sondages de 2020 et 2022 décrivent les résultats comme étant « semblables à », « en harmonie avec » ou « comparables à » lorsqu'ils se situent à moins de quatre points de pourcentage des résultats actuels. Les différences les plus importantes sont décrites en conséquence. Des tests du chi carré à un seuil de signification de.005 ont été utilisés pour comparer les sous-groupes de reste de l'échantillon.

Les différences statistiques entre les sous-groupes et le reste des répondants sont analysées dans les groupes démographiques (p. ex., les moins de 35 ans par rapport aux répondants plus âgés, l'Ontario par rapport au reste du Canada). Les groupes de population susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence sont également soumis à des analyses afin de trouver des différences entre ces groupes et les autres répondants. Par exemple, les personnes qui s'identifient comme des Noirs sont comparées à tous les autres répondants qui ne s'identifient pas comme tels, alors que les gens qui ont un problème de santé chronique sont comparés aux répondants qui n'en ont pas. Dans la plupart des cas, les résultats sont décrits pour le sous-groupe par rapport à tous les autres, généralement appelés « les autres répondants ». Lorsque cela est pertinent, les résultats d'autres sous-groupes clés sont décrits pour obtenir une comparaison plus illustrative.

Des détails sur la méthodologie et les caractéristiques de l'échantillon sont disponibles à l'annexe A. Le questionnaire du sondage se trouve à l'annexe B.

C. Principales constatations

Connaissances sur la démence

À l'instar des résultats de 2020, environ trois répondants sur quatre connaissent quelqu'un qui est atteint ou a été atteint de démence. Pour près de la moitié d'entre eux (47 %), cette personne est un membre de la famille étendue. D'autres évoquent un parent (21 %), un ami (20 %), un voisin (11 %), un collègue au travail (5 %), un conjoint (4 %) ou eux-mêmes (1 %).

Près de trois répondants sur quatre (74 %) croient être moyennement informés (54 %) ou très bien informés (20 %) sur la démence. Cette proportion est semblable aux 75 % qui disaient se considérer comme moyennement ou très bien informés en 2020.

La plupart des répondants (85 %) croient qu'il est possible de prendre des mesures pour réduire le risque de démence, ce qui constitue une augmentation par rapport aux 74 % obtenus en 2020. Un peu moins de trois répondants sur cinq (58 %) estiment à juste raison que le risque de développer la démence est lié à des problèmes de santé chroniques, comme l'hypertension, les maladies cardiaques ou le diabète. La connaissance de ce lien avec les problèmes de santé chroniques a augmenté depuis 2020, alors que 37 % des répondants disaient croire que cet énoncé était faux. Plus d'un répondant sur trois (37 %) sait que certains groupes ethniques et culturels sont considérés comme plus à risque de développer la démence, proportion qui a augmenté depuis les 32 % enregistrés en 2020. Un répondant sur quatre (24 %) ne croit pas que ce soit le cas, et 39 % en sont incertains.

Perception des risques de développer la démence

Lorsque vient le temps de nommer les principaux facteurs de risque qui leur viennent à l'esprit lorsqu'ils pensent à ce qui augmente la probabilité de développer la démence en général, la génétique est cernée le plus souvent (33 %) par les répondants âgés de moins de 75 ans[9], bien que les recherches suggèrent que le risque génétique n'est pas susceptible d'être un facteur important dans la plupart des cas de démence. Cependant, entre un répondant sur cinq et un répondant sur quatre âgé de moins de 75 ans croit que le manque d'activité physique (27 %), le manque de stimulation cognitive (24 %), la solitude ou l'isolement social (21 %) et un régime alimentaire malsain (20 %) contribuent au risque de développer la démence. Les résultats sont semblables à ceux obtenus en 2022.

Avant de présenter une liste de facteurs de risque dans le cadre du sondage, 21 % des répondants âgés de moins de 75 ans considéraient comme élevé leur risque personnel de développer la démence, ce qui constitue une augmentation par rapport aux 15 % obtenus en 2022. Environ une personne sur trois (31 %) estime que son risque est faible et une proportion un peu plus élevée (37 %) croit présenter un risque modéré, ce qui est en harmonie avec les résultats de 2022.

Près de deux répondants sur trois âgés de moins de 75 ans (64 %) qui estiment que leur risque personnel de développer la démence est modéré ou élevé affirment que c'est parce que des membres de leur famille sont atteints de démence ou l'ont été par le passé. Plus de quatre répondants sur dix (45 %) perçoivent leur risque comme modéré ou élevé parce qu'ils ne font pas assez d'exercice. Environ le tiers de répondants (38 %) dit que c'est parce qu'il a au moins un problème de santé chronique, parce qu'il a du mal à maintenir une saine alimentation (30 %) ou parce que la démence est inévitable (30 %). Ces résultats sont semblables à ceux de 2022.

Parmi les répondants âgés de moins de 75 ans qui estiment que leur risque de développer la démence est faible, 81 % pensent que c'est parce qu'ils mettent régulièrement leur cerveau au défi, ce qui représente une proportion plus élevée qu'en 2022 (72 %). Sept répondants sur dix (70 %) disent que c'est parce que personne dans leur famille n'a été atteint de démence, ce qui représente également une faible augmentation par rapport aux 64 % obtenus en 2022. Près de deux répondants sur trois (66 %) déclarent que c'est parce qu'ils estiment avoir de saines habitudes alimentaires (une hausse par rapport aux 58 % de 2022), parce qu'ils accordent la priorité à l'activité physique (63 %) ou parce qu'ils n'ont pas de problèmes de santé chroniques (62 %); des augmentations sont observées dans ces deux dernières catégories par rapport aux 53 % et 50 %, respectivement, obtenus en 2022.

En ce qui concerne les facteurs qui, selon les répondants, sont susceptibles d'augmenter leur risque personnel de développer la démence, la génétique est mentionnée le plus souvent, soit par 55 % des répondants âgés de moins de 75 ans. Le manque d'activité physique (46 %) et la perturbation du sommeil (43 %) sont mentionnés par deux personnes sur cinq. Lorsqu'il est question de leur situation actuelle, la dépression (38 %), la solitude et l'isolement social (37 %, soit une baisse par rapport aux 42 % obtenus en 2022), un régime alimentaire malsain (37 %) et un traumatisme cérébral (31 %) sont considérés par plus de trois répondants sur dix comme des facteurs susceptibles d'augmenter le risque de développer la démence. Les répondants croient que de nombreux autres facteurs de risque sont susceptibles d'augmenter leur risque de développer la démence, y compris la haute pression artérielle (28 %; augmentation de 7 % par rapport à 2022), l'abus d'alcool (27 %), l'obésité (25 %), la pollution de l'air (25 %, hausse de 8 % par rapport à 2022), le diabète (21 %, augmentation de 6 % par rapport à 2022), le haut cholestérol (21 %; hausse de 8 % par rapport à 2022), le tabagisme (21 %) et la perte auditive (17 %; hausse de 5 % par rapport à 2022). Lorsqu'on leur a demandé s'il existait des facteurs de risque de démence qu'ils ignoraient avant de participer au sondage, 19 % des répondants ont répondu qu'ils connaissaient tous les facteurs de risque, soit 10 % de plus qu'en 2022.

Mesures préventives réduisant le risque de développer la démence

Un répondant sur quatre âgé de moins de 75 ans (26 %) dit qu'il croit pouvoir réduire dans une grande mesure son risque de démence (une hausse par rapport aux 20 % obtenus en 2022), alors que 16 % estiment que leur capacité à le faire est faible et 50 % sont d'avis qu'elle est moyenne (8 % ne savent pas). Un répondant sur trois (32 %) pense qu'il est important que les gens commencent à prendre des mesures réduisant le risque de démence à tout âge (une augmentation par rapport aux 25 % de 2022). Toutefois, 24 % des répondants estiment que les gens devraient commencer à agir lorsqu'ils ont moins de 35 ans (une augmentation par rapport aux 13 % obtenus en 2022), et 27 % pensent que les gens devraient commencer à agir lorsqu'ils ont entre 35 et 54 ans.

Un répondant sur trois âgé de moins de 75 ans (33 %) déclare avoir pris des mesures préventives au cours de la dernière année pour réduire son risque de démence. Il s'agit d'une hausse par rapport aux 27 % obtenus en 2022 et aux 21 % enregistrés en 2020. Pour réduire le risque de développer la démence, la plupart des répondants disent mettre leur cerveau au défi (80 %, contre 74 % en 2022), ont une saine alimentation (74 %, contre 68 % en 2022), font régulièrement des activités physiques (69 %), améliorent leur sommeil (58 %; cet aspect ne faisait pas partie du sondage de 2022), participent à des activités sociales (57 %, soit une augmentation considérable par rapport aux 41 % enregistrés en 2022), ou surveillent et gèrent leurs problèmes de santé chroniques (56 %, soit une forte hausse par rapport aux 39 % de 2022).

Lorsqu'il est question de ce qui les motive à commencer à prendre des mesures préventives pour réduire le risque de développer la démence, près de trois répondants sur quatre âgés de moins de 75 ans (72 %; cet aspect ne faisait pas partie du sondage de 2022) mentionnent la motivation personnelle envers un mode de vie sain, tandis que plus de la moitié (56 %, une hausse par rapport aux 50 % obtenus en 2022) disent être motivés parce qu'ils connaissent ou ont connu une personne atteinte de démence. Parmi les autres facteurs de motivation figurent des preuves crédibles (34 %, contre 28 % en 2022), un changement de l'état de santé (24 %), des reportages dans les médias (22 %, contre 15 % en 2022) et des conseils de personnes proches et de membres de leur famille (20 %, contre 14 % en 2022).

Plus de la moitié des répondants âgés de moins de 75 ans (57 %) affirme qu'elle aimerait pouvoir ou qu'elle devrait en faire plus pour réduire leur risque de développer la démence. Parmi ceux qui n'ont pas cette impression, 55 % estiment déjà faire ce qu'ils peuvent et 29 % ne croient pas avoir un haut risque de démence. Parmi ceux qui estiment qu'ils pourraient faire plus pour réduire leur risque, les raisons de ne pas en faire plus sont les suivantes : ils n'en savent pas assez sur les mesures qu'ils devraient prendre (17 %, une baisse par rapport aux 33 % de 2022), ils sont trop jeunes pour être inquiets (13 %; cet aspect ne faisait pas partie du sondage de 2022), ils ont des problèmes de santé (10 %, proportion semblable à celle observée en 2022), ils croient que cela ne fera pas assez de différence (10 %, proportion semblable à celle observée en 2022).

Bien que 60 % des répondants âgés de moins de 75 ans déclarent n'avoir pris aucune mesure préventives pour réduire leur risque de démence au cours de la dernière année, 97 % de tous les répondants âgés de moins de 75 ans ont participé à des activités liées à la réduction du risque de développer la démence au cours de la dernière année. Les principales activités mentionnées parmi tous les répondants de moins de 75 ans sont de mettre leur cerveau au défi (77 %) et avoir une alimentation plus saine (73 %). Trois personnes sur cinq disent être physiquement (62 %) ou socialement actives (62 %). La moitié (50 %) affirme surveiller et gérer ses problèmes de santé chroniques. Chacune des activités énumérées a été signalée par une proportion beaucoup plus importante de personnes âgées de moins de 75 ans qu'en 2022.

Capacité de fournir des soins non rémunérés à des personnes atteintes de démence

Parmi les 74 % de tous les répondants qui connaissent une personne atteinte de démence, près de la moitié (47 %) a fourni d'une quelconque manière des soins non rémunérés au cours des cinq dernières années (une augmentation par rapport aux 36 % obtenus en 2020). Dans l'ensemble, 41 % des répondants ont été identifiés comme des aidants naturels non rémunérés parce qu'ils visitent ou ont rendu visite à une personne atteinte de démence et lui fournissent du soutien social et émotionnel (42 %), du transport (26 %), une aide avec des activités quotidiennes (25 %), des soins de santé généraux et de suivi médical (23 %) ou une aide avec des affaires financières (20 %)[10]. En utilisant l'échantillon original de 2020, qui excluait les options « Visite, soutien social et émotionnel » et « Transport », 27 % de l'échantillon sont des aidants naturels non rémunérés, comparativement à 22 % en 2020.

Les aidants naturels non rémunérés fournissent principalement du soutien à un membre de leur famille (43 %), à un parent (36 %) ou à un ami proche (17 %). Un aidant naturel non rémunéré sur dix (10 %) fournit des soins à son conjoint, ce qui constitue une hausse par rapport aux 5 % de 2020. En moyenne, les aidants naturels non rémunérés fournissent 16,5 heures de soins par semaine.

Moins de la moitié (47 %) des personnes qui fournissent des soins non rémunérés croit être en mesure de fournir les soins nécessaires à une personne atteinte de démence, ce qui constitue une baisse par rapport aux 57 % enregistrés en 2020. Un répondant sur quatre (25 %) n'est pas d'accord pour dire qu'il a été en mesure de fournir les soins nécessaires et 23 % dit n'être ni d'accord ni en désaccord avec cet énoncé. Les principales raisons qu'évoquent les personnes qui ne se sentent pas en mesure de fournir les soins requis sont le fait de ne pas être le principal aidant naturel ou de ne pas être la personne responsable (51 %; ce choix de réponse n'était pas offert en 2020), d'avoir d'autres responsabilités (47 %), de ne pas avoir assez de temps (42 %, soit une baisse par rapport aux 48 % obtenus en 2020) ou la distance (41 %, cette option n'était pas offerte en 2020). Les aidants naturels interrogés déclarent également ne pas être en mesure de fournir les soins nécessaires parce qu'ils n'ont pas assez de soutien (30 %, en baisse par rapport aux 38 % de 2020), parce que leur propre santé les préoccupe (28 %, contre 17 % en 2020), parce qu'ils n'ont pas assez d'information (25 %, contre 30 % en 2020), parce qu'ils ne sont généralement pas doués dans ces types de situations (22 %) ou parce que les finances les préoccupent (20 %). Parmi les aidants naturels non rémunérés qui se sentent en mesure de fournir les soins requis, les principales raisons évoquées sont d'avoir assez de temps ou un horaire flexible (71 %) ou de vivre assez près (63 %).

Parmi les répondants qui n'ont aucune expérience dans la prestation de soins à une personne atteinte de démence, plus de la moitié (56 %; une légère baisse par rapport aux 61 % obtenus en 2020) disent qu'ils seraient en mesure de fournir fréquemment du soutien non rémunéré. Pour ces répondants, la raison la plus courante de se sentir en mesure de fournir du soutien est que la personne atteinte de démence est importante pour eux et qu'ils feraient ce qu'ils peuvent (82 %).

Attitudes et perceptions

Un peu plus de huit répondants sur dix (82 %) croient que la démence a un impact modéré ou un grand impact au Canada en ce moment. La proportion de répondants qui croient qu'elle a des répercussions importantes a augmenté par rapport aux 35 % enregistrés en 2020.

Plus de trois répondants sur cinq (63 %) sont d'accord pour dire que la possibilité que quelqu'un de leur entourage développe la démence les préoccupe, ce qui est en harmonie avec les 64 % obtenus en 2020. Près de la moitié (46 %) des répondants est d'accord pour dire qu'elle s'inquiète de la possibilité de développer personnellement la démence, ce qui est aussi comparable à la proportion de 49 % enregistrée en 2020.

Deux répondants sur trois (67 %) se sentiraient très à l'aise d'avoir une discussion avec un fournisseur de soins de santé sur le risque de développer la démence, ce qui est en légère baisse par rapport aux 71 % de 2020. Près de la moitié (46 %) croit qu'elle serait très à l'aise de parler à des amis d'un diagnostic de démence, ce qui est comparable aux 49 % obtenus en 2020.

Perception du soutien de la communauté aux personnes atteintes de démence

En ce qui concerne le soutien offert dans leur collectivité aux personnes atteintes de démence, moins d'une personne sur cinq estime qu'il est bon. Parmi ceux qui connaissent une personne atteinte de démence, seulement 18 % croient que l'accès à la planification préalable des soins et des soins de fin de vie est bon. Seuls 17 % des répondants croient que l'accès à des soins de santé de qualité pour les personnes atteintes de démence est bon, 16 % sont d'avis que l'accès à du soutien à domicile est bon et 13 % estiment que l'accès à des programmes de jour est bon. Parmi tous les répondants, seulement 11 % évaluent favorablement leur collectivité en matière d'inclusion de la démence. En particulier, au moins une personne sur quatre indique ne pas être au courant du soutien offert dans sa collectivité dans les cinq domaines examinés.

Sources d'information

Environ trois répondants sur quatre (73 %) considèrent que les sites Web d'experts en soins de santé sont des sources fiables d'information sur la démence. Les professionnels de la santé étaient également considérés comme une source fiable en 2020, même s'il n'y avait pas de référence précise à des sites Web. Environ les deux tiers (64 %) croient la même chose des sites Web du gouvernement fédéral. Le résultat était le même en 2020, quoique la mention plus large de sites Web du gouvernement du Canada était utilisée. Les sites Web des gouvernements provinciaux ou territoriaux sont également considérés comme dignes de confiance par 61 %, option qui était présentée comme des ministères provinciaux et territoriaux de la santé dans le sondage de 2020 (68 %). La moitié (52 %) considère les sites Web d'organismes de défense des droits comme des sources fiables, et un peu moins de la moitié (48 %) estime que les ouvrages, les articles et les revues scientifiques sont fiables (cette option ne faisait pas partie des réponses proposées dans le sondage de 2020 ou les résultats ne sont pas comparables). Quatre personnes sur dix (40 %) font confiance aux personnes qu'elles connaissent, ce qui a légèrement augmenté par rapport aux 36 % de 2020[11].

D. Note aux lecteurs

Les résultats détaillés de l'étude sont présentés dans les sections ci-dessous. Les résultats globaux sont présentés dans la section principale du rapport et sont normalement appuyés par un graphique ou une présentation tabulaire. Les résultats pour la proportion de répondants de l'échantillon qui ont répondu « je ne sais pas » ou qui n'ont pas fourni une réponse peuvent ne pas être indiqués dans la représentation graphique des résultats dans tous les cas, particulièrement lorsqu'ils ne sont pas appréciables (p. ex., 10 % ou moins). Aussi, il est possible que les résultats ne donnent pas cent pour cent en raison des arrondissements.

Des textes à puces sont utilisés pour mettre en évidence des différences statistiques importantes[12] entre des sous-groupes de répondants. Seules les différences qui sont statistiquement et considérablement différentes (p. ex., au moins cinq points de pourcentage de différence par rapport à la moyenne globale) sont présentées.

Les principaux profils démographiques d'intérêt sont décrits dans le rapport, suivant un ordre précis sous des rubriques particulières (genre, âge, niveau de scolarité et revenu, région et groupes identifiés comme ayant un risque plus élevé de développer la démence). Les groupes identifiés comme ayant un risque plus élevé de développer la démence comprennent les répondants qui s'identifient comme des Noirs, des Hispaniques, des Asiatiques du Sud ou du Sud-Est, des Autochtones, des personnes 2SLGBTQI+ et des personnes ayant reçu un diagnostic d'un problème de santé chronique.

E. Valeur du contrat

La valeur du contrat est de 199 476,08 dollars (TVH incluse).

F. Certification de neutralité politique

À titre de cadre supérieur des Associés de recherche EKOS Inc., j'atteste par la présente que les documents remis sont entièrement conformes aux exigences de neutralité politique du gouvernement du Canada exposées dans la Politique sur les communications et l'image de marque et dans la Directive sur la gestion des communications. En particulier, les documents remis ne contiennent pas de renseignements sur les intentions de vote électoral, les préférences quant aux partis politiques, les positions des partis ou l'évaluation de la performance d'un parti politique ou de ses dirigeants.

Signé par : Susan Galley (Vice-présidente)

Résultats détaillés

A. Caractéristiques personnelles

Comme dans le sondage de 2020, près de trois répondants sur quatre (74 %) connaissent quelqu'un qui est atteint ou était atteint de démence, ce qui comprend un membre de la famille étendue (47 %), un parent (21 %), un ami (20 %), un voisin (11 %), un collègue de travail (19 %), un conjoint (1 %) ou eux-mêmes (1 %). Ces résultats sont très semblables à ceux obtenus dans le sondage de référence de 2020 où la moitié des répondants (46 %) mentionnait qu'un membre de la famille étendue était atteint ou avait été atteint de démence. En 2020, un répondant sur cinq avait un parent (20 %),un ami (19 %) atteint de démence, ou un voisin atteint de démence (11%).

Graphique 1 : Lien personnel avec une personne atteinte de démence
Graphique 1. La version textuelle suit.
Graphique 1 - Équivalent textuel
Graphique 1: Lien personnel avec une personne atteinte de démence
Q11. S'il y a lieu, qui connaissez-vous ou avez-vous connu qui est atteint ou était atteint de démence? Total 2020
Un membre de ma parenté étendue 47% 46%
Un parent 21% 20%
Un ami 20% 19%
Un voisin 11% 10%
Un collègue de travail 5% 5%
Mon époux/épouse ou conjoint(e) 4% 2%
Un ami de la famille 2% --
Moi-même 1% 1%
Par le travail/bénévolat (spontané) 1% 1%
Personne 21% 21%
Autre 1% 1%
Ne sais pas 4% 3%
Préfère ne pas répondre 1% 1%
Base: Tous les répondants n=4427, 2020: n=4074

Q11. S'il y a lieu, qui connaissez-vous ou avez-vous connu qui est atteint ou était atteint de démence?
Base : Tous les répondants n=4427; 2020 : n=4074

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence (comme indiqué dans la partie D : Note aux lecteurs).

Aidants naturels non rémunérés

Problèmes de santé chroniques

Les répondants étaient interrogés sur le thème des problèmes de santé chroniques et recevaient une liste des problèmes liés au risque de développer la démence. Près de la moitié des répondants (55 %) déclarent avoir reçu un diagnostic pour un problème de santé chronique. Parmi ces problèmes, les plus répandues sont la dépression (18 %), l'hypertension (18 %), le haut cholestérol (17 %), l'obésité (12 %), le diabète (12 %), la perte auditive (11 %), les maladies cardiaques (7 %) et les traumatismes cérébraux (6 %). Une moindre proportion mentionne d'autres problèmes de santé chroniques[15],[16].

Graphique 2 : Problème de santé chronique : Problème de santé chronique
Graphique 2 : Problème de santé chronique. La version textuelle suit.
Graphique 2 : Problème de santé chronique - Équivalent textuel
Graphique 2: Problème de santé chronique
NEWQ21. Avez-vous reçu un diagnostic de l'un des éléments suivants? Total
Hypertension 18%
Dépression 18%
Haut cholestérol 17%
Obésité 12%
Diabète 12%
Perte auditive 11%
Maladie cardiaque 7%
Traumatisme cérébral 6%
Accident vasculaire cérébral 3%
Troubles de l'anxiété 1%
Conditions auto-immunes 1%
Troubles d'hyperactivité, TDAH 1%
Diagnostique de cancer 1%
Arthrite 1%
Autre 4%
Aucune de ces réponses 44%
Ne sais pas 1%
Base: Tous les répondants n=4427

NEWQ21. Avez-vous reçu un diagnostic de l'un des éléments suivants?
Base : Tous les répondants n=4427

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Aidants naturels non rémunérés

B. Connaissances sur la démence

Une personne sur cinq (20 %) ayant répondu au sondage en ligne estime être très bien informée (c.-à-d. note de 4 ou 5 sur une échelle de 5 points) sur la démence, et un peu plus de la moitié (54 %) déclare être moyennement informée, bien que 26 % croient ne pas être informée. Les résultats sont semblables à ceux obtenus dans le sondage de référence de 2020, où 24 % affirmaient être très bien informés.

Graphique 3 : Autoévaluation des connaissances sur la démence
Graphique 3. La version textuelle suit.
Graphique 3 - Équivalent textuel
Graphique 3: Autoévaluation des connaissances sur la démence
Q1. À quel point croyez-vous être bien informé sur la démence? Total 2020
Pas informé (1-2) 26% 25%
Moyennement informé (3) 54% 51%
Très bien informé (4-5) 20% 24%
Base: Tous les répondants n=2800 (demandé en ligne seulement); 2020: n=4207

Q1. À quel point croyez-vous être bien informé sur la démence?
Base : Tous les répondants n=2800 (demandé en ligne seulement);
2020 : n=4207

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Aidants naturels non rémunérés

Connaissance de la variabilité du risque

La vaste majorité (85 %) des répondants croit qu'il est possible de prendre des mesures pour réduire les risques de développer la démence. Une très faible proportion pense le contraire (4 %). Le pourcentage de répondants qui croit que des mesures peuvent être prises pour réduire le risque de démence a augmenté par rapport aux 74 % obtenus en 2020.

Près de six répondants sur dix (58 %) estiment à juste raison que le risque de développer la démence est probablement élevé chez les gens ayant un problème de santé chronique, comme l'hypertension, une maladie du cœur et le diabète. Plus d'un répondant sur quatre n'en est toutefois pas certain (28 %). La sensibilisation a augmenté considérablement dans ces domaines depuis le sondage de 2020, alors que 37 % des répondants avaient cerné ces problèmes comme des facteurs de risque.

Trente-sept pourcent des répondants savent que certains groupes ethniques ou culturels présentent un risque plus élevé de développer la démence (comme le suggèrent les données disponibles), bien qu'une personne sur quatre (24 %) croie que c'est faux et que 39 % soient incertains. La connaissance du fait que certains groupes ethniques ou culturels présentent un plus haut risque de démence est un peu plus élevée qu'en 2020, alors que 32 % des répondants estimaient que c'était bel et bien le cas.

Graphique 4 : Variabilité perçue des risques
Graphique 4. La version textuelle suit.
Graphique 4 - Équivalent textuel
Graphique 4: Variabilité perçue des risques
Q5bde. Au meilleur de vos connaissances, veuillez indiquer si vous croyez que chacun des énoncés suivants est vrai ou faux.; Total 2020 (Vrai)
Il est possible de prendre des mesures pour réduire les risques de développer une démence    
Ne sais pas 11% --
Faux 4% --
Vrai 85% 74%
Le risque de développer une démence est plus élevé chez les gens qui ont des problèmes de santé chroniques, comme l'hypertension, une maladie cardiaque ou le diabète    
Ne sais pas 28% --
Faux 14% --
Vrai 58% 37%
Certains groupes ethniques ou culturels présentent un risque plus élevé de développer une démence    
Ne sais pas 39% --
Faux 24% --
Vrai 37% 32%
Base: Tous les répondants n=4427; 2020: n=4207

Q5bde. Au meilleur de vos connaissances, veuillez indiquer si vous croyez que chacun des énoncés suivants est vrai ou faux.
Base : Tous les répondants n=4427; 2020 : n=4207
Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Aidants naturels non rémunérés

C. Réduction du risque de démence

Facteurs de risque perçus

Comme indiqué dans la section sur la méthodologie du rapport, les résultats de la présente section sont comparés à ceux recueillis dans le sondage de 2022, qui s'articulait autour de la perception du risque et des mesures de prévention. Puisque le sondage de 2022 sur la prévention se limitait aux répondants âgés de 18 à 74 ans, les résultats de la présente section, qui traite de la perception du risque, excluent les répondants âgés de 75 ans ou plus au moment de répondre au sondage pour offrir une comparaison plus directe avec les résultats antérieurs.

Les répondants étaient interrogés sur les facteurs de risque qui augmentent la probabilité de développer la démence par le biais d'une question ouverte[18] où ils devaient nommer les trois premiers facteurs de risque qui leur venaient à l'esprit. Le facteur de risque le plus souvent mentionné par les répondants âgés de moins de 75 ans est la génétique (33 %), bien que les recherches suggèrent que le risque génétique n'est probablement pas un facteur important dans la plupart des cas de démence. Entre 20 % et 27 % ont correctement identifié le manque d'activité physique (27 %), le manque de stimulation cognitive (24 %), la solitude ou l'isolement social (21 %), ainsi qu'un régime alimentaire malsain (20 %) comme des facteurs de risque qui augmente la probabilité de développer la démence. Parmi les autres facteurs de risque les plus importants, selon les répondants, figurent les suivants autres problèmes de santé, comme les maladies cardiaques ou les accidents vasculaires cérébraux (12 %), l'abus d'alcool (9 %), les problèmes de santé mentale ou de stress (7 %), le vieillissement (7 %), les traumatismes cérébraux (7 %) ou la santé en général (7 %). Les résultats sont semblables à ceux de 2022, à l'exception des autres problèmes de santé, comme les maladies cardiaques ou les accidents vasculaires cérébraux (12 % en 2024 contre 8 % en 2022).

Tableau 1 : Connaissance des facteurs de risque
  TOTAL
2024
TOTAL
2022
Q2in. Quels sont les trois premiers facteurs de risque qui vous viennent à l'esprit lorsque vous pensez à ce qui augmente la probabilité de développer la démence? (SPONTANÉ) (Répondants âgés de moins de 75 ans.) n=3991 n=2050
Génétique* 33 % 34 %
Manque d'activité physique 27 % 25 %
Manque de stimulation cognitive 24 % 24 %
Solitude ou isolement social 21 % 18 %
Régime alimentaire malsain 20 % 21 %
Autres problèmes de santé (p. ex., maladie cardiaque ou accident vasculaire cérébral) 12 % 8 %
Abus d'alcool 9 % 8 %
Santé mentale ou stress 7 % 10 %
Vieillissement 7 % 9 %
Traumatisme cérébral 7 % 5 %
Santé (général) 7 % 3 %
Mode de vie (général) 6 % 5 %
Consommation chronique de médicaments 5 % 5 %
Tabagisme 5 % 2 %
Haute pression artérielle 3 % 1 %
Exposition à des produits chimiques nocifs 3 % 4 %
Diabète 2 % --
Perturbation du sommeil 2 % 3 %
Perte auditive 2 % --
Environnement (général) 2 % 2 %
Pollution de l'air 2 % --
Obésité 1 % 1 %
Dépression 1 % --
Ne pas être proactif (p. ex., ne pas prendre de mesures préventives, parler avec un fournisseur de soins de santé, chercher des soins de santé adéquats ou des traitements précoces) 1 % --
Autre 5 % 2 %
Je ne sais pas/Pas de réponse 21 % 28 %

*Pas un facteur de risque important pour la plupart des cas de démence au Canada.

Genre

Âge

Niveau de scolarité ou revenu du ménage

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Aidants naturels non rémunérés

Risque personnel perçu

La plupart des répondants âgés de moins de 75 ans croient avoir un risque modéré ou faible de risque de développer la démence (68 %). En effet, 31 % évaluent leur risque comme faible et 37 % le jugent modéré, ce qui est en harmonie avec les résultats obtenus en 2022). Un répondant sur cinq (21 %) estime que son risque personnel de développer la démence est élevé, ce qui constitue une hausse par rapport aux 15 % de 2022.

Graphique 5 : Risque personnel de développer la démence
Graphique 5. La version textuelle suit.
Graphique 5 - Équivalent textuel
Graphique 5: Risque personnel de développer la démence
Q4. Comment évaluez-vous votre risque personnel de développer la démence? Total 2022
Peu de risque (1-2) 31% 32%
Risque modéré (3) 37% 37%
Risque élevé (4-5) 21% 15%
Ne sais pas 11% 16%
Base: Tous les répondants n=3991; 2022: n=2039 (Ceux de moins de 75 ans)

NEWQ4. Comment évaluez-vous votre risque personnel de développer la démence?
Base : Tous les répondants n=3991; 2022 : n=2039 (Répondants âgés de moins de 75 ans.)

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Aidants naturels non rémunérés

Raisons de la perception du risque personnel

Près de deux répondants sur trois âgés de moins de 75 ans (64 %) qui estiment que leur risque de développer la démence est modéré ou élevé affirment que c'est parce que des membres de leur famille sont atteints de démence ou l'ont été par le passé, et ce, malgré le manque de preuves voulant que la génétique soit un facteur important dans la plupart des cas de démence au Canada. Plus de quatre répondants sur dix (45 %) perçoivent leur risque comme élevé parce qu'ils ne font pas assez d'exercice. Près de quatre personnes sur dix (38 %) disent avoir au moins un problème de santé chronique, et 31 % affirment avoir du mal à maintenir une saine alimentation. Trois personnes sur dix (30 %) déclarent que la démence est inévitable à mesure que l'on vieillit, et une moindre proportion (20 %) se sent souvent seule ou isolée des autres au sein de leur collectivité. Dix-sept pour cent déclarent ne pas en faire assez pour mettre leur cerveau au défi. Toutes les réponses sont en harmonie avec les résultats de 2022.

Graphique 6 : Raisons de la perception d'un risque personnel plus élevé
Graphique 6. La version textuelle suit.
Graphique 6 - Équivalent textuel
Graphique 6: Raisons de la perception d'un risque personnel plus élevé
Q4b. Pourquoi pensez-vous que votre risque de développer la démence est modéré ou élevé? Total 2022
Des membres de ma famille sont ou ont été atteints de démence 64% 61%
Je ne fais pas autant d'exercice que je devrais 45% 41%
J'ai au moins un problème de santé 38% 34%
J'ai de la difficulté à maintenir une saine alimentation 31% 28%
Je crois que la démence est inévitable à mesure que vous vieillissez 30% 23%
Je me sens souvent seul et isolé des autres et de ma communauté 20% 21%
Je n'en fais pas assez pour mettre mon cerveau au défi 17% 19%
Abus d'alcool/de drogues/de médicaments sur ordonnance à long terme (spontané) -- 2%
Reconnais perte de mémoire/détérioration cognitive (spontané) -- 2%
Autre 3% 2%
Ne sais pas -- 3%

Note: Seules les réponses de 2% et plus sont indiquées

Base: Tous les répondants n=2346; 2022: n=1070 (Ceux de moins de 75 ans qui pensent que leur risque est de modéré à élevé)

NEWQ4b. Pourquoi pensez-vous que votre risque de développer la démence est modéré ou élevé?
Note : Seules les réponses de 2 % et plus sont indiquées
Base : Tous les répondants n=2346; 2022 : n=1070 (Répondants de moins de 75 ans qui pensent que leur risque est modéré ou élevé.)

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Aidants naturels non rémunérés

Parmi les Canadiens âgés de moins de 75 ans qui estiment que leur risque de développer la démence est faible, 81 % croient que c'est parce qu'ils mettent régulièrement leur cerveau au défi. Sept répondants sur dix (70 %) disent que c'est parce que personne dans leur famille n'a été atteint de démence. Plus de six répondants sur dix ont l'impression que leur risque est faible parce qu'ils ont de saines habitudes alimentaires (66 %), parce qu'ils accordent la priorité à l'activité physique (63 %) ou parce qu'ils n'ont pas de problèmes de santé chroniques (62 %). Plus de la moitié des répondants (54 %) croit qu'elle présente un faible risque parce qu'elle est activement impliquée au sein de sa collectivité et parce qu'elle socialise souvent. Dans l'ensemble, le choix de chaque facteur de risque a légèrement augmenté depuis 2022.

Graphique 7 : Raisons de la perception d'un risque personnel inférieur
Graphique 7. La version textuelle suit.
Graphique 7 - Équivalent textuel
Graphique 7: Raisons de la perception d'un risque personnel inférieur
Q4c. Pourquoi pensez-vous que votre risque de développer la démence est faible? Total 2022
Je met régulièrement mon cerveau au défi 81% 72%
Personne dans ma famille n'a été atteint de démence 70% 64%
J'ai de saines habitudes alimentaires 66% 58%
J'accorde la priorité à l'activité physique 63% 53%
Je n'ai pas de problèmes de santé chroniques 62% 50%
Je suis activement impliqué au sein de ma collectivité et je socialise souvent 54% 41%
Autre 6% 7%
Aucune de ces réponses 1% --
Ne sais pas 1% 3%
Base: Tous les répondants n=1222; 2022 : n=649 (Répondants âgés de moins de 75 ans qui pensent que leur risque est faible.)

NEWQ4c. Pourquoi pensez-vous que votre risque de développer la démence est faible?
Base : Tous les répondants n=1222; 2022 : n=649 (Répondants âgés de moins de 75 ans qui pensent que leur risque est faible.)

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Aidants naturels non rémunérés

Capacité perçue à réduire le risque

Un peu plus d'un répondant sur quatre âgé de moins de 75 ans (26 %) estime que sa capacité à réduire le risque de développer la démence à l'avenir est élevée, ce qui représente une augmentation par rapport aux 20 % obtenus en 2022. La moitié des répondants (50 %) croit que sa capacité à réduire son risque est modérée. Moins d'un répondant sur cinq (16 %) estime que sa capacité à réduire le risque de développer la démence est faible, ce qui constitue une diminution par rapport aux 21 % obtenus en 2022.

Graphique 8 : Capacité perçue à réduire le risque
Graphique 8. La version textuelle suit.
Graphique 8 - Équivalent textuel
Graphique 8: Capacité perçue à réduire le risque
Q5. À quel point pensez-vous être en mesure de réduire votre risque personnel de développer la démence à l'avenir? Total 2022
Dans une faible mesure (1-2) 16% 21%
Dans une certaine mesure (3) 50% 47%
Dans une mesure élevée (4-5) 26% 20%
Ne sais pas 8% 12%
Base: Tous les répondants n=3991; 2022: n=2039 (Ceux de moins de 75 ans)

NEWQ5. À quel point pensez-vous être en mesure de réduire votre risque personnel de développer la démence à l'avenir?
Base : Tous les répondants n=3991; 2022 : n=2039 (Répondants âgés de moins de 75 ans.)

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Aidants naturels non rémunérés

Facteurs qui augmentent le risque personnel

Les participants au sondage devaient ensuite choisir les facteurs de risque qui, selon eux, sont les plus susceptibles d'augmenter leur risque de développer la démence. Le facteur le plus courant, choisi par plus de la moitié des répondants de moins de 75 ans, est la génétique (55 %), bien que les recherches suggèrent que le risque génétique n'est pas susceptible d'être un facteur important dans la plupart des cas de démence. Ce choix de réponse n'était pas offert en 2022. Plus de quatre répondants sur dix qui sont âgés de moins de 75 ans mentionnent le manque d'activité physique (46 %) ou la perturbation du sommeil (43 %) comme des raisons d'un risque perçu plus élevé. Une moindre proportion choisit la dépression (38 %), la solitude ou l'isolement social (37 %, en baisse par rapport aux 42 % obtenus en 2022) ou un régime alimentaire malsain (37 %). Environ une personne sur trois qui est âgée de moins de 75 ans croit que les traumatismes cérébraux (31 %), la haute pression artérielle (28 %, en hausse par rapport aux 21 % de 2022) et l'abus d'alcool (27 %) augmentent le risque de développer la démence. Une personne sur quatre mentionne l'obésité (25 %) ou la pollution de l'air (25 %, en hausse par rapport aux 17 % de 2022) comme des facteurs contribuant au risque. Une moindre proportion choisit le diabète (21 %, en hausse par rapport aux 15 % de 2022), le haut cholestérol (21 %, une augmentation par rapport aux 13 % de 2022), le tabagisme (21 %, une légère augmentation par rapport aux 17 % de 2022) et la perte auditive (17 %, en hausse par rapport aux 12 % de 2022). Près d'un répondant sur dix (9 %) croit que moins d'années d'éducation classique contribuent au risque de développer la démence. La proportion de ceux qui disent ne pas savoir est plus faible (8 %) qu'en 2022 (13 %).

Tableau 2 : Facteurs qui augmentent le risque personnel
  TOTAL
2024
TOTAL
2022
NEWQ8. En ce qui concerne votre situation actuelle, quels sont les facteurs de risque de démence susceptibles, selon vous, d'augmenter votre risque de développer la démence? (Répondants âgés de moins de 75 ans) n=3991 n=2039
Génétique* 55 % --
Manque d'activité physique 46 % 46 %
Perturbation du sommeil 43 % 41 %
Dépression 38 % 41 %
Solitude ou isolement social 37 % 42 %
Régime alimentaire malsain 37 % 34 %
Traumatisme cérébral 31 % 33 %
Haute pression artérielle 28 % 21 %
Abus d'alcool 27 % 28 %
Obésité 25 % 21 %
Pollution de l'air 25 % 17 %
Diabète 21 % 15 %
Haut cholestérol 21 % 13 %
Tabagisme 21 % 17 %
Perte auditive 17 % 12 %
Moins d'années d'éducation classique 9 % 8 %
Autre 3 % 5 %
Je ne sais pas/Pas de réponse 8 % 13 %

* Pas un facteur de risque important dans la plupart des cas de démence au Canada

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Aidants naturels non rémunérés

Facteurs d'influence moins connus sur le risque

Après avoir montré les facteurs de risque de démence aux répondants, ils étaient invités à mentionner les facteurs qu'ils ne connaissaient pas auparavant. Quatre répondants sur dix âgés de moins de 75 ans affirment qu'ils ne savaient pas que la pollution de l'air (38 %), la perte auditive (35 %) ou moins d'années d'éducation classique (33 %) sont des facteurs augmentant le risque. Un tiers ne savait pas que le haut cholestérol (24 %) est un facteur de risque. Environ une personne sur cinq ne savait pas que le diabète (21 %), la haute tension artérielle (20 %), l'obésité (19 %) et la perturbation du sommeil (19 %) sont des facteurs de risque. Une moindre proportion déclare ne pas savoir que le tabagisme (14 %), la dépression (13 %), la solitude ou l'isolement social (12 %) ou un régime alimentaire malsain (10 %) sont des facteurs de risque. Moins d'une personne sur dix ne savait pas que l'abus d'alcool (9 %), le manque d'activité physique (8 %) ou les traumatismes cérébraux (7 %) sont des facteurs de risque. Comparativement aux résultats obtenus dans le sondage de 2020, une moindre proportion de répondants au sondage de 2024 dit ne pas connaître la plupart des facteurs énumérés, à l'exception de la perturbation du sommeil, de la dépression, de la solitude ou de l'isolement social, et des traumatismes cérébraux. Près d'une personne sur cinq (19 %) affirme connaître tous les facteurs de risque, ce qui constitue une augmentation considérable par rapport aux 10 % enregistrés en 2022.

Tableau 3 : Facteurs d'influence moins connus sur le risque
  Pas
connus
2024
Pas
connus
2022
NEWQ8b. En ce qui concerne ces facteurs de risque de démence, y en a-t-il que vous ne connaissiez pas avant? (Répondants âgés de moins de 75 ans.) n=3991 n=2039
Pollution de l'air 38 % 44 %
Moins d'années d'éducation classique 35 % 42 %
Perte auditive 33 % 43 %
Haut cholestérol 24 % 34 %
Diabète 21 % 30 %
Haute pression artérielle 20 % 28 %
Obésité 19 % 27 %
Perturbation du sommeil 19 % 22 %
Tabagisme 14 % 24 %
Dépression 13 % 16 %
Solitude ou isolement social 12 % 16 %
Régime alimentaire malsain 10 % 15 %
Abus d'alcool 9 % 14 %
Manque d'activité physique 8 % 15 %
Traumatisme cérébral 7 % 8 %
Je connais tous les facteurs de risque 19 % 10 %
Je n'étais au courant d'aucun de ces facteurs de risque 9 % 11 %
Je ne sais pas/Pas de réponse 7 % 10 %

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Aidants naturels non rémunérés

Prise de mesures préventives de réduction des risques

Environ un répondant sur quatre âgé de moins de 75 ans (24 %) affirme que les gens devraient commencer à prendre des mesures pour réduire leur risque de démence lorsqu'ils ont moins de 35 ans (une augmentation par rapport aux 13 % obtenus en 2022) ou entre 35 et 54 ans (27 %, en baisse par rapport aux 31 % enregistrés en 2022). Une moindre proportion croit qu'il est important de commencer à prendre des mesures préventives pour réduire le risque de démence entre 55 et 74 ans (12 %, en baisse par rapport à 23 % en 2022), et presque personne ne croit qu'il faille attendre d'avoir 75 ans ou plus (1 %). Un peu moins d'un répondant sur trois (32 %) estime qu'il est important de commencer à prendre des mesures à tout âge, ce qui constitue une hausse par rapport aux 25 % obtenus en 2022.

Graphique 9 : Âge auquel il est important de commencer à prendre
des mesures préventives pour réduire les risques
Graphique 9. La version textuelle suit.
Graphique 9 - Équivalent textuel
Graphique 9: À quel âge est-il important de commencer à prendre des mesures préventives pour réduire les risques
NEWQ6. À quel âge pensez-vous qu'il est important que les gens commencent à prendre des mesures pour réduire leur risque de démence? Total 2022
Moins de 35 ans 24% 13%
Entre 35 et 54 ans 27% 31%
Entre 55 et 74 ans 12% 23%
75 ans et plus 1% 2%
À tout âge 32% 25%
Ne sais pas 4% 6%
Base: Tous les répondants n=3991; 2022: n=2050 (Ceux de moins de 75 ans)

NEWQ6. À quel âge pensez-vous qu'il est important que les gens commencent à prendre des mesures pour réduire leur risque de démence?
Base : Tous les répondants n=3991; 2022 : n=2050 (Répondants âgés de moins de 75 ans.)

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Aidants naturels non rémunérés

Un répondant sur trois âgé de moins de 75 ans (33 %) déclare avoir pris des mesures préventives réduisant le risque de développer la démence. Il s'agit d'une hausse constante par rapport aux 27 % obtenus en 2022 et aux 21 % enregistrés en 2020.

Graphique 10 : Prévalence de mesures préventives prises précisément pour réduire le risque de développer la démence
Graphique 10. La version textuelle suit.
Graphique 10 - Équivalent textuel
Graphique 10: Incidence de la prise de mesures préventives pour réduire le risque de démence
Q8. Au cours des douze derniers mois, avez-vous pris des mesures précises pour réduire le risque que vous courez de développer la démence? Total 2022 2020
Oui 33% 27% 21%
Non 60% 69% 71%
Ne sais pas 6% 4% 8%
Base: Tous les répondants n=3991; 2022 : n=2039; 2020 n=3910 (Répondants âgés de moins de 75 ans.)

Q8. Au cours des douze derniers mois, avez-vous pris des mesures préventives pour réduire le risque que vous courez de développer la démence?
Base : Tous les répondants n=3991; 2022 : n=2039; 2020 n=3910 (Répondants âgés de moins de 75 ans.)

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Aidants naturels non rémunérés

Type de mesures préventives prises pour réduire le risque

Lorsqu'interrogés sur les mesures préventives qu'ils prennent intentionnellement pour réduire le risque de développer la démence, les répondants âgés de moins de 75 ans disent plus souvent mettre leur cerveau au défi (80 %), avoir une saine alimentation (74 %) et faire régulièrement des activités physiques (69 %). Plus de la moitié dit avoir pris des mesures préventives pour améliorer son sommeil (58 %), pour participer à des activités sociales (57 %), et pour surveiller et gérer leurs problèmes de santé chroniques (57 %). Une moindre proportion déclare avoir réduit ou éliminé sa consommation d'alcool (46 %). Les autres mesures préventives comprennent l'utilisation de matériel sécuritaire (37 %), la limitation de l'exposition à la pollution de l'air (29 %) et la réduction de la consommation de tabac (20 %). Toutes les mesures préventives sont mentionnées plus souvent qu'en 2022, quoique l'amélioration du sommeil ne faisait pas partie des choix de réponses en 2022.

Graphique 11 : Mesures préventives prises réduisant le risque de développer
la démence
Graphique 11. La version textuelle suit.
Graphique 11 - Équivalent textuel
Graphique 11: Mesures préventives prises pour réduire le risque de développer une démence
Q8a. Au cours des douze derniers mois, quelles mesures avez-vous prises pour réduire votre risque de développer la démence? Total 2022
Mettre mon cerveau au défi en le maintenant actif 80% 74%
Avoir une saine alimentation 74% 68%
Faire régulièrement des activités physiques 69% 65%
Amélioration du sommeil 58% --
Participer à des activités sociales 57% 41%
Surveiller et gérer mes problèmes de santé chroniques 56% 39%
Réduire ou éliminer ma consommation d'alcool 46% 32%
Utiliser du matériel sécuritaire 37% 19%
Limiter mon exposition à la pollution de l'air 29% 20%
Réduire ou cesser ma consommation de tabac 20% 11%
Autre 2% 5%
Base: Tous les répondants n=1503; 2022: n=592 (Ceux âgés de moins de 75 ans qui ont pris des mesures dans les 12 derniers mois)

Q8a. Au cours des douze derniers mois, avez-vous pris des mesures pour réduire le risque que vous courez de développer la démence?
Base : Tous les répondants n=1503; 2022 : n=592 (Répondants âgés de moins de 75 ans qui ont pris des mesures dans les douze derniers mois.)

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Aidants naturels non rémunérés

Raisons de prendre des mesures préventives de réduction du risque

Parmi les personnes âgées de moins de 75 ans qui ont pris des mesures préventives pour réduire leur risque de développer la démence, près de trois sur quatre (72 %) déclarent être motivées à avoir un mode de vie sain, un choix de réponse qui ne faisait pas partie du sondage de 2022. Le fait de connaître une personne qui est atteinte et était atteinte de démence a motivé plus de la moitié des répondants (56 %) à commencer à prendre des mesures préventives réduisant le risque de développer la démence, tandis qu'une personne sur trois (34 %) affirme que ce qui les a motivés est des preuves crédibles. Ces deux facteurs ont augmenté de six points par rapport aux résultats obtenus en 2022. Un changement à leur état de santé qui a accru leur inquiétude (24 %), les reportages des médias (22 %, contre 15 % en 2022) et les conseils de personnes proches (20 % contre 14 % en 2022) sont également des facteurs de motivation importants pour prendre des mesures réduisant le risque de développer la démence. Parmi les autres sources de motivation figurent la publicité, les médias sociaux ou les influenceurs (9 %) ainsi que les conseils d'un fournisseur de soins de santé (2 %, en baisse notable par rapport aux 11 % obtenus en 2022).

Graphique 12 : Motivation pour prendre des mesures préventives
afin de réduire les risques
Graphique 12. La version textuelle suit.
Graphique 12 - Équivalent textuel
Graphique 12: Motivation pour prendre des mesures préventives afin de réduire les risques
NEWQ10b. Au cours des douze derniers mois, quelles mesures avez-vous prises pour réduire votre risque de développer la démence? Total 2022
Motivation personnelle envers un mode de vie sain 72% --
Je connais ou j'ai connu une personne atteinte de démence 56% 50%
Preuves crédibles, comme des études scientifiques 34% 28%
Changement à mon état de santé qui a accru mon inquiétude 24% 28%
Médias, comme les journaux, la radio ou la télévision 22% 15%
Conseils de personnes proches de moi, comme des membres de ma famille et des amis 20% 14%
Publicité, médias sociaux, influenceurs 9% 8%
Conseils d'un fournisseur de soins de santé 2% 11%
Autre 3% 1%
Base: Tous les répondants n=1503; 2022: n=592 (Ceux âgés de moins de 75 ans qui ont pris des mesures dans les 12 derniers mois)

NEWQ10b. Au cours des douze derniers mois, quelles mesures avez-vous prises pour réduire votre risque de développer la démence?
Base : Tous les répondants n=1503; 2022 : n=592 (Répondants âgés de moins de 75 ans qui ont pris des mesures dans les douze derniers mois.)
Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Aidants naturels non rémunérés

Obstacles à la prise de mesures préventives de réduction des risques

Près de six répondants sur dix âgés de moins de 75 ans (57 %) affirment qu'ils aimeraient ou devraient en faire plus pour réduire leur risque de développer la démence, alors qu'une personne sur quatre (26 %) dit ne pas avoir cette impression. Ces résultats sont relativement les mêmes qu'en 2022.

Graphique 13 : Intérêt et besoin d'en faire plus pour réduire les risques
Graphique 13 : Intérêt et besoin d'en faire plus pour réduire les risques. La version textuelle suit.
Graphique 13 : Intérêt et besoin d'en faire plus pour réduire les risques - Équivalent textuel
Graphique 13: Intérêt et besoin d'en faire plus pour réduire les risques
NEWQ10c. Pensez-vous que vous aimeriez pouvoir ou devez faire plus pour réduire votre risque de développer une démence? Total 2022
Oui 57% 60%
Non 26% 27%
Ne sais pas/Préfère ne pas répondre 16% 13%
Base: Tous les répondants n=3991; 2022: n=2039 (Ceux âgés de moins de 75 ans)

NEWQ10c. Pensez-vous que vous aimeriez pouvoir ou devez faire plus pour réduire votre risque de développer une démence?
Base : Tous les répondants n=3991; 2022 : n=2039 (Répondants âgés de moins de 75 ans.)

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Aidants naturels non rémunérés

Les répondants qui ne pensent pas qu'ils aimeraient ou devraient en faire plus pour réduire leur risque de développer la démence étaient invités à indiquer les raisons à cela. Plus de la moitié des personnes âgées de moins de 75 ans (55 %) estiment qu'elles font déjà ce qu'elles peuvent en adoptant un mode de vie sain et 29 % ne croient pas que leur risque soit élevé. Ces deux réponses ne faisaient pas partie des choix de réponses dans le sondage de 2022. Parmi les personnes qui estiment devoir en faire plus pour réduire leur risque de développer la démence, près d'une personne sur cinq (17 %, contre 33 % en 2022) croit ne pas en savoir assez sur les mesures qu'elle peut prendre. Environ une personne sur dix se dit trop jeune pour être inquiète (13 %, choix de réponse non proposé en 2022), mentionne un problème de santé (10 %), estime que cela ne fera pas assez de différence (10 %), manque de temps (8 %, en légère baisse par rapport aux 12 % obtenus en 2022), n'a pas assez d'occasions d'activités sociales (4 % en légère baisse par rapport aux 8 % de 2022), ou croit que cela est trop dispendieux (4 %). Un faible nombre de répondants dit ne pas faire confiance aux données sur le risque de développer la démence, croit qu'il est trop tard dans leur vie pour agir ou trouve qu'il est difficile de prendre des mesures préventives où il vit (2 % chacun).

Graphique 14 : Raisons de prendre des mesures pour réduire les risques
Graphique 14. La version textuelle suit.
Graphique 14 - Équivalent textuel
Graphique 14: Raisons de prendre des mesures pour réduire les risques
NEWQ10f. Veuillez indiquer les principales raisons pour lesquelles vous ne prendriez pas de mesures afin de réduire votre risque de développer la démence aussi souvent que vous le souhaitez? Total 2022
Je fais déjà ce que je peux, mode de vie sain 55% --
Je ne crois pas être une personne à risque élevé 29% --
N'en sais pas assez sur les mesures que je devrais prendre 17% 33%
Je suis trop jeune pour être inquiet 13% --
Problèmes de santé 10% 11%
Cela ne fera pas assez de différence 10% 13%
Manque de temps 8% 12%
Pas assez d'occasions d'activités sociales 4% 8%
Trop dispendieux 4% 6%
Ne fais pas confiance aux données sur le risque de développer la démence 2% 3%
Je crois qu'il est trop tard dans ma vie pour agir 2% 4%
Difficile de prendre des mesures où je vis 2% 5%
Autre 5% 2%
Ne sais pas/ Préfère ne pas répondre 9% 20%
Base: Tous les répondants n=1749; 2022: n=781 (Répondants âgés de moins de 75 ans qui n'aimeraient pas ou qui ne croient pas qu'ils devraient en faire plus.)

NEWQ10f. Veuillez indiquer les principales raisons pour lesquelles vous ne prendriez pas de mesures afin de réduire votre risque de développer la démence aussi souvent que vous le souhaitez?
Base : Tous les répondants n=1749; 2022 : n=781 (Répondants âgés de moins de 75 ans qui n'aimeraient pas ou qui ne croient pas qu'ils devraient en faire plus.)
Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Aidants naturels non rémunérés

Facteurs facilitant la prise de mesures préventives de réduction des risques

Les répondants ayant affirmé vouloir en faire davantage pour réduire leur risque de développer la démence devaient indiquer les trois principaux éléments qui les aideraient à prendre des mesures préventives réduisant le risque de développer la démence. Les personnes âgées de moins de 75 ans soulignent des facteurs de risque précédemment mentionnés. Les deux éléments les plus fréquemment mentionnés sont l'exercice, l'activité physique et le maintien de l'activité physique (28 %, en hausse par rapport aux 23 % de 2022; cette réponse n'était offerte que de façon spontanée par les répondants), et une alimentation plus saine ou équilibrée ou le maintien d'un poids santé (24 %, une augmentation par rapport aux 18 % de 2022; cette réponse n'était offerte que de façon spontanée par les répondants). Douze pour cent disent que socialiser davantage les aiderait et 10 % croient qu'il leur faudrait mieux gérer leur sommeil. Près d'une personne sur trois (31 %) n'est pas sure, contre 38 % en 2022.

Tableau 4 : Facteurs facilitant la prise de mesures préventives de réduction des risques
  TOTAL
2024
TOTAL
2022
NEWQ10d. Quels sont les trois principaux éléments qui vous aideraient à prendre des mesures pour réduire votre risque de développer la démence, mais que vous êtes incapable de prendre maintenant ou qui vous semble difficile à prendre? (Répondants âgés de moins de 75 ans qui aimeraient en faire plus.) n=2874 n=1517
Exercice, plus actif, maintien de l'activité physique (spontané en 2022) 28 % 23 %
Alimentation plus saine ou équilibrée, perte de poids, maintien du poids (spontané en 2022) 24 % 18 %
Socialiser davantage avec des amis et des membres de la famille, sortir pour socialiser, se faire des amis (spontané en 2022) 12 % 11 %
Mieux gérer le sommeil (spontané en 2022) 10 % 8 %
Stimulation cérébrale ou cognitive, exercice cérébral, maintien des activités cérébrales (spontané en 2022) 9 % 7 %
Gérer les problèmes de santé physique ou l'accès aux soins pour composer avec une maladie ou un problème de santé (spontané en 2022) 9 % 7 %
En apprendre plus sur la façon de prendre des mesures pour réduire mon risque 8 % 10 %
Accroissement des préoccupations environnementales (p. ex., changements climatiques, pollution, aliments et production agricole plus sains) (spontané en 2022) 6 % 3 %
Vie abordable, coût de la vie réduit, soutien adéquat au revenu (spontané en 2022) 6 % 4 %
Réduire ou arrêter le tabac (spontané) 5 % --
Avoir plus de temps pour mieux prendre soin de moi-même 5 % 4 %
Réduire ou éliminer la consommation d'alcool ou de drogue (spontané en 2022) 5 % 4 %
Gérer le niveau de stress, réduire le stress (spontané en 2022) 4 % 4 %
Accès abordable ou gratuit à des ressources précises liées à l'exercice, à l'alimentation, à la santé (accès abordable à des gymnases, cours, ateliers, diététistes, spécialistes en conditionnement physique…) (spontané) 4 % --
Gérer les problèmes de santé mentale ou l'accès aux soins pour composer avec une maladie ou un problème de santé (spontané en 2022) 3 % 4 %
Accès à un médecin pour un examen de santé ou une évaluation, informations provenant directement du médecin ou de professionnels de la santé en ce qui concerne les soins (spontané en 2022) 3 % 3 %
Plus de motivation, d'autodiscipline (spontané) 3 % --
Je ne sais pas 31 % 38 %
Je préfère ne pas répondre 4 % 4 %

Réponses de 3 % ou plus mentionnées

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Bien que 60 % des répondants âgés de moins de 75 ans déclarent n'avoir pris aucune mesure préventive pour réduire leur risque de démence au cours de la dernière année, 97 % de tous les répondants âgés de moins de 75 ans ont participé à des activités liées à la réduction du risque de développer la démence pendant cette période. Les mesures que les répondants âgés de moins de 75 ans prennent le plus souvent sont de mettre leur cerveau au défi en le maintenant actif (77 %) et d'avoir une saine alimentation (73 %). Environ trois personnes sur cinq (62 %) déclarent faire régulièrement des activités physiques et participer à des activités sociales. La moitié des répondants (50 %) dit surveiller et gérer ses problèmes de santé chroniques. À peu de choses près, la même proportion utilise du matériel sécuritaire (48 %), ou réduit ou élimine sa consommation d'alcool (46 %). Le fait de limiter l'exposition à la pollution de l'air et le fait de réduire ou arrêter de fumer sont respectivement des mesures mentionnées par 34 % et 23 % des répondants. Les résultats de la plupart des mesures signalées sont supérieurs à ceux obtenus en 2022.

Graphique 15 : Participation à des activités liées à la réduction du risque de démence chez les personnes qui ne prennent pas intentionnellement des mesures préventives
Graphique 15. La version textuelle suit.
Graphique 15 - Équivalent textuel
Graphique 15: Participation à des activités liées à la réduction du risque de démence chez les personnes qui ne prennent pas intentionnellement des mesures préventives
NEWQ10e. Avez-vous pris l'une ou l'autre des mesures suivantes au cours de la dernière année? Total 2022
Mettre mon cerveau au défi en le maintenant actif 77% 68%
Avoir une saine alimentation 73% 62%
Faire régulièrement des activités physiques 62% 54%
Participer à des activités sociales 62% 44%
Surveiller et gérer mes problèmes de santé chroniques 50% 39%
Utiliser du matériel sécuritaire 48% 35%
Réduire ou éliminer ma consommation d'alcool 46% 34%
Limiter mon exposition à la pollution de l'air 34% 24%
Réduire ou cesser ma consommation de tabac 23% 12%
Autre 2% 5%
Je n'ai pris aucune mesure 3% --
Base: Tous les répondants n=3991; 2022: 1458 (Ceux âgés de moins de 75 ans)

NEWQ10e. Avez-vous pris l'une ou l'autre des mesures suivantes au cours de la dernière année?
Base : Tous les répondants n=3991; 2022 : 1458 (Répondants âgés de moins de 75 ans.)

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Aidants naturels non rémunérés

D. Capacité de fournir des soins non rémunérés à des personnes atteintes de démence

Expérience en prestation de soins non rémunérés

Dans l'ensemble, 41 % des représentants de l'échantillon disent faire ou avoir fourni un ou plusieurs soins non rémunérés à une personne atteinte de démence au cours des cinq dernières années[28]. Un aidant naturel non rémunéré peut réaliser un éventail de tâches pour une personne atteinte de démence. Au cours des cinq dernières années, les répondants qui connaissent une personne atteinte de démence affirment surtout avoir fait des visites et fourni du soutien social ou émotionnel (42 %; ce choix de réponse n'était pas offert en 2020). Le quart a fourni du transport (26 %; ce choix de réponse n'était pas offert en 2020), a aidé avec des activités quotidiennes (25 %; semblables aux 24 % de 2020) ou a prodigué des soins de santé généraux et de suivi médical (23 %, une légère hausse par rapport aux 19 % de 2020). Une moindre proportion a aidé avec des affaires financières (20 %; semblables aux 17 % de 2020).

En 2024, cette question comprenait les choix de réponses « Visite, soutien social et émotionnel » et « Transport »[29]. Si l'on exclut les répondants qui n'ont indiqué qu'une seule de ces options ou les deux (c'est-à-dire en utilisant la définition originale de 2020 pour « aidants naturels non rémunérés »), la proportion d'aidants naturels non rémunérés dans l'échantillon de 2024 tombe à 27 %. Par conséquent, il est peu probable que les différences importantes entre les résultats de 2020 et de 2024 soient attribuables à cette augmentation de la proportion d'aidants naturels non rémunérés de l'échantillon[30].

Graphique 16 : Activités de soins non rémunérées
Graphique 16. La version textuelle suit.
Graphique 16 - Équivalent textuel
Graphique 16 : Activités de soins non rémunérées
Q12. Au cours des cinq dernières années, avez-vous effectué l'une ou l'autre des choses suivantes pour une personne atteinte de démence sans recevoir de rémunération? (Plusieurs réponses acceptées) Total 2020
Visite, soutien social et émotionnel 42% --
Transport 26% --
Aide avec des activités quotidiennes 25% 24%
Soins de santé généraux et suivi médical 23% 19%
Aide avec des affaires financières 20% 17%
Autres types de soins 3% 3%
Aucune de ces réponses – Aucune aide à une personne atteinte de démence 50% 61%
Ne sais pas 2% 2%
Préfère ne pas répondre 1% 1%
Base: Tous les répondants n=3646; 2020: n=3465 (Ceux qui connaissent une personne atteinte de démence)

Q12. Au cours des cinq dernières années, avez-vous effectué l'une ou l'autre des choses suivantes pour une personne atteinte de démence sans recevoir de rémunération? (Plusieurs réponses acceptées)
Base : Tous les répondants n=3646; 2020 : n=3465 (Répondants qui connaissent une personne atteinte de démence.)

Genre

Âge

Revenu et niveau de scolarité

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Semblables aux résultats de 2020, les soins non rémunérés fournis au cours des cinq dernières années sont le plus souvent fournis à un parent (36 %, en légère baisse par rapport aux 40 % de 2020) ou à un autre membre de la famille (43 %). Près du cinquième des répondants (17 %) a fourni des soins non rémunérés au cours des cinq dernières années à un ami proche, tandis que 10 % ont fourni des soins à un conjoint (en hausse par rapport aux 5 % de 2020). Moins d'un dixième a fourni des soins à un voisin (8 %) ou à une connaissance (6 %).

Graphique 17 : Relation des aidants naturels non rémunérés avec les personnes atteintes de démence
Graphique 17. La version textuelle suit.
Graphique 17 - Équivalent textuel
Graphique 17 : Relation des aidants naturels non rémunérés avec les personnes atteintes de démence
Q12a. À qui avez-vous fourni les soins non rémunérés? (Plusieurs réponses acceptées) Total 2020
Un autre membre de ma famille 43% 43%
Un parent 36% 40%
Un(e) ami(e) intime 17% 14%
Mon époux/épouse ou conjoint(e) 10% 5%
Un voisin 8% 7%
Une connaissance 6% 9%
Personne à un poste bénévole 3% 3%
Autre 2% 2%
Ne sais pas/Préfère ne pas répondre 1% 3%
Base: Tous les répondants n=1792; 2020: n=1418 (Ceux qui ont prodigué des soins non payés)

Q12a. À qui avez-vous fourni les soins non rémunérés? (Plusieurs réponses acceptées)
Base : Tous les répondants n=1792; 2020 : n=1418 (Répondants qui ont prodigué des soins non rémunérés.)

Genre

Âge

Revenu et niveau de scolarité

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Lorsqu'on a demandé aux aidants naturels non rémunérés de penser au mois le plus récent où ils ont prodigué des soins à une personne atteinte de démence, ceux-ci affirment avoir consacré en moyenne 16,5 heures par semaine à la prestation de soins. En harmonie avec les résultats obtenus en 2020, 21 % des aidants naturels non rémunérés déclarent consacrer moins de trois heures par semaine, tandis que 18 % donnent de trois à cinq heures de leur temps par semaine et 9 % de six à dix heures par semaine. Moins du cinquième (17 %) consacrent vingt heures ou plus par semaine à la prestation de soins. Toutefois, il est à noter qu'un peu plus du quart des personnes qui fournissent des soins non rémunérés à des personnes atteintes de démence ne sait pas le nombre d'heures hebdomadaires qu'il consacre à la prestation de soins (27 %).

Tableau 5 : Heures de soins non rémunérées
  Total
2024
Total
2020
Q12b. Pour ce qui est du mois le plus récent où vous avez fourni des soins non rémunérés à une personne atteinte de démence, environ combien d'heures de soins lui avez-vous fournies en moyenne? (Répondants qui ont prodigué des soins non rémunérés) n=1792 n=1418
Moins de 3 heures 21 % 24 %
3 à 5 heures 18 % 16 %
6 à 10 heures 9 % 10 %
11 à 19 heures 5 % 4 %
20 heures et plus 17 % 18 %
Moyenne par semaine 16,5 heures 17 heures
Je ne sais pas 27 % 24 %
Je préfère ne pas répondre 3 % 4 %

Genre

Âge

Revenu et niveau de scolarité

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Capacité de fournir des soins non rémunérés à une personne atteinte de démence

Près de la moitié (47 %) des personnes qui ont fourni des soins non rémunérés à une personne atteinte de démence au cours des cinq dernières années estime avoir été en mesure de fournir les soins nécessaires, une baisse par rapport aux 57 % obtenus en 2020. En particulier, le quart des répondants (25 %) est en désaccord avec cet énoncé, ce qui représente une augmentation par rapport aux 16 % de 2020).

Graphique 18 : Capacité de fournir les soins non rémunérés requis
Graphique 18. La version textuelle suit.
Graphique 18 - Équivalent textuel
Graphique 18 : Capacité de fournir les soins non rémunérés requis
Q12c. À quel point êtes-vous d'accord ou en désaccord avec l'énoncé suivant :J'ai eu l'impression d'être en mesure de fournir les soins requis à la personne atteinte de démence. Total 2020
En désaccord (1-2) 25% 16%
Ni l'un ni l'autre (3) 23% 23%
D'accord (4-5) 47% 57%
Ne sais pas/Préfère ne pas répondre 4% 4%
Base: Tous les répondants n=1792; 2020: n=1418 (Ceux qui ont prodigué des soins non payés)

Q12c. À quel point êtes-vous d'accord ou en désaccord avec l'énoncé suivant : J'ai eu l'impression d'être en mesure de fournir les soins requis à la personne atteinte de démence
Base : Tous les répondants n=1792; 2020 : n=1418 (Répondants qui ont prodigué des soins non rémunérés.)

Genre

Âge

Revenu et niveau de scolarité

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

En ce qui concerne les raisons pour lesquelles ils ne se sentaient pas en mesure de fournir les soins requis, un peu plus de la moitié des répondants (51 %) indique qu'elle n'était pas le principal aidant naturel ou la personne responsable des soins (option non offerte en 2020). Le fait d'avoir d'autres responsabilités est cité le plus souvent (47 %), suivi par le manque de temps (42 %, en baisse par rapport aux 48 % de 2020). La distance est un obstacle pour les deux cinquièmes (41 %, option non présentée en 2020). Parmi les autres raisons figurent le manque de soutien (30 %, en baisse par rapport aux 38 % de 2020), des préoccupations concernant leur propre santé (28 %, en hausse par rapport à 17 %) et le manque d'information (25 %, en baisse par rapport à 30 %). Environ le cinquième des répondants affirme généralement ne pas être doué dans ces types de situations (22 %) ou être préoccupé par les finances (20 %, une légère baisse par rapport aux 24 % obtenus en 2020).

Graphique 19 : Raisons de se sentir incapable de fournir les soins requis
Graphique 19. La version textuelle suit.
Graphique 19 - Équivalent textuel
Graphique 19 : Raisons de se sentir incapable de fournir les soins requis
Q12d. En tant qu'aidant(e) naturel(le) non rémunéré(e) d'une personne atteinte de démence, pourquoi ne vous sentiez-vous pas en mesure de fournir les soins requis? (Plusieurs réponses acceptées) Total 2020
Je n'étais pas le principal aidant naturel, je n'étais pas responsable 51% --
J'avais d'autres responsabilités 47% 44%
Je n'avais pas assez de temps 42% 48%
Distance 41% --
Je n'avais pas assez de soutien 30% 38%
Ma propre santé me préoccupait 28% 17%
Je n'avais pas assez d'information 25% 30%
Je ne suis généralement pas doué dans ces types de situations 22% 25%
Les finances me préoccupaient 20% 24%
Je n'avais pas l'espace requis 13% 14%
Autre 10% 13%
Ne sais pas 4% 3%
Base: Tous les répondants n=482; 2020: n=273 (Ceux qui se sentent incapable de fournir les soins requis)

Q12d. En tant qu'aidant(e) naturel(le) non rémunéré(e) d'une personne atteinte de démence, pourquoi ne vous sentiez-vous pas en mesure de fournir les soins requis? (Plusieurs réponses acceptées)
Base : Tous les répondants n=482; 2020 : n=273 (Répondants qui se sentent incapables de fournir les soins requis.)

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Les personnes qui se sentaient en mesure de fournir les soins requis à une personne atteinte de démence disent que c'est principalement parce qu'ils disposaient d'assez de temps ou avaient un horaire flexible (71 %), ou parce qu'ils vivaient assez près de la personne ayant besoin de soins (63 %). Parmi les autres raisons évoquées figurent le fait de ne pas se préoccuper des finances (44 %), l'accès à de l'information (43 %), le fait d'avoir du soutien (37 %), l'absence de préoccupations personnelles en matière de santé (37 %) ou l'expérience dans la prestation de soins (28 %). Cette question n'était pas posée dans le sondage de 2020.

Graphique 20 : Raisons de se sentir en mesure de fournir les soins requis
Graphique 20. La version textuelle suit.
Graphique 20 - Équivalent textuel
Graphique 20 : Raisons de se sentir en mesure de fournir les soins requis
NEWQ12E. En tant qu'aidant(e) naturel(le) non rémunéré(e) d'une personne atteinte de démence, pourquoi vous sentiez-vous en mesure de fournir les soins requis? Total
J'avais assez de temps ou un horaire flexible 71%
Je vivais assez près 63%
Les finances n'était pas une préoccupation 44%
J'avais accès à de l'information 43%
J'avais du soutien 37%
Ma propre santé n'était pas une préoccupation 37%
J'avais de l'expérience dans la prestation de soins 28%
Autre 11%
Ne sais pas 1%
Base: Tous les répondants n=783 (Ceux qui pensent pouvoir prodiguer des soins de santé)

NEWQ12E. En tant qu'aidant(e) naturel(le) non rémunéré(e) d'une personne atteinte de démence, pourquoi vous sentiez-vous en mesure de fournir les soins requis?
Base : Tous les répondants n=783 (Répondants qui pensent pouvoir prodiguer des soins de santé.)

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Capacité potentielle de fournir du soutien non rémunéré

Parmi les personnes qui n'ont pas d'expérience dans la prestation de soins non rémunérés à une personne atteinte de démence (c.-à-d. qui n'ont pas connu une personne qui est ou a été atteinte de démence ou qui n'ont pas fourni de soins non rémunérés à une personne atteinte de démence au cours des cinq dernières années), 56 % estiment qu'ils seraient en mesure de fournir fréquemment des soins non rémunérés à un membre de leur famille ou à un ami atteint de démence, ce qui constitue une baisse par rapport aux 61 % obtenus en 2020.

Graphique 21 : Capacité potentielle à fournir fréquemment du soutien non rémunéré
Graphique 21. La version textuelle suit.
Graphique 21 - Équivalent textuel
Graphique 21 : Capacité potentielle à fournir fréquemment du soutien non rémunéré
Q13. En général, seriez-vous en mesure de fournir fréquemment du soutien non rémunéré (p. ex., en qualité d'aidant(e) naturel(le)) à un membre de votre famille ou à un(e) ami(e) atteinte de démence? Cela se traduit normalement par une à trois heures de travail par semaine. Total 2020 (Oui)
Oui 56% 61%
Non 28% 25%
Ne sais pas 15% 14%
Base: Tous les répondants n=2617; 2020 n=2765 (Répondants qui ne connaissent personne atteinte de démence ou qui n'ont pas fourni de soins non rémunérés à une personne atteinte de démence au cours des cinq dernières années.)

Q13. En général, seriez-vous en mesure de fournir fréquemment du soutien non rémunéré (p. ex., en qualité d'aidant(e) naturel(le)) à un membre de votre famille ou à un(e) ami(e) atteint de démence? Cela se traduit normalement par une à trois heures de travail par semaine.
Base : Tous les répondants n=2617; 2020 n=2765 (Répondants qui ne connaissent personne atteinte de démence ou qui n'ont pas fourni de soins non rémunérés à une personne atteinte de démence au cours des cinq dernières années.)

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Quatre répondants sur dix qui croient qu'ils ne seraient pas en mesure de fournir fréquemment du soutien non rémunéré affirment que c'est parce qu'ils ont d'autres responsabilités (41 %), parce qu'ils n'ont pas le temps (40 %) ou parce que leur maison est trop petite ou pas adéquatement équipée (38 %), comme c'était le cas en 2020. Par ailleurs, tout comme en 2020, environ trois personnes sur dix affirment que les implications financières les préoccupent (32 %), mentionnent la distance (32 %; ce choix de réponse n'était pas offert en 2020), disent ne pas savoir ce qui serait attendu d'eux (30 %), sont préoccupées par les conséquences sur leur propre santé (29 %) ou croient généralement ne pas être douées dans ces types de situations (27 %). Deux personnes sur dix (22 %) indiquent avoir elles-mêmes un handicap physique, une maladie chronique ou un problème de mobilité qui les empêcherait de fournir du soutien (ce choix de réponse n'était pas offert en 2020).

Graphique 22 : Raisons de l'impossibilité de potentiellement fournir du soutien non rémunéré
Graphique 22. La version textuelle suit.
Graphique 22 - Équivalent textuel
Graphique 22 : Raisons de l'impossibilité de potentiellement fournir du soutien non rémunéré
Q13a. Laquelle des réponses suivantes décrit le mieux les raisons pour lesquelles vous ne seriez pas en mesure de fournir fréquemment du soutien non rémunéré à un membre de votre famille ou à un(e) ami(e) atteinte de démence? (Plusieurs réponses acceptées) Total 2020
J'ai d'autres responsabilités 41% 41%
Je n'ai pas le temps 40% 39%
Ma maison est trop petite/pas adéquatement équipée 38% 38%
Les implications financières me préoccupent 32% 32%
Distance 32% --
Je ne sais pas ce qui serait attendu de moi 30% 32%
Les conséquences sur ma propre santé me préoccupent 29% 30%
Je ne suis généralement pas doué dans ces types de situations 27% 27%
J'ai moi-même un handicap physique, une maladie chronique ou un problème de mobilité 22% --
Autre 3% 5%
Ne sais pas 2% 1%
Préfère ne pas répondre 2% 1%
Base: Tous les répondants n=732; 2020: n=681 (Ceux qui ne se sentent pas en mesure de fournir fréquemment du soutien non rémunéré.)

Q13a. Laquelle des réponses suivantes décrit le mieux les raisons pour lesquelles vous ne seriez pas en mesure de fournir fréquemment du soutien non rémunéré à un membre de votre famille ou à un(e) ami(e) atteint de démence? (Plusieurs réponses acceptées)
Base : Tous les répondants n=732; 2020 : n=681 (Ceux qui ne se sentent pas en mesure de fournir fréquemment du soutien non rémunéré.)

Genre

Âge

Revenu et niveau de scolarité

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Parmi les répondants qui pensent qu'ils pourraient fournir des soins, la plupart (82 %) indiquent que c'est parce que la personne en question est importante pour eux, alors ils feraient ce qu'ils peuvent, ce qui est légèrement en baisse par rapport aux résultats obtenus en 2020 (86 %). Environ la moitié des répondants disent que c'est parce qu'ils ont le temps ou un horaire flexible (55 %; ce choix de réponse n'était pas offert en 2020), parce que, en général, ils ont confiance dans toutes les situations (48 %) ou parce qu'ils croient qu'ils auraient accès à assez de soutien et d'information (46 %); ces deux résultats sont semblables à ceux obtenus en 2020. Environ une personne sur quatre dit connaître des gens qui pourraient leur prodiguer des conseils (28 %; en baisse par rapport aux 35 % de 2020) ou affirment posséder de l'expérience lorsqu'il est question de fournir des soins à une personne ayant un problème de santé chronique (22 %, contre 24 % en 2020).

Graphique 23 : Raisons de la capacité à fournir fréquemment du soutien non rémunéré
Graphique 23. La version textuelle suit.
Graphique 23 - Équivalent textuel
Graphique 23 : Raisons de la capacité à fournir fréquemment du soutien non rémunéré
Q13b. Pourquoi vous sentiriez-vous en mesure de fournir fréquemment du soutien non rémunéré(e) à un membre de votre famille ou à un(e) ami(e) atteinte de démence? (Plusieurs réponses acceptées) Total 2020
Cette personne est importante pour moi, alors je ferais ce que je peux 82% 86%
J'ai le temps, j'ai un horaire flexible/du temps libre 55% --
En général, j'ai confiance dans toutes les situations 48% 51%
Je crois que j'aurais accès à assez de soutien et d'information 46% 47%
Je connais des gens qui ont fait ça qui pourrait me donner des conseils 28% 35%
J'ai de l'expérience lorsqu'il est question de fournir des soins à une personne souffrant d'un problème de santé chronique 22% 24%
Autre 1% 2%
Ne sais pas 2% 1%
Base: Tous les répondants n=1497; 2020: n=1713 (Ceux qui pensent être capable de fournir du soutien)

Q13b. Pourquoi vous sentiriez-vous en mesure de fournir fréquemment du soutien non rémunéré(e) à un membre de votre famille ou à un(e) ami(e) atteinte de démence? (Plusieurs réponses acceptées)
Base : Tous les répondants n=1497; 2020 : n=1713 (Répondants qui pensent être capables de fournir du soutien.)

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

E. Attitudes et perceptions

Répercussions perçues de la démence

Plus de quatre répondants sur dix (43 %) croient que la démence a des répercussions importantes au Canada aujourd'hui (c.-à-d. note de 4 ou 5 sur l'échelle de 5 points) et 39 % disent qu'elle a un impact modéré. Seuls 12 % des répondants sont d'avis que la démence n'a pas d'impact. La proportion de répondants qui croient que l'impact est important a augmenté par rapport aux 35 % enregistrés en 2020.

Graphique 24 : Répercussions perçues de la démence au Canada
Graphique 24. La version textuelle suit.
Graphique 24 - Équivalent textuel
Graphique 24: Répercussions perçues de la démence au Canada
Q2. De façon générale, à quel point croyez-vous que la démence a des répercussions importantes au Canada en ce moment? Total 2020
Pas d'impact (1-2) 12% 13%
Impact modéré (3) 39% 48%
Grand impact (4-5) 43% 35%
Base: Tous les répondants n=4427; 2020 : n=3910

Q2. De façon générale, à quel point croyez-vous que la démence a des répercussions importantes au Canada en ce moment?
Base : Tous les répondants n=4427; 2020 : n=3910

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Aidants naturels non rémunérés

Préoccupation au sujet du développement de la démence

Près de la moitié (46 %) des répondants est d'accord pour dire qu'elles s'inquiètent de la possibilité de développer la démence, ce qui est semblable aux 49 % enregistrés en 2020. Près de deux personnes sur trois (63 %) s'inquiètent de la possibilité qu'un proche développe la démence, ce qui est en harmonie avec les 64 % obtenus en 2020.

Graphique 25 : Préoccupation au sujet du développement de la démence
Graphique 25. La version textuelle suit.
Graphique 25 - Équivalent textuel
Graphique 25 : Préoccupation au sujet du développement de la démence
Q7a. À quel point êtes-vous d'accord ou en désaccord avec les énoncés suivants? La possibilité de développer une démence me préoccupe. Total 2020 (D'accord)
Ne sais pas 2% --
En désaccord (1-2) 15% --
Ni l'un ni l'autre (3) 20% --
D'accord (4-5) 63% 64%
Q7b. La possibilité que quelqu'un de mon entourage développe une démence me préoccupe.    
Ne sais pas 1% --
En désaccord (1-2) 26% --
Ni l'un ni l'autre (3) 26% --
D'accord (4-5) 46% 49%
Base: Tous les répondants n=4427; 2020 n=4207

Q7a. À quel point êtes-vous d'accord ou en désaccord avec les énoncés suivants :
La possibilité de développer une démence me préoccupe.
Q7b. La possibilité que quelqu'un de mon entourage développe une démence me préoccupe.
Base : Tous les répondants n=4427; 2020 n=4207

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Aidants naturels non rémunérés

Degré d'aisance à discuter de démence

Deux répondants sur trois (67 %) se sentent très à l'aise (c.-à-d. 4 ou 5 sur une échelle de cinq points) d'avoir une discussion avec un fournisseur de soins de santé au sujet de leur risque personnel de développer la démence, proportion qui est en légère baisse par rapport à 2020 (71 %). Près de la moitié des répondants (46 %) affirme qu'elle se sentirait très à l'aise de parler à des amis d'un diagnostic de démence, proportion semblable aux 49 % enregistrés en 2020.

Graphique 26 : Degré d'aisance à discuter d'un diagnostic de démence
Graphique 26. La version textuelle suit.
Graphique 26 - Équivalent textuel
Graphique 26 : Degré d'aisance à discuter d'un diagnostic de démence
Q16ae. À quel point seriez-vous à l'aise pour faire chacune des choses suivantes...? Total 2020 (À l'aise)
Avoir une discussion avec un fournisseur de soins de santé sur les risques que vous courez de développer une démence    
Ne sais pas/ Préfère ne pas répondre 4% --
Pas à l'aise (1-2) 9% --
Moyennement à l'aise (3) 21% --
Très à l'aise (4-5) 67% 71%
Parler à des amis d'un diagnostic de démence    
Ne sais pas/ Préfère ne pas répondre 6% --
Pas à l'aise (1-2) 21% --
Moyennement à l'aise (3) 27% --
Très à l'aise (4-5) 46% 49%
Base: Tous les répondants n=4427; 2020: n=4207

Q16a, e. À quel point seriez-vous à l'aise pour faire chacune des choses suivantes?
Base : Tous les répondants n=4427; 2020 : n=4207

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Aidants naturels non rémunérés

F. Perception du soutien de la collectivité aux personnes atteintes de démence

Les 74 % de répondants qui connaissent ou ont connu une personne atteinte de démence étaient invités à évaluer l'accès aux aides qui sont offertes dans leur collectivité pour les personnes atteintes de démence, y compris à des soins de santé de qualité, à des programmes de jour à l'extérieur de la maison, à du soutien à domicile (y compris pour les aidants naturels non rémunérés), ainsi qu'à la planification préalable des soins et des soins de fin de vie. De 25 % à 33 % des répondants de ce segment indiquent « ne pas savoir » lorsqu'invités à évaluer l'accès à ces aides dans leur collectivité. Quatre personnes sur dix (41 %) qui connaissent une personne atteinte de démence croient que l'accès à la planification préalable des soins et des soins de fin de vie est modéré (23 %) ou bon (18 %). Des proportions semblables considèrent l'accès à du soutien à domicile comme modéré (24 %) ou bon (16 %). Un peu plus du tiers (35 %) est d'avis que l'accès à des programmes de jour à l'extérieur de la maison est modéré (22 %) ou bon (13 %), bien que 32 % le considèrent comme mauvais. Quatre personnes sur dix (44 %) estiment que l'accès à des soins de santé de qualité pour les personnes atteintes de démence est modéré (27 %) ou bon (17 %), bien que 31 % le considèrent comme médiocre. Tous les répondants, qui recevaient une définition à titre de référence,[35] devaient ensuite évaluer leur collectivité en termes d'inclusion de la démence. Un peu moins de quatre personnes sur dix (38 %) croient que leur collectivité est inclusive en matière de démence, dont 27 % la considèrent comme modérée et 11 % la jugent bonne, bien que 33 % croient qu'elle est mauvaise.

Graphique 27 : Soutien dans la communauté
Graphique 27. La version textuelle suit.
Graphique 27 - Équivalent textuel
Graphique 27 : Soutien dans la communauté
Q15a-e. Selon ce que vous savez ou avez entendu, comment évalueriez-vous votre collectivité dans chacun des domaines suivants...? Total
Accès à la planification préalable des soins et des soins de fin de vie pour les personnes atteintes de démence  
Ne sais pas 31%
Mauvais (1-2) 27%
Modéré (3) 23%
Bon (4-5) 18%
Accès à des soins de santé de qualité pour les personnes atteintes de démence  
Ne sais pas 25%
Mauvais (1-2) 31%
Modéré (3) 27%
Bon (4-5) 17%
Accès à du soutien à domicile pour aider les personnes atteintes de démence et les aidants naturels  
Ne sais pas 27%
Mauvais (1-2) 33%
Modéré (3) 24%
Bon (4-5) 16%
Accès à des programmes de jour à l'extérieur de la maison pour les personnes atteintes de démence  
Ne sais pas 33%
Mauvais (1-2) 32%
Modéré (3) 22%
Bon (4-5) 13%
Évaluer votre communauté en terme d'inclusion de la démence  
Ne sais pas 29%
Mauvais (1-2) 33%
Modéré (3) 27%
Bon (4-5) 11%
Base: Accès à des soins de santé de qualité et inclusion des personnes atteintes de démence : n=4427. Autres questions : n=3646 (Répondants qui connaissent une personne atteinte de démence.)

Q15a-e. Selon ce que vous savez ou avez entendu, comment évalueriez-vous votre collectivité dans chacun des domaines suivants...?
Base : Accès à des soins de santé de qualité et inclusion des personnes atteintes de démence : n=4427. Autres questions : n=3646 (Répondants qui connaissent une personne atteinte de démence.)

Accès à des soins de santé de qualité

Genre

Âge

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Aidants naturels non rémunérés

Inclusion des personnes atteintes de démence dans la collectivité

Genre

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Aidants naturels non rémunérés

Accès à d'autres aides

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Aidants naturels non rémunérés

G. Sources d'information

Les répondants ont ensuite été invités à évaluer les sources d'information sur la démence qui, selon eux, sont fiables. Environ trois répondants sur quatre (73 %) considèrent que les sites Web d'experts en soins de santé sont des sources d'information fiables. Les professionnels de la santé étaient également considérés comme une source fiable en 2020, même s'il n'y avait pas de référence précise à des sites Web. Deux répondants sur trois (64 %) considèrent les sites Web du gouvernement fédéral comme des sources fiables. Le résultat était le même en 2020, quoique la mention plus large de sites Web du gouvernement du Canada était utilisée. Les sites Web des gouvernements provinciaux ou territoriaux sont également considérés comme dignes de confiance par 61 %, lesquels étaient identifiés comme des ministères provinciaux et territoriaux de la santé dans le sondage de 2020 (68 %). La moitié (52 %) considère les sites Web d'organismes de défense des droits comme des sources fiables (cette option ne faisait pas partie des réponses proposées dans le sondage de 2020), et un peu moins de la moitié (48 %) estime que les ouvrages, les articles et les revues scientifiques sont fiables (pas comparable aux résultats du sondage de 2020, car seul un sous-ensemble de répondants ont répondu à la question en 2024). Quatre personnes sur dix (40 %) font confiance aux personnes qu'elles connaissent, ce qui a légèrement augmenté par rapport aux 36 % de 2020. Seuls 18 % se fient aux médias grand public et peu de gens font confiance aux médias sociaux (5 %)[38].

Graphique 28 : Sources d'information dignes de confiance sur la démence
Graphique 28. La version textuelle suit.
Graphique 28 - Équivalent textuel
Graphique 28 : Sources d'information dignes de confiance sur la démence
Qu'est-ce que vous considérez comme des sources d'information fiables sur la démence? (Plusieurs réponses acceptées) Total 2020
Sites Web d'experts en soins de santé 73% --
Sites Web du gouvernement fédéral 64% 64%
Sites Web de gouvernements provinciaux/ territoriaux 61% 68%
Sites Web d'organismes de défense des droits 52% --
Ouvrages, articles et revues scientifiques 48% --
Gens que vous connaissez (amis et famille) 40% 36%
Médias grand public 18% --
Médias sociaux et groupes de discussion 5% --
Professionnels de la santé/docteurs/IAs [spontané] 4% --
Autre 4% 2%
Ne sais pas 4% 1%
Base: n=4427, 2020: n= 4207

Q18. Qu'est-ce que vous considérez comme des sources d'information fiables sur la démence? (Plusieurs réponses acceptées)
Base : n=4427, 2020 : n= 4207

Genre

Âge

Revenu et niveau de scolarité

Emplacement

Groupes identifiés comme présentant un risque plus élevé de développer la démence

Aidants naturels non rémunérés

Annexes

A. Détails méthodologiques

La section du sommaire du présent rapport (section B – Méthodologie) décrit la source du panel Probit utilisé pour l'échantillon. En tout, 4 427 répondants vivant au Canada qui sont âgés de 18 ans ou plus ont répondu au sondage, ce qui comprend des suréchantillons de gens qui s'identifient comme des Noirs (213), des Asiatiques du Sud (223), des Asiatiques du Sud-Est (228), des Hispaniques (144), des Autochtones (365, y compris 174 personnes qui sont des membres de Premières Nations[40]) ou des membres de la communauté 2SLGBTQI+ (530). À l'échelle régionale, l'échantillon a également été stratifié pour inclure au moins 300 répondants de chaque province, à l'exception de Terre-Neuve-et-Labrador (255) et de l'Île-du-Prince-Édouard (263), ainsi que des proportions minimales dans les territoires (406, dont 208 au Yukon, 161 dans les Territoires du Nord-Ouest et 37 au Nunavut[41]).

Comme nous l'avons souligné dans le sommaire, le sondage, d'une durée moyenne de 16 minutes en ligne et de 23 minutes par téléphone, a été recueilli du 17 janvier au 20 février. En tout, 497 répondants ont participé au sondage au téléphone, dont la plupart étaient âgés de moins de 35 ans, habitaient le Canada atlantique ou les territoires, ou s'identifiaient comme des Noirs, des Asiatiques du Sud ou des membres de la communauté LGBTQ2+. Cet échantillon probabiliste recruté de façon aléatoire présente une marge d'erreur de +/- 1,5 % à un intervalle de confiance de 95 %. La marge d'erreur de chacun des groupes cibles oscille entre 3,5 et 7,0 %[42]. Les résultats sont pondérés en fonction des proportions de la population selon la province ou le territoire, l'âge, l'identité de genre et le niveau de scolarité, ainsi qu'en tenant compte des répondants qui s'identifient comme des Noirs, des Asiatiques du Sud ou du Sud-Est, et des membres de la communauté LGBTQ2+.

Tout au long du rapport, les résultats sont comparés aux résultats du sondage de 2020 et, dans le cas des questions relatives au risque et à la prévention, à ceux du sondage de 2022. Les résultats sont considérés comme semblables aux constatations obtenues antérieurement lorsqu'ils se situent à moins de quatre points de pourcentage. Lorsque les résultats varient de 5 % ou plus, les différences sont décrites comme une augmentation ou une diminution, selon le cas.

Comme indiqué ci-dessous, le taux de réponse global des 4 427 cas est de 9 %. Il est de 27 % parmi les membres du panel Probit qui ont répondu à l'enquête en ligne. En tout, 9 933 dossiers ont été échantillonnés pour l'envoi d'une invitation par courriel. Trente-huit de ces invitations ont été retournées parce qu'elles n'ont pas pu être distribuées, ce qui a laissé un échantillon valide de 9 895. De ces cas, 2 621 questionnaires ont été remplis et 12 ont été jugés comme hors de portée (c.-à-d. inadmissibles). La combinaison de ces deux éléments (2 621 plus 12) est divisée par l'échantillon fonctionnel de 9 895 cas pour obtenir un taux de réponse de 26,6 %.

La majorité de l'échantillon a été recueillie par le biais d'un questionnaire en ligne autoadministré, alors que 41 % de l'échantillon a été recueilli par des enquêteurs bilingues formés (23 % par CA et 18 % au sein du panel). Le taux de réponse pour le panel dans l'ensemble des sondages menés au téléphone est de 17,5 %, auxquels 793 personnes ont répondu, dont 12 ont été considérés comme hors de portée, parmi les 4 625 cas valides. Pour l'échantillon de la CA, le taux de réponse est de 3,5 %, selon les 1 013 sondages remplis, dont 502 ont été considérés comme hors de portée, parmi l'échantillon de 42 800 cas valides. Voici les résultats de toutes les prises de contact.

Tableau 6 : Taux de réponse
Résultat En ligne (Panel) Téléphone (Panel) Téléphone (CA) Total
Total 9 933 4 939 61 718 76 590
Invalides 38 314 18 918 19 270
Échantillon valide 9 895 4 625 42 800 57 320
Non-réponse 6 725 3 292 32 132 42 149
Refus 80 504 9 083 9 667
Partiellement rempli 457 22 70 549
Nombre total de non-réponse 7 262 3 818 41 285 52 365
Inadmissible/Quota rempli 12 14 502 528
Enquête terminée 2 621 793 1 013 4 427
Taux de réponse 26,6 % 17,5 % 3,5 8,6 %

Comme décrit précédemment dans le rapport, il y avait des différences mineures entre le questionnaire administré en ligne et celui qu'utilisaient les enquêteurs. La version téléphonique du questionnaire a été légèrement raccourcie pour réduire le temps requis pour participer au sondage. Il ne comprenait pas la question 1 (À quel point croyez-vous être bien informé[e] sur la démence?), mais comprenait la question 18 (Qu'est-ce que vous considérez comme des sources d'information fiables sur la démence?) et incluait une liste plus courte de choix de réponse, excluant « Médias grand public (par exemple, la télévision, la radio, les journaux) » « Ouvrages, livres et revues scientifiques », « Médias sociaux et groupes de discussion » et « Sites Web d'organismes de défense des droits (p. ex. Société Alzheimer, organismes de lutte contre la démence) », considérés comme des sources de sondage moins prioritaires que les quatre autres sources liées (sites Web d'experts en soins de santé, amis et familles, sites Web du gouvernement fédéral et sites Web de gouvernements provinciaux/territoriaux).

Le tableau ci-dessous présente la composition démographique des répondants du sondage. Comme pour les résultats du rapport, les résultats du tableau 7 sont pondérés. Les questions utilisées dans la composition de l'échantillon (âge, genre, région, niveau de scolarité, groupes ethniques cibles et membres de la communauté LGBTQ2+) sont présentées sans pondération.

Tableau 7 : Détails démographiques
  TOTAL
2024
TOTAL
2022
TOTAL
2020
Âge (non pondéré) n=4427 n=2050[43] n=4207
Moins de 35 ans 17 % 24 % 19 %
De 35 à 44 ans 16 % 20 % 16 %
De 45 à 54 ans 17 % 20 % 18 %
De 55 à 64 ans 22 % 20 % 22 %
De 65 à 74 ans 18 % 18 % 17 %
75 ans ou plus 10 % -- 7 %
Province/territoires (non pondéré) n=4427 n=2050 n=4207
Colombie-Britannique 10 % 11 % 10 %
Alberta 10 % 10 % 8 %
Saskatchewan 7 % 2 % 7 %
Manitoba 7 % 3 % 7 %
Ontario 18 % 34 % 18 %
Québec 13 % 24 % 12 %
Nouveau-Brunswick 7 % 4 % 7 %
Nouvelle-Écosse 7 % 5 % 8 %
Île-du-Prince-Édouard 6 % 0,3 % 6 %
Terre-Neuve-et-Labrador 6 % 2 % 6 %
Yukon 5 % 3 % 4 %
Territoires du Nord-Ouest 4 % 2 % 4 %
Nunavut 1 % 0,4 % 2 %
Genre (non pondéré) n=4427 n=2050 n=4207
Homme 51 % 50 % 48 %
Femme 47 % 47 % 51 %
Autre 1 % 2 % --
Je préfère ne pas répondre 1 % 1 % 1 %
Niveau de scolarité complété (non pondéré) n=4427 n=2050 n=4207
Diplôme d'études secondaires/l'équivalent ou moins 21 % 20 % 25 %
Apprenti inscrit ou autre certificat ou diplôme de formation professionnelle 5 % 4 % 5 %
Certificat ou diplôme d'un établissement collégial, d'un CÉGEP ou de tout autre établissement enregistré non universitaire ou de formation d'apprenti 21 % 20 % 20 %
Certificat universitaire ou diplôme inférieur au baccalauréat 31 % 32 % 31 %
Baccalauréat 21 % 23 % 18 %
Je préfère ne pas répondre 1 % 1 % 1 %
Revenu total du ménage de l'année dernière, avant impôts n=4427 n=2050 n=4207
Moins de 20 000 $ 7 % 7 % 9 %
20 000 $ à moins de 40 000 $ 11 % 11 % 14 %
40 000 $ à moins de 60 000 $ 12 % 10 % 14 %
60 000 $ à moins de 80 000 $ 11 % 12 % 13 %
80 000 $ à moins de 100 000 $ 11 % 13 % 12 %
100 000 $ à moins de 120 000 $ 12 % 12 % 17 %
120 000 $ à moins de 150 000 $ 10 % 9 %
150 000 $ ou plus 16 % 15 % 11 %
Je préfère ne pas répondre 10 % 11 % 11 %
Langue parlée à la maison n=4427 n=2050 n=4207
Anglais 76 % 76 % 72 %
Français 17 % 16 % 20 %
L'anglais autant que le français 2 % 3 % 2 %
Autre 1 % 4 % 6 %
Minorités (non pondéré) n=4427 n=2050 n=4207
Asiatiques du Sud-Est 5 % 3 % 5 %
Asiatiques du Sud 5 % 7 % 5 %
Noirs 5 % 7 % 6 %
Membre d'une autre minorité visible 2 % 8 % --
Autochtones (Premières Nations, Métis ou Inuit, autre) 8 % 5 % 14 %
Hispanique 3 % 2 % 3 %
Asie de l'Ouest/Moyen-Orient 1 % -- --
Aucune de ces réponses 75 % 73 % --
Je préfère ne pas répondre 3 % 2 % --
Groupes ethniques n=4427 n=2050 n=4207
Canadien 71 % 71 % --
Britannique 34 % 20 % 34 %
Français 20 % 13 % 24 %
Autre Européen de l'ouest 12 % 9 % 11 %
Européen de l'est 9 % 7 % 7 %
Asie du Sud-Est 9 % 3 % 8 %
Asie du Sud 6 % 6 % 5 %
Autochtones 5 % 4 % --
Scandinave 4 % 3 % 4 %
Européen du sud 4 % 3 % 4 %
Africain 3 % 2 % 3 %
Amérique latine 2 % 2 % 2 %
Américain (général) 2 % 1 % --
Caraïbes/Antilles 2 % -- --
Arabe 1 % 1 % 1 %
Océanie 1 % -- 1 %
Autre 2 % 6 % 2 %
Aucun 14 % 1 % 14 %
Je préfère ne pas répondre 2 % 1 % 2 %
Orientation sexuelle n=4427 n=2050 n=4207
Hétérosexuelle 92 % 76 % 87 %
Membres de la communauté 2SLGBTQI+ 5 % 18 % 9 %
Je préfère ne pas répondre 3 % 6 % 5 %

En ce qui concerne le biais de non-réponse, une comparaison entre l'échantillon non pondéré avec les statistiques du recensement de 2021 de Statistique Canada démontre qu'il y a une sous-représentation des personnes âgées de moins de 35 ans (17 %, alors que cette proportion est de 27 % au sein de la population). Du point de vue des études, les membres de l'échantillon des sondages sont un peu plus scolarisés que l'ensemble de la population puisque 52 % disent avoir un diplôme universitaire contre 36 % dans la population. Selon le tableau 7, une proportion semblable a été constatée pour les personnes âgées de 18 à 35 ans dans l'échantillon de 2020 (soit 19 %). Les échantillons de 2020 et 2022 comprenaient également des proportions plus élevées de titulaires d'un diplôme universitaire (55 % et 49 %, respectivement).

B. Questionnaire

WINTRO
Merci pour votre participation à ce sondage.
If you prefer to answer the survey in English, please click on English.
Votre participation est facultative et vos réponses demeureront confidentielles et anonymes. Il faut environ 15 minutes pour répondre au sondage, qui est géré par les Associés de recherche EKOS en conformité avec à la Loi sur la protection des renseignements personnels. Pour consulter notre politique de confidentialité, cliquez ici.
Cette recherche est enregistrée auprès du service de vérification des recherches du Conseil de recherche et d'intelligence marketing canadien. Veuillez cliquer ici si vous souhaitez vérifier son authenticité (code du projet 20240108-EK522).
Si vous avez besoin d'assistance technique, veuillez communiquer avec nous à online@ekos.com.

PINTRO
Bonjour/Bonsoir, Pourrais-je parler à ______?
Je m'appelle _____________________ et je représente les Associés de recherche EKOS, une entreprise de recherche sur l'opinion publique. Nous réalisons une étude pour le compte du gouvernement du Canada sur des questions relatives à la sensibilisation à la démence et aux connaissances sur la démence, y compris la réduction du risque de développer la démence. Je tiens à vous assurer que nous ne vendons ni ne sollicitons quoi que ce soit.
Préférez-vous répondre aux questions du sondage en français ou en anglais?/Would you prefer to be interviewed in English or French?
Vous êtes libre de participer ou non et toutes vos réponses demeureront confidentielles et anonymes. L'étude dure environ 15 minutes. Ce sondage est mené par les Associés de recherche Ekos et est géré en conformité avec les exigences de la Loi sur la protection des renseignements personnels. Les résultats ne seront pas communiqués de façon individuelle, mais pour des groupes de 20 personnes ou plus afin de protéger la confidentialité. Cette recherche est enregistrée auprès du service de vérification des recherches du Conseil de recherche et d'intelligence marketing canadien (SI ON DEMANDE : Visitez https://canadianresearchinsightscouncil.ca/rvs/home/?lang=fr si vous souhaitez vérifier son authenticité (code de projet 20240108-EK522)).
Le sondage prend environ 15 à 20 minutes, puis-je commencer?
Continuer 1
Préfère le remplir en ligne 2
Refus (REMERCIER ET METTRE FIN) 9

EMAIL
Pouvons-nous vous envoyer une invitation par courriel à répondre au sondage en ligne ?
ENQUÊTEUR : Confirmer l'orthographe de l'adresse de courriel <[EMAIL is not empty] (L'adresse de courriel que nous avons au dossier est le suivant: EMAIL, est-ce correct?)>.
Oui, confirmer courriel : 77
Non/ Je préfère ne pas répondre 99

EMAIL2
Merci. Vous devriez recevoir un message électronique provenant de online@ekos.com au cours des prochaines minutes.
Retour à INTRO, code ON 1

PRIV
Cet appel peut être enregistré pour contrôle de la qualité ou formation.
QAGEX
Quelle est votre année de naissance?
Année : 1
Je préfère ne pas répondre 9999

QAGEA
Avez-vous au moins 18 ans?
Oui 1
Non 2
Je préfère ne pas répondre 99

QAGEY
Pouvons-nous classer votre âge dans l'une des catégories d'âge générales suivantes?
Moins de 18 ans 1
18 à 24 ans 2
25 à 34 ans 3
35 à 44 ans 4
45 à 54 ans 5
55 à 64 ans 6
65 à 69 ans 7
70 à 74 ans 8
75 à 79 ans 9
80 à 84 ans 10
85 ans et plus 11
Je préfère ne pas répondre 99

QSEX
Quel était votre sexe à la naissance?
Par sexe, on entend le sexe assigné à la naissance.
Sexe masculin 1
Sexe feminin 2
Préfère ne pas répondre 99

QPROV
Dans quelle province ou quel territoire demeurez-vous?
Colombie-Britannique 1
Alberta 2
Saskatchewan 3
Manitoba 4
Ontario 5
Québec 6
Nouveau-Brunswick 7
Nouvelle-Écosse 8
Île-du-Prince-Édouard 9
Terre-Neuve 10
Yukon 11
Territoires du Nord-Ouest 12
Nunavut 13
Préfère ne pas répondre 99

Q1
À quel point croyez-vous être bien informé(e) sur la démence?
1 Pas du tout informé(e) 1
2 2
3 Moyennement informé(e) 3
4 4
5 Très bien informé(e) 5
Préfère ne pas répondre 99

Q2
De façon générale, à quel point croyez-vous que la démence a des répercussions importantes au Canada en ce moment?
1 Pas du tout un impact 1
2 2
3 Impact modéré 3
4 4
5 Impact très important 5
Je ne sais pas 99

NEWQ4
Comment évaluez-vous votre risque personnel de développer la démence?
<[PHONE](Enquêteur : Lisez l'échelle)>
1 Pas de risque 1
2 2
3 Risque modéré 3
4 4
5 Risque très élevé 5
Je ne sais pas 99

NEWQ4B [1,10]
Pourquoi pensez-vous que votre risque de développer la démence est modéré ou élevé?
<[PHONE]Interviewer:> Veuillez lire chaque élément de la liste et choisir toute réponse pertinente
Des membres de ma famille sont ou ont été atteints de démence 1
Je crois que la démence est inévitable à mesure que vous vieillissez 2
J'ai au moins un problème de santé 3
Je n'en fais pas assez pour mettre mon cerveau au défi 4
Je me sens souvent seul(e) et isolé(e) des autres et de ma communauté 5
Je ne fais pas autant d'exercice que je devrais 6
J'ai de la difficulté à maintenir une saine alimentation 7
Autre (Veuillez préciser) : 77
Aucune de ces réponses 97
Je ne sais pas 98
Préfère ne pas répondre 99

NEWQ4C [1,9]
Pourquoi pensez-vous que votre risque de développer la démence est faible?
<[PHONE]Interviewer:> Veuillez lire chaque élément de la liste et choisir toute réponse pertinente
Personne dans ma famille n'a été atteint de démence 1
J'accorde la priorité à l'activité physique 2
J'ai de saines habitudes alimentaires 3
Je n'ai pas de problèmes de santé chroniques 4
Je met régulièrement mon cerveau au défi 5
Je suis activement impliqué(e) au sein de ma collectivité et je socialise souvent 6
Autre (Veuillez préciser) : 77
Aucune de ces réponses 97
Je ne sais pas 98
Préfère ne pas répondre 99

PQ5
Au meilleur de vos connaissances, veuillez indiquer si vous croyez que chacun des énoncés suivants est vrai ou faux :
Q5B
Il est possible de prendre des mesures pour réduire les risques de développer une démence
Vrai 1
Faux 2
Je ne sais pas 99

Q5D
Certains groupes ethniques ou culturels présentent un risque plus élevé de développer une démence
Vrai 1
Faux 2
Je ne sais pas 99

Q5E
Le risque de développer une démence est plus élevé chez les gens qui ont des problèmes de santé chroniques, comme l'hypertension, une maladie cardiaque ou le diabète
Vrai 1
Faux 2
Je ne sais pas 99

PQ7
À quel point êtes-vous d'accord ou en désaccord avec les énoncés suivants?
Q7A
La possibilité de développer une démence me préoccupe
Fortement en désaccord 1 1
2 2
Ni d'accord ni en désaccord 3 3
4 4
Fortement d'accord 5 5
Je ne sais pas 99

Q7B
La possibilité que quelqu'un de mon entourage développe une démence me préoccupe
Fortement en désaccord 1 1
2 2
Ni d'accord ni en désaccord 3 3
4 4
Fortement d'accord 5 5
Je ne sais pas 99

NEWQ10E [1,12]
Avez-vous pris l'une ou l'autre des mesures suivantes au cours de la dernière année?
<[PHONE](Enquêteur : Lisez la liste - Choisissez toutes les réponses pertinentes.)[ELSE]Veuillez lire chaque élément de la liste et choisir toute réponse pertinente.> <[PHONE](Enquêteur : ne lisez pas le texte entre parenthèses, sauf si précision demandé)>
Avoir une saine alimentation 1
Faire régulièrement des activités physiques 2
Réduire ou cesser ma consommation de tabac (p. ex., cigarettes, vapotage) 3
Réduire ou éliminer ma consommation d'alcool 4
Participer à des activités sociales (p. ex. bénévolat, rencontres sociales, visites) 5
Utiliser du matériel sécuritaire (p. ex., casque, écouteurs) pour protéger mon ouïe et mon cerveau 6
Limiter mon exposition à la pollution de l'air (p. ex., routes très fréquentées et zones industrialisées) 7
Mettre mon cerveau au défi en le maintenant actif (p. ex., en acquérant de nouvelles compétences) 8
Surveiller et gérer mes problèmes de santé chroniques 9
Autre (Veuillez préciser) : 77
Je n'ai pris aucune mesure 97
Je ne sais pas 98
Je préfère ne pas répondre 99

NEWQ6
À quel âge pensez-vous qu'il est important que les gens commencent à prendre des mesures pour réduire leur risque de démence?
<[PHONE](Enquêteur : Lisez la liste - Acceptez une seule réponse)>
Moins de 35 ans 2
Entre 35 et 54 ans 3
Entre 55 et 74 ans 4
75 ans ou plus 5
À tout âge 6
Je ne sais pas 98
Je préfère ne pas répondre 99

NEWQ5
À quel point pensez-vous être en mesure de réduire votre risque personnel de développer la démence à l'avenir?
<[PHONE](Enquêteur : Lisez l'échelle)>
1 Pas du tout 1
2 2
3 Dans une certaine mesure 3
4 4
5 Dans une grande mesure 5
Je ne sais pas 99

Q2IN [0,20]
Quels sont les trois premiers facteurs de risque qui vous viennent à l'esprit lorsque vous pensez à ce qui augmente la probabilité de développer la démence?
<[PHONE](Enquêteur : Acceptez jusqu'à trois réponses)>
Haute pression artérielle 1
Abus d'alcool 2
Manque d'activité physique 3
Régime alimentaire malsain 4
Perturbation du sommeil (p. ex., apnée du sommeil) 5
Tabagisme 6
Diabète 7
Obésité 8
Haut cholestérol 9
Solitude ou isolement social 10
Moins d'années d'éducation classique 11
Trop de temps devant l'écran 15
Pollution de l'air 12
Perte auditive 13
Dépression 16
Traumatisme cérébral 17
Exposition non sécuritaire au soleil 18
Génétique 19
Manque de stimulation cognitive 20
Santé mentale ou stress 21
Vieillissement 22
Autres problèmes de santé (p. ex., diabète, maladie cardiaque ou accident vasculaire cérébral) 23
Consommation chronique de médicaments 24
Mode de vie (général) 25
Exposition à des produits chimiques nocifs 26
1 : 2 : 3 : 77
Je ne sais pas/Pas de réponse 99

NEWQ8 [1,19]
En ce qui concerne votre situation actuelle, quels sont les facteurs de risque de démence susceptibles, selon vous, d'augmenter votre risque de développer la démence?
<[PHONE](Enquêteur : Lisez la liste - Choisissez toutes les réponses pertinentes.)[ELSE]Veuillez lire chaque élément de la liste et choisir toute réponse pertinente.>
Haute pression artérielle 1
Abus d'alcool 2
Manque d'activité physique 3
Régime alimentaire malsain 4
Perturbation du sommeil (p. ex., apnée du sommeil) 5
Obésité 8
Tabagisme 6
Diabète 7
Haut cholestérol 9
Solitude ou isolement social 10
Moins d'années d'éducation classique 11
Pollution de l'air 12
Perte auditive 13
Dépression 16
Traumatisme cérébral 17
Génétique 18
Autre (Veuillez préciser) : 77
Je ne sais pas 98
Pas de réponse 99

NEWQ8B [1,15]
En ce qui concerne ces facteurs de risque de démence, y en a-t-il que vous ne connaissiez pas avant?
<[PHONE]Enquêteur : Ne lisez pas la liste, mais donnez des pistes de réponse au besoin. Choisissez toutes les réponses pertinentes)[ELSE]Veuillez lire chaque élément de la liste et choisir toute réponse pertinente.>
Haute pression artérielle 1
Abus d'alcool 2
Manque d'activité physique 3
Régime alimentaire malsain 4
Perturbation du sommeil (p. ex., apnée du sommeil) 5
Obésité 8
Tabagisme 6
Diabète 7
Haut cholestérol 9
Solitude ou isolement social 10
Moins d'années d'éducation classique 11
Pollution de l'air 12
Perte auditive 13
Dépression 16
Traumatisme cérébral 17
Je connais tous les facteurs de risque 77
Je n'étais au courant d'aucun de ces facteurs de risque 98
Je ne sais pas/Pas de réponse 99

Q8
Au cours des douze derniers mois, avez-vous pris des mesures précises pour réduire le risque que vous courez de développer la démence?
Oui 1
Non 2
Je ne sais pas 99

NEWQ10B [1,11]
Qu'est-ce qui vous a motivé à commencer à prendre des mesures pour réduire votre risque de développer la démence?
<[PHONE]Interviewer:> Veuillez lire chaque élément de la liste et choisir toute réponse pertinente
Publicité, médias sociaux, influenceurs 1
Médias, comme les journaux, la radio ou la télévision 2
Conseils de personnes proches de moi, comme des membres de ma famille et des amis 3
Preuves crédibles, comme des études scientifiques 4
Changement à mon état de santé qui a accru mon inquiétude 5
Conseils d'un fournisseur de soins de santé 6
Je connais ou j'ai connu une personne atteinte de démence 7
Motivation personnelle envers un mode de vie sain 8
Autre (Veuillez préciser) : 77
Je ne sais pas 98
Je préfère ne pas répondre 99

Q8A [1,13]
Au cours des douze derniers mois, quelles mesures avez-vous prises pour réduire votre risque de développer la démence?
<[PHONE](Enquêteur : Lisez la liste - Choisissez toutes les réponses pertinentes.)[ELSE]Veuillez lire chaque élément de la liste et choisir toute réponse pertinente.> <[PHONE](Enquêteur : ne lisez pas le texte entre parenthèses, sauf si précision demandé)>
Avoir une saine alimentation 1
Faire régulièrement des activités physiques 2
Réduire ou cesser ma consommation de tabac (p. ex., cigarettes, vapotage) 3
Réduire ou éliminer ma consommation d'alcool 4
Participer à des activités sociales (p. ex. bénévolat, rencontres sociales, visites) 5
Utiliser du matériel sécuritaire (p. ex., casque, écouteurs) pour protéger mon ouïe et mon cerveau 6
Limiter mon exposition à la pollution de l'air (p. ex., routes très fréquentées et zones industrialisées) 7
Mettre mon cerveau au défi en le maintenant actif (p. ex., en acquérant de nouvelles compétences) 8
Surveiller et gérer mes problèmes de santé chroniques 9
Amélioration du sommeil 10
Autre (Veuillez préciser) : 77
Je ne sais pas 98
Je préfère ne pas répondre 99

NEWQ10C
Pensez-vous que vous aimeriez pouvoir ou devez faire plus pour réduire votre risque de développer une démence?
Oui 1
Non 2
Je ne sais pas 98
Je préfère ne pas répondre 99

NEWQ10F [1,15]
Veuillez indiquer les principales raisons pour lesquelles vous ne prendriez pas de mesures afin de réduire votre risque de développer la démence aussi souvent que vous le souhaitez?
<[PHONE]Enquêteur : Ne lisez pas la liste, mais donnez des pistes de réponse au besoin. Choisissez toutes les réponses pertinentes)[ELSE]Veuillez lire chaque élément de la liste et choisir toute réponse pertinente.>
Manque de temps 1
C'est trop dispendieux 2
Problèmes de santé (p. ex. arthrite, dépression, anxiété, toxicomanie) 3
C'est difficile de prendre des mesures où je vis 4
Il n'y a pas assez d'occasions d'activités sociales 5
Cela ne fera pas assez de différence 6
Je n'en sais pas assez sur les mesures que je devrais prendre 7
Je ne fais pas confiance aux données sur le risque de développer la démence 8
Je crois qu'il est trop tard dans ma vie pour agir 10
Je fais déjà ce que je peux, mode de vie sain 11
Je suis trop jeune pour être inquiet/inquiète 12
Je ne crois pas être une personne à risque élevé 13
Autre (Veuillez préciser) : 77
Je ne sais pas 98
Je préfère ne pas répondre 99

NEWQ10D [0,3]
Quels sont les trois principaux éléments qui vous aideraient à prendre des mesures pour réduire votre risque de développer la démence, mais que vous êtes incapable de prendre maintenant ou qui vous semble difficile à prendre?
<[PHONE](Enquêteur : Acceptez jusqu'à trois réponses)> <[PHONE](Enquêteur : ne lisez pas le texte entre parenthèses, sauf si précision demandé)>
Plus d'options de déplacement à proximité (p. ex., transports en commun, covoiturage, sentiers de randonnée et de cyclisme) 1
Vivre plus près d'espaces verts en plein air, de centres communautaires ou de centres de conditionnement physique 2
Avoir plus de temps pour mieux prendre soin de moi-même 3
En apprendre plus sur la façon de prendre des mesures pour réduire mon risque (p. ex., conseils sur la planification et la préparation de repas abordables, meilleures façons de garder mon cerveau actif, ou façon faire de l'exercice en toute sécurité) 4
Accès à des outils abordables et faciles à utiliser qui m'aident à faire le suivi de mes efforts (p. ex., applications de conditionnement physique, moniteurs portables) 5
Pouvoir accéder à tout ce dont j'ai besoin dans la langue de mon choix 6
Accès Internet amélioré (p. ex., plus rapide) 7
Exercice, plus actif(active), maintien de l'activité physique 8
Alimentation plus saine ou équilibrée, perte de poids, maintien du poids 9
Socialiser davantage avec des amis et des membres de la famille, sortir pour socialiser, se faire des amis 10
Mieux gérer le sommeil 11
Stimulation cérébrale ou cognitive, exercice cérébral, maintien des activités cérébrales 12
Gérer les problèmes de santé physique ou l'accès aux soins pour composer avec une maladie ou un problème de santé 13
Gérer le niveau de stress, réduire le stress 14
Vie abordable, coût de la vie réduit, soutien adéquat au revenu 15
Gérer les problèmes de santé mentale ou l'accès aux soins pour composer avec une maladie ou un problème de santé 16
Réduire ou éliminer la consommation d'alcool ou de drogue 17
Accès à un médecin pour un examen de santé ou une évaluation, informations provenant directement du médecin ou de professionnels de la santé en ce qui concerne les soins 18
Accroissement des préoccupations environnementales (p. ex., changements climatiques, pollution, aliments et production agricole plus sains) 19
1 : 2 : 3 : 77
Je ne sais pas 98
Je préfère ne pas répondre 99

Q11 [1,11]
S'il y a lieu, qui connaissez-vous ou avez-vous connu qui est atteint ou était atteint de démence?
<[PHONE](Enquêteur : Lisez la liste - Choisissez toutes les réponses pertinentes.)[ELSE]Veuillez lire chaque élément de la liste et choisir toute réponse pertinente.>
Moi-même 2
Mon époux (épouse) ou conjoint(e) 3
Un parent 4
Un membre de ma parenté étendue 5
Un(e) ami(e) 6
Un(e) voisin(e) 8
Un(e) collègue de travail 9
Personne 1 X
Autre (Veuillez préciser) : 77
Je ne sais pas 98
Je préfère ne pas répondre 99

Q12 [1,8]
Un(e) aidant(e) naturel(le) non rémunéré(e) peut réaliser un éventail de tâches pour une personne atteinte de démence.
Au cours des cinq dernières années, avez-vous effectué l'une ou l'autre des choses suivantes pour une personne atteinte de démence sans recevoir de rémunération?
<[PHONE]Interviewer:> Veuillez lire chaque élément de la liste et choisir toute réponse pertinente. <[PHONE](Enquêteur : ne lisez pas le texte entre parenthèses, sauf si précision demandé)>
Aide avec des affaires financières 1
Aide avec des activités quotidiennes (p. ex., cuisiner, faire du ménage, prendre un bain ou s'habiller) 2
Soins de santé généraux et suivi médical (p. ex., superviser l'utilisation de médicaments, aider avec l'administration de médicaments, fixer des rendez-vous) 6
Visite, soutien social et émotionnel 3
Transport (p. ex., activités, rendez-vous, courses) 4
Autres types de soins (Veuillez préciser) : 77
Aucune de ces réponses – Aucune aide à une personne atteinte de démence 98
Je ne sais pas 97
Préfère ne pas répondre 99

Q12A [1,10]
À qui avez-vous fourni les soins non rémunérés?
<[PHONE]Interviewer:> Veuillez lire chaque élément de la liste et choisir toute réponse pertinente.
Mon époux (épouse) ou conjoint(e) 1
Un parent 2
Un autre membre de ma famille 3
Un(e) ami(e) intime 4
Une connaissance 5
Un(e) voisin(e) 6
Personne à un poste bénévole 7
Autre (Veuillez préciser) : 77
Je ne sais pas 98
Préfère ne pas répondre 99

Q12B
Pour ce qui est du mois le plus récent où vous avez fourni des soins non rémunérés à une personne atteinte de démence, environ combien d'heures de soins lui avez-vous fournies en moyenne?
Heures 1 >
Je ne sais pas 98
Préfère ne pas répondre 99

Q12C
À quel point êtes-vous d'accord ou en désaccord avec l'énoncé suivant :
J'ai eu l'impression d'être en mesure de fournir les soins requis à la personne atteinte de démence.
En règle générale, « être en mesure de » signifie répondre aux besoins de la personne de façon satisfaisante et en temps opportun, notamment en l'aidant avec ses besoins médicaux, en lui apportant du soutien affectif ou en assurant sa sécurité.
1 Fortement en désaccord 1
2 2
3 Ni d'accord ni en désaccord 3
4 4
5 Fortement d'accord 5
Je ne sais pas 98
Préfère ne pas répondre 99

Q12D [1,13]
En tant qu'aidant(e) naturel(le) non rémunéré(e) d'une personne atteinte de démence, pourquoi ne vous sentiez-vous pas en mesure de fournir les soins requis?
<[PHONE]Interviewer:> Veuillez lire chaque élément de la liste et choisir toute réponse pertinente.
Je n'avais pas assez d'information 1
Je ne suis généralement pas doué(e) dans ces types de situations 2
Je n'avais pas assez de temps 3
Je n'avais pas assez de soutien 4
Les finances me préoccupaient 5
Ma propre santé me préoccupait 6
Je n'avais pas l'espace requis 7
J'avais d'autres responsabilités 8
Distance 9
Je n'étais pas le(la) principal(e) aidant(e) naturel(le), je n'étais pas responsable 10
Autre (Veuillez préciser) : 77
Je ne sais pas 98
Préfère ne pas répondre 99

NEWQ12E [1,10]
En tant qu'aidant(e) naturel(le) non rémunéré(e) d'une personne atteinte de démence, pourquoi vous sentiez-vous en mesure de fournir les soins requis?
<[PHONE]Interviewer:> Veuillez lire chaque élément de la liste et choisir toute réponse pertinente.
J'avais de l'expérience dans la prestation de soins 1
J'avais assez de temps ou un horaire flexible 2
J'avais du soutien 3
Je vivais assez près 4
J'avais accès à de l'information 5
Les finances n'était pas une préoccupation 6
Ma propre santé n'était pas une préoccupation 7
Autre (Veuillez préciser) : 77
Je ne sais pas 98
Préfère ne pas répondre 99

Q13
En général, seriez-vous en mesure de fournir fréquemment du soutien non rémunéré (p. ex., en qualité d'aidant(e) naturel(le)) à un membre de votre famille ou à un(e) ami(e) atteinte de démence? Cela se traduit normalement par une à trois heures de travail par semaine.
En règle générale, « être en mesure » signifie répondre aux besoins de la personne de façon satisfaisante et en temps opportun, notamment en l'aidant avec ses besoins médicaux, en lui apportant du soutien affectif ou en assurant sa sécurité.
Oui 1
Non 2
Je ne sais pas 98
Préfère ne pas répondre 99

Q13A [1,12]
Laquelle des réponses suivantes décrit le mieux les raisons pour lesquelles vous ne seriez pas en mesure de fournir fréquemment du soutien non rémunéré à un membre de votre famille ou à un(e) ami(e) atteinte de démence?
<[PHONE]Interviewer:> Veuillez lire chaque élément de la liste et choisir toute réponse pertinente.
Je ne sais pas ce qui serait attendu de moi 1
Je ne suis généralement pas doué(e) dans ces types de situations 2
Je n'ai pas le temps 3
Les implications financières me préoccupent 4
Les conséquences sur ma propre santé me préoccupent 5
Ma maison est trop petite ou pas adéquatement équipée 6
J'ai d'autres responsabilités 7
J'ai moi-même un handicap physique, une maladie chronique ou un problème de mobilité 8
Distance 9
Autre (Veuillez préciser) : 77
Je ne sais pas 98
Préfère ne pas répondre 99

Q13B [1,9]
Pourquoi vous sentiriez-vous en mesure de fournir fréquemment du soutien non rémunéré(e) à un membre de votre famille ou à un(e) ami(e) atteinte de démence?
<[PHONE]Interviewer:> Veuillez lire chaque élément de la liste et choisir toute réponse pertinente.
J'ai de l'expérience lorsqu'il est question de fournir des soins à une personne souffrant d'un problème de santé chronique 1
Je crois que j'aurais accès à assez de soutien et d'information 2
En général, j'ai confiance dans toutes les situations 3
Je connais des gens qui ont fait ça qui pourrait me donner des conseils 4
Cette personne est importante pour moi, alors je ferais ce que je peux 5
J'ai le temps, j'ai un horaire flexible avec du temps libre 6
Autre (Veuillez préciser) : 77
Je ne sais pas 98
Préfère ne pas répondre 99

PQ15
Selon ce que vous savez ou avez entendu, comment évalueriez-vous votre collectivité dans chacun des domaines suivants :
Q15A
Accès à des soins de santé de qualité pour les personnes atteintes de démence
Mauvais 1 1
2 2
Modéré 3 3
4 4
Excellent 5 5
Je ne sais pas 99

Q15B2
Accès à des programmes de jour à l'extérieur de la maison pour les personnes atteintes de démence
Mauvais 1 1
2 2
Modéré 3 3
4 4
Excellent 5 5
Je ne sais pas 99

Q15C2
Accès à du soutien à domicile pour aider les personnes atteintes de démence et les aidants naturels
Mauvais 1 1
2 2
Modéré 3 3
4 4
Excellent 5 5
Je ne sais pas 99

Q15D2
Accès à la planification préalable des soins et des soins de fin de vie pour les personnes atteintes de démence
Mauvais 1 1
2 2
Modéré 3 3
4 4
Excellent 5 5
Je ne sais pas 99

Q15E2
D'après ce que vous savez ou avez entendu, comment évalueriez-vous votre communauté lorsqu'il est question de faire preuve d'inclusivité en matière de démence?
<[PHONE]Ce type de communauté optimise la santé et le bien-être des personnes atteintes de démence en permettant un accès continu et sécuritaire à des environnements, activités et routines familiers le plus longtemps possible.[ELSE]Les communautés inclusives en matière de démence permettent aux personnes atteintes de démence de : optimiser leur santé et leur bien-être le plus longtemps possible dans des environnements communs et avec des routines courantes; vivre de la façon la plus autonome possible et continuer à faire partie de la communauté; se faire comprendre et recevoir du soutien; </li> <li>trouver leur chemin en toute sécurité; accéder à des installations locales courantes, comme des banques, des magasins, des cafés, des bureaux de poste et des cinémas; maintenir ou améliorer leurs contacts et leur réseau social.>
1 Mauvais 1
2 2
3 Modéré 3
4 4
5 Excellent 5
Je ne sais pas 99

PQ16
À quel point seriez-vous à l'aise pour faire chacune des choses suivantes?
Q16A
Avoir une discussion avec un fournisseur de soins de santé sur les risques que vous courez de développer une démence
Pas du tout à l'aise 1 1
2 2
Moyennement à l'aise 3 3
4 4
Tout à fait à l'aise 5 5
Je ne sais pas 98
Préfère ne pas répondre 99

Q16E
Parler à un(e) ami(e) d'un diagnostic de démence
Pas du tout à l'aise 1 1
2 2
Moyennement à l'aise 3 3
4 4
Tout à fait à l'aise 5 5
Je ne sais pas 98
Préfère ne pas répondre 99

Q18 [1,11]
Qu'est-ce que vous considérez comme des sources d'information fiables sur la démence?
<[PHONE]Interviewer:> Veuillez lire chaque élément de la liste et choisir toute réponse pertinente. <[PHONE](Enquêteur : ne lisez pas le texte entre parenthèses, sauf si précision demandé)>
ONLINE
Médias grand public (p. ex., télévision, radio, Journaux) 1
ONLINE
Ouvrages, articles et revues scientifiques 2
ONLINE
Médias sociaux et groupes de discussion 3
Sites Web d'experts en soins de santé (p. ex., iGeriCare, Avancer Un guide pour vivre avec un trouble neurocognitif) 4
Gens que vous connaissez (p. ex., ami[e]s et famille) 7
Sites Web du gouvernement fédéral (p. ex., Santé Canada, Agence de la santé publique du Canada) 8
Sites Web de gouvernements provinciaux et territoriaux (p. ex., sites Web de ministères de la Santé) 9
ONLINE
Sites Web d'organismes de défense des droits (p. ex. Société Alzheimer, organismes de lutte contre la démence) 10
Autre (Veuillez préciser) : 77
Je ne sais pas 99

NEWQ21 [1,12]
Nos dernières questions serviront à aider à regrouper vos réponses.
Avez-vous reçu un diagnostic de l'un des éléments suivants?
<[PHONE](Enquêteur : Lisez la liste - Choisissez toutes les réponses pertinentes.)[ELSE]Veuillez lire chaque élément de la liste et choisir toute réponse pertinente.>
Accident vasculaire cérébral 1
Maladie cardiaque 2
Hypertension 3
Dépression 4
Diabète 5
Obésité 6
Perte auditive 7
Traumatisme cérébral 8
Haut cholestérol 9
Autre (Veuillez préciser) : 77
Aucune de ces réponses 97
Je ne sais pas 98
Je préfère ne pas répondre 99

QEDUC
Quel est le niveau de scolarité le plus élevé que vous avez atteint?
8e année ou moins (équivalent au secondaire II au Québec) 1
Certaines études secondaires 2
Diplôme d'études secondaires ou l'équivalent 3
Apprenti inscrit ou autre certificat ou diplôme de formation professionnelle 4
Diplômes d'études collégiales, de cégep ou autre certificat ou diplôme non universitaire 5
Certificat universitaire ou diplôme inférieur au baccalauréat 6
Baccalauréat 7
Grade universitaire supérieur au baccalauréat 8
Préfère ne pas répondre 99

QINC
Lequel des énoncés suivants décrit le mieux le revenu total de votre ménage l'an dernier, avant impôt, de toutes les sources et pour tous les membres du ménage?
<[PHONE] (Interviewer: Lire la liste)>
Moins de 20 000 $ 1
De 20 000 $ à moins de 40 000 $ 2
De 40 000 $ à moins de 60 000 $ 3
De 60 000 $ à moins de 80 000 $ 4
De 80 000 $ à moins de 100 000 $ 5
De 100 000 $ à moins de 120 000 $ 6
De 120 000 $ à moins de 150 000 $ 7
150 000 $ et plus 8
Préfère ne pas répondre 99

DICQ45
Laquelle des catégories suivantes vous décrit le mieux le lieu où vous habitez?
<[PHONE](Interviewer: Lire la liste)>
Grand centre urbain de 100 000 habitants ou plus 1
Centre urbain de taille moyenne de 30 000 à 100 000 habitants 2
Petit centre urbain de 1 000 à 30 000 habitants 3
Zone rurale de moins de 1 000 habitants à proximité 4
Région éloignée (isolée d'autres communautés) 5
Préfère ne pas répondre 99

QLANG
Quelle langue parlez-vous le plus souvent à la maison?
Anglais 1
Français 2
L'anglais autant que le français 3
Autre (Veuillez spécifier la langue) : 77
Préfère ne pas répondre 99

DICQ39 [1,8]
Est-ce que vous considérez faire partie de l'un ou l'autre des groupes suivants?
<[PHONE](Enquêteur : Lisez la liste - Choisissez toutes les réponses pertinentes.)[ELSE]Veuillez lire chaque élément de la liste et choisir toute réponse pertinente.>
Hispaniques 2
Noirs 3
Asiatiques du Sud (p. ex., Pakistan, Inde, Sri Lanka, etc.) 4
Asiatiques du Sud-Est (p. ex., Chine, Vietnam, Corée, etc.) 5
Autre minorité visible ou d'une communauté racisée qui n'est pas caucasienne (Veuillez préciser) : 77
Aucune de ces réponses 98
Je préfère ne pas répondre 99

Q24
Est-ce que vous vous considérez comme un(e) Autochtone?
Oui 1
Non 2
Préfère ne pas répondre 99

Q25
Laquelle des catégories suivantes vous décrit le mieux? Êtes-vous un(e) membre des Premières nations, un(e) Métis(se) ou un(e) Inuit(e)?
Membre des Premières Nations 1
Métis(se) 2
Inuit(e) 3
Autre (Veuillez préciser) : 77
Préfère ne pas répondre 99

Q26
Habitez-vous dans une communauté autochtone ou de Premières nations pendant au moins six mois de l'année?
Oui 1
Non 2
Préfère ne pas répondre 99

DISCQ46
Quel est votre genre?
Le genre fait allusion au genre auquel vous vous identifiez, lequel peut être différent du sexe assigné à la naissance ou du sexe qui apparaît dans des documents juridiques.
Homme 1
Femme 2
Autre identité de genre : 77
Préfère ne pas répondre 99

NEWQ27 [1,10]
Appartenez-vous à l'une ou l'autre des communautés de genre et de diversité suivantes?
<[PHONE](Enquêteur : Lisez la liste - Choisissez toutes les réponses pertinentes.)[ELSE]Veuillez lire chaque élément de la liste et choisir toute réponse pertinente.>
Bispirituel(le) 5
Lesbienne 2
Homosexuel 3
Bisexuel(le) 4
Transgenre 6
Queer 7
Intersexué(e) 8
Autre (Veuillez préciser) : 77
Non 98
Préfère ne pas répondre 99

QETHN [1,18]
A quel(s) groupe(s) ethnique(s) ou culturel(s) autre(s) que canadien vos ancêtres appartenaient-ils?
<[PHONE]Enquêteur : Ne lisez pas la liste, mais donnez des pistes de réponse au besoin. Choisissez toutes les réponses pertinentes)[ELSE]Veuillez lire chaque élément de la liste et choisir toute réponse pertinente.>
Britannique (p. ex., Anglais, Écossais, Irlandais, Gallois, etc.) 1
Français (p. ex., Québécois, Franco-Ontarien, Franco-Manitobain, Acadien, etc.) 2
Européen de l'Ouest (p. ex., Allemand, Néerlandais, etc.) 3
Scandinave (p. ex., Suédois, Finlandais, Danois, Norvégien, etc.) 4
Européen de l'Est (p. ex., Polonais, Russe, Tchèque, Slovaque, Ukrainien, etc.) 5
Européen du Sud (p. ex., Italien, Grec, Espagnol, etc.) 6
Arabe (p. ex., Égyptien, Libanais, etc.) 7
Asiatique de l'Ouest (p. ex., Afghan, Iranien, etc.) 8
Asiatique du Sud (p. ex., Indien oriental, Pakistanais, Sri-lankais, etc.) 9
Asiatique du Sud-Est (p. ex., Chinois, Vietnamien, Coréen, etc.) 10
Océanie (p. ex., Australien, Néo-Zélandais, Polynésien, etc.) 11
Amérique latine (p. ex., Mexicain, Brésilien, Chilien, etc.) 12
Autochtone (p. ex., Ojibway, Iroquois, Cri, etc.) 13
Américain (mention générale) 14
Africain (p. ex., Nigérien, Somalien, etc.) 15
Autre (Veuillez préciser) : 77
Aucun 98
Préfère ne pas répondre 99

THNK
Merci beaucoup d'avoir pris le temps de répondre à ce sondage.
<[AQAGEX = 2007 or (AQAGEX = 2006 and QAGEA = 2,99) or (QAGEX = 9999 and QAGEY = 1,99)] Merci pour votre intérêt à participer au sondage, malheureusement vous ne correspondez pas aux critères d'admissibilité de l'étude.[ELSE]Nous espérons travailler de nouveau avec vous dans le cadre de la prochaine étude.>

Footnotes

1. Livingston, G. et coll. Dementia prevention, intervention, and care: 2020 report of the Lancet Commission – The Lancet. https://www.thelancet.com/article/S0140-6736(20)30367-6/fulltext Agence de la santé publique du Canada. La démence au Canada, y compris la maladie d'Alzheimer : Faits saillants du Système canadien de surveillance des maladies chroniques. Gouvernement du Canada. 2017; https://publications.gc.ca/collections/collection_2018/aspc-phac/ HP35-84-2017-fra.pdf

2. Les Associés de recherche EKOS inc. pour l'Agence de la santé publique du Canada. Sondage sur la démence : rapport final. Gouvernement du Canada. 2020; https://epe.lac-bac.gc.ca/100/200/301/pwgsc-tpsgc/por-ef/public_health_agency_canada/2020/076-19-f/index.html

3. Les Associés de recherche EKOS inc. pour l'Agence de la santé publique du Canada. Sondage auprès des Canadiens sur la prévention de la démence : rapport final Gouvernement du Canada. 2022; https://epe.lac-bac.gc.ca/100/200/301/pwgsc-tpsgc/por-ef/public_health_agency_canada/2022/104-21-f/index.html

4. Des données désagrégées sont disponibles dans les tableaux de données connexes, mais ne sont pas incluses dans le présent rapport.

5. Statistique Canada. Recensement de la population. Profil du recensement, 2021; https://www12.statcan.gc.ca/census-recensement/2021/dp-pd/prof/index.cfm?Lang=F

6. L'exception est le Nunavut où seulement 37 cas ont été recueillis avec une marge d'erreur de 16 %.

7. La version de 2024 de la question visant à déterminer le statut d'aidant naturel non rémunéré tenait compte du soutien social et des visites comme des activités de soins. Les rajustements qui ont été apportés dans la pondération des résultats de 2024, dont l'objectif était de les harmoniser davantage au pourcentage d'aidants naturels non rémunérés de l'échantillon de 2020, indiquent que très peu de différences seraient constatées dans les résultats de 2024 si la proportion d'aidants naturels non rémunérés était la même que dans l'échantillon de 2020. Par conséquent, les différences entre les résultats de 2020 et de 2024 ne peuvent être attribuées à cette augmentation de la proportion d'aidants naturels non rémunérés dans l'échantillon.

8. Puisque le sondage de 2022 sur la prévention se limitait aux répondants âgés de 18 à 74 ans, les résultats liés à la perception du risque excluent les répondants âgés de 75 ans ou plus pour offrir une comparaison plus directe avec les résultats antérieurs.

9. Il y a un chevauchement important entre les 41 % des répondants entrant dans la catégorie des aidants naturels non rémunérés dans les types d'activités de soutien que chacun d'eux a dit offrir ou avoir offert au cours des cinq dernières années. L'augmentation de la proportion de répondants qui sont considérés comme des aidants naturels non rémunérés est possiblement attribuable à l'ajout en 2020 des options « Visite, soutien social et émotionnel » et « Transport ».

10. Contrairement aux autres réponses offertes, les médias grand public, les ouvrages, articles et revues scientifiques, les médias sociaux et groupes de discussion, ainsi que les sites Web d'organismes de défense des droits étaient montrés aux répondants en ligne, mais n'étaient pas mentionnés à 40 % de l'échantillon ayant participé au sondage au téléphone.

11. Les différences de moins de 5 % entre le sous-groupe et le total global ne sont pas signalées même si elles sont statistiquement significatives.

12. Il faut faire preuve de prudence dans l'interprétation de ce résultat en raison du faible nombre de réponses (n=37).

13. Il faut faire preuve de prudence dans l'interprétation de ce résultat en raison du faible nombre de réponses (n=37).

14. Les options de réponse de l'AVC à l'arthrite dans le tableau n'étaient pas incluses dans la liste originale, mais mentionnées spontanément par les répondants.

15. Bien que les répondants étaient interrogés sur des problèmes de santé précisément liés à la démence, les autres problèmes de santé de l'option « Autre » ont par la suite formé des catégories lorsque le problème de santé était mentionné par au moins 1 % des répondants.

16. Il faut faire preuve de prudence dans l'interprétation de ce résultat en raison du faible nombre de réponses (n=37).

17. Les répondants étaient invités à décrire des facteurs de risque dans leurs propres mots. Aucun choix de réponse autre que « Veuillez préciser » et « Je ne sais pas/Pas de réponse » n'était fourni. Les réponses ont été classées à la suite de la collecte des données du sondage.

18. Il faut faire preuve de prudence dans l'interprétation de ce résultat en raison du faible nombre de réponses (n=37).

19. Il faut faire preuve de prudence dans l'interprétation de ce résultat en raison du faible nombre de réponses (n=37).

20. Il faut faire preuve de prudence dans l'interprétation de ce résultat en raison du faible nombre de réponses (n=37).

21. Il faut faire preuve de prudence dans l'interprétation de ce résultat en raison de la taille de l'échantillon (n=37).

22. Il faut faire preuve de prudence dans l'interprétation de ce résultat en raison de la petite taille de l'échantillon (n=37).

23. Il faut faire preuve de prudence dans l'interprétation de ce résultat en raison de la petite taille de l'échantillon (n=37).

24. Il faut faire preuve de prudence dans l'interprétation de ce résultat en raison de la petite taille de l'échantillon (n=37).

25. Il faut faire preuve de prudence dans l'interprétation de ce résultat en raison du faible nombre de réponses (n=37).

26. Il faut faire preuve de prudence dans l'interprétation de ce résultat en raison du faible nombre de réponses (n=37).

27. Il y a un chevauchement important entre les 41 % des répondants entrant dans la catégorie des aidants naturels non rémunérés pour les types d'activités de soutien que chacun d'eux a dit offrir ou avoir offert au cours des cinq dernières années.

28. Parmi les 40,5 % de répondants qui disent fournir ou avoir fourni des soins au cours des cinq dernières années, 27,3 % mentionnent du soutien autre que des visites, du soutien social et du transport (selon la définition originale de 2020 d'aidant naturel). Les 13,2 % restants signalent uniquement les visites, le soutien social ou le transport (c.-à-d., ne correspond pas à la définition d'aidant naturel de 2020).

29. Une enquête plus approfondie inclut également l'application d'une pondération d'essai, réduisant la proportion d'aidants naturels non rémunérés à la valeur de 2020 parmi ceux qui correspondent à la définition originale, et ne montre aucun changement important dans les résultats de 2024.

30. Il faut faire preuve de prudence dans l'interprétation de ce résultat en raison du faible nombre de réponses (n=33).

31. Il faut faire preuve de prudence dans l'interprétation de ce résultat en raison du faible nombre de réponses (n=37).

32. Il faut faire preuve de prudence dans l'interprétation de ce résultat en raison du faible nombre de réponses (n=37).

33. Il faut faire preuve de prudence dans l'interprétation de ces résultats en raison de la petite taille de l'échantillon (n=37).

34. Téléphone : Ce type de collectivité optimise la santé et le bien-être des personnes atteintes de démence en permettant un accès continu et sécuritaire à des milieux, des activités et des routines familiers le plus longtemps possible.

35. En ligne : Les communautés inclusives en matière de démence permettent aux personnes atteintes de démence de : optimiser leur santé et leur bien-être le plus longtemps possible dans des environnements familiers et avec des routines familières; vivre de façon la plus autonome possible et continuer à faire partie de leur communauté; se faire comprendre et recevoir du soutien; trouver leur chemin en toute sécurité; accéder à des installations locales courantes, comme des banques, des magasins, des cafés, des bureaux de poste et des cinémas; maintenir ou améliorer leurs contacts et leur réseau social.

36. Il faut faire preuve de prudence dans l'interprétation de ces résultats en raison de la petite taille de l'échantillon (n=37).

37. Il faut faire preuve de prudence dans l'interprétation de ces résultats en raison de la petite taille de l'échantillon (n=37).

38. Contrairement aux autres réponses offertes, les médias grand public, les ouvrages, articles et revues scientifiques, les médias sociaux et groupes de discussion, ainsi que les sites Web d'organismes de défense des droits étaient montrés aux répondants en ligne, mais n'étaient pas mentionnés dans les entretiens réalisés au téléphone. Par conséquent, la composition de l'échantillon n'est pas le même et les résultats ne peuvent être comparés en toute fiabilité à ceux de 2020.

39. Il faut faire preuve de prudence dans l'interprétation de ces résultats en raison de la petite taille de l'échantillon (n=37).

40. Présentées comme des Autochtones tout au long du rapport. Cependant, des données désagrégées sont disponibles pour les membres de Premières Nations et les Métis dans les tableaux.

41. L'objectif initial était de recruter cent répondants au Nunavut, mais cela s'est avéré difficile à atteindre, même avec des efforts considérables pour entrer en contact par téléphone avec des membres du panel et avec des échantillons aléatoires de répondants ayant une ligne terrestre et cellulaires dans ce territoire.

42. L'exception est le Nunavut où seulement 37 cas ont été recueillis avec une marge d'erreur de 16 %.

43. Comme mentionné précédemment dans le rapport, l'étude de 2022 incluait des Canadiens âgés de 18 à 74 ans.