Campagne de sensibilisation du public sur les armes à feu et les gangs - Rapport final

Préparé à l'intention de Sécurité publique

Nom de la firme de recherche :
Les Associés de recherche Ekos inc.
Numéro de contrat :
CW2345624
Valeur du contrat :
96 352,28 $ (TVH incluse)
Date d'attribution des services :
15 janvier 2024
Date de livraison des services :
5 juin 2024
Numéro d'enregistrement :
ROP 114-23

Pour obtenir de plus amples renseignements sur ce rapport, veuillez envoyer un courriel à ps.communications-communications.sp@canada.ca.

Ce rapport de recherche sur l'opinion publique présente les résultats d'un sondage en ligne mené par Les Associés de recherche Ekos inc. pour le compte de Sécurité publique Canada. L'étude de recherche a été menée auprès de 2 069 Canadiens âgés de douze ans ou plus entre le 28 février et le 14 mars 2024.

This publication is also available in English under the title: Guns et Gangs Awareness Campaign.

Cette publication peut être reproduite à des fins non commerciales uniquement. Pour toute autre utilisation, veuillez obtenir au préalable une permission écrite de Sécurité publique Canada. Pour de plus amples renseignements sur ce rapport, veuillez communiquer avec Services publics et Approvisionnement Canada à tpsgc.questions-questions.pwgsc@tpsgc-pwgsc.gc.ca ou à :

Direction générale des Communications

Services publics et Approvisionnement Canada

Portage III Tour A

16A1-11 rue Laurier

Gatineau QC K1A 0S5

Numéro de catalogue :
PS18-89/2024F-PDF
Numéro international normalisé du livre (ISBN) :
978-0-660-71528-5

Publications connexes (numéro d'enregistrement : ROP 114-23)

Numéro de catalogue :
PS18-89/2024E-PDF (Rapport en anglais)
Numéro international normalisé du livre (ISBN) :
978-0-660-71527-8

© Sa Majesté le Roi du chef du Canada, représenté par le ministre des Travaux publics et des Services gouvernementaux, 2024

Tables des matières

Liste des tableaux

Liste des graphiques

Sommaire

A. Contexte et objectifs

Les lettres de mandat du ministre de la Sécurité publique, de la vice-première ministre ainsi que du ministre de la Justice et procureur général – tout comme le discours du Trône de 2021 et le discours du budget de 2022 – décrivent l'engagement du gouvernement envers la prise de mesures visant à réduire la violence liée aux armes à feu au Canada, notamment en fournissant aux provinces, aux territoires, aux municipalités et aux collectivités autochtones du financement pour prévenir les activités des gangs et pour intervenir dans la lutte contre les gangs par l'entremise de l'Initiative de lutte contre la violence liée aux armes à feu et aux gangs (ILCVAFG) et du Fonds pour bâtir des communautés sécuritaires (FBCS).

Au cours de l'exercice 2021-2022, Sécurité publique Canada a lancé une campagne de sensibilisation aux armes à feu, qui informait les Canadiens que le gouvernement du Canada prenait des mesures pour prévenir la violence liée aux armes à feu, notamment en ciblant la violence liée aux gangs.

La recherche contribuera à orienter les futurs efforts de sensibilisation et met l'accent sur les perceptions, la sensibilisation et la compréhension des Canadiens à l'égard de la violence liée aux armes à feu et aux gangs au Canada. Plus précisément, le sondage mesure ce qui suit :

Les résultats aideront à cerner les niveaux de sensibilisation actuels, les attitudes et les opinions sur la criminalité liée aux gangs et aux armes à feu, les lacunes en matière de connaissances, ainsi que les types de ressources qui seraient les plus utiles pour les particuliers, les familles et d'autres personnes.

B. Méthodologie

Le sondage a été mené du 28 février au 14 mars 2024 auprès de 2 069 Canadiens âgés de douze ans ou plus, y compris les principaux groupes cibles de jeunes âgés de 12 à 24 ans (n=385), les parents de jeunes âgés de 12 à 24 ans (n=504), la famille élargie et les influenceurs (comme les enseignants, les conseillers et d'autres personnes qui prodiguent des conseils à des personnes âgées de 12 à 24 ans) (n=631). La source de l'échantillon est le panel interne Probit, qui se compose de Canadiens et Canadiennes recrutés au hasard.

Les jeunes ont été inclus dans l'échantillon par l'intermédiaire d'un amalgame de membres du panel âgés de moins de 25 ans, de parents et de membres de la famille élargie, généralement en envoyant une invitation par courriel avec un lien vers le sondage que le parent ou le membre de la famille élargie pouvait transmettre à un jeune avec lequel il est en contact.

L'échantillon probabiliste recruté de façon aléatoire présente une marge d'erreur de ± 2,2 % (± 3,5 à 5 % pour les jeunes, les parents, les membres de la famille élargie et les influenceurs). La marge d'erreur pour les autres principaux segments de l'échantillon se situe entre ±3 % et ±6 %. Il était possible de répondre au sondage en ligne ou au téléphone dans les deux langues officielles. La durée moyenne du sondage était de 12 minutes en ligne et de 19 minutes au téléphone. Le taux de réponse global à l'enquête est de 26 %. L'annexe A présente de plus amples détails sur la méthodologie utilisée dans le cadre du sondage.

C. Principales constatations

Segments de l'échantillon

Un Canadien sur cinq déclare que lui-même ou un proche a été touché par la violence liée aux gangs. À peu près la même proportion (22 %) est d'accord pour dire qu'il y a des endroits dans leur quartier pour passer du temps qui sont gratuits et faciles d'accès.

Risque perçu

Les Canadiens sont divisés également lorsqu'il est question du niveau de préoccupation quant à la menace de violence liée aux gangs dans leur collectivité locale. La moitié n'est pas du tout préoccupée ou pas très préoccupée, tandis qu'un peu plus de la moitié est plutôt préoccupée ou très préoccupée. Une proportion beaucoup plus élevée (78 %), cependant, est un peu ou très préoccupée par la violence liée aux gangs à l'extérieur de leur communauté locale. Quatre personnes sur dix (40 %) disent entendre parler parfois ou souvent de gangs et de violence liée aux gangs dans leur collectivité. Cette proportion passe à 80 % chez les Canadiens qui entendent parler de gangs et de violence liée aux gangs à l'extérieur de leur collectivité. Dans les deux cas, les résidents des petites collectivités ou des collectivités rurales sont beaucoup moins susceptibles de dire qu'ils sont préoccupés ou qu'ils en entendent souvent parler dans leur collectivité.

Les raisons les plus souvent évoquées pour se joindre à des gangs sont la pression exercée par les pairs (69 %), la recherche d'amis ou d'un cercle social (68 %), le fait de gagner de l'argent (64 %), le manque de scolarité (63 %) ou le manque d'appartenance (63 %). Environ quatre répondants sur dix croient que les gens qui se joignent à des gangs le font pour suivre des membres de la famille (45 %), pour des raisons de sécurité ou de protection (41 %) ou pour cause de pression culturelle (41 %). Environ trois personnes sur dix mentionnent un traumatisme intergénérationnel (34 %), une mauvaise santé mentale (30 %) ou la représentation des gangs dans les médias (27 %) comme des raisons de se joindre à un gang. Les principales activités les plus souvent associées aux gangs sont les crimes liés à la drogue (76 %) et les crimes commis avec des armes à feu (48 %), environ une personne sur cinq liant les gangs au crime organisé (23 %) et à la violence (20 %).

Attitudes à l'égard des gangs et de la violence liée aux gangs

La plupart des Canadiens conviennent que le port d'une arme à feu est dangereux (78 %) et sept sur dix sont d'accord pour dire que le Canada a un problème de violence liée aux gangs et que tous les gangs sont mauvais. Un peu plus de la moitié (54 %) croit que le Canada a un problème de violence liée aux armes à feu. Six répondants sur dix croient que les gens se joignent à des gangs parce qu'ils le doivent (59 %). Sept personnes sur dix conviennent que les médias traditionnels rendent attrayant le style de vie des gangs, alors qu'une moindre proportion (55 %) croit la même chose des médias sociaux.

Perception des mesures de lutte contre la violence et la criminalité liées aux gangs

Le rendement perçu du gouvernement du Canada lorsqu'il s'agit d'adopter des mesures visant à lutter contre la violence liée aux gangs est assez faible parmi les répondants. Sept personnes sur dix (69 %) estiment que ce rendement est mauvais (43 %) ou correct (27 %). Seule une personne sur dix croit qu'il est bon (10 %) ou excellent (1 %), bien que 19 % disent ne pas savoir. Les parents des jeunes âgés de 12 à 24 ans sont les moins positifs, 50 % considérant le rendement comme faible.

Perceptions des jeunes

La plupart des jeunes disent qu'ils se sentent toujours ou principalement en sécurité à l'école (88 %) ou dans leur collectivité (86 %). Les jeunes disent qu'ils parleraient principalement à un parent ou tuteur (71 %) ou à un ami (60 %) s'ils se sentaient en danger dans leur collectivité. Plus d'un jeune sur trois (37 %) parlerait à un autre membre de la famille, tandis qu'un sur quatre (26 %) approcherait un enseignant, un éducateur ou un entraîneur.

Trois jeunes sur dix (30 %) disent avoir ressenti la pression de leurs amis ou de leurs pairs pour prendre de la drogue. Environ une personne sur cinq dit avoir ressenti de la pression pour participer à une activité sexuelle (20 %), pour voler (19 %) ou pour faire de l'intimidation ou de la cyberintimidation (18 %). Moins d'un répondant sur dix mentionne la pression exercée par les pairs pour commettre de la violence physique (8 %), vendre de la drogue (6 %), distribuer des images intimes sans consentement (6 %), porter une arme (5 %) ou se joindre à un gang (2 %). Plus de la moitié des jeunes affirme que quelqu'un lui a parlé des risques et des préjudices liés aux gangs. Il s'agit habituellement d'un enseignant, d'un éducateur ou d'un entraîneur (73 %), ou encore d'un parent ou tuteur (53 %).

Après l'école, le divertissement des jeunes tourne principalement autour de la télévision, des jeux vidéo, de YouTube et des médias sociaux (82 %). Six répondants de ce groupe sur dix font leurs devoirs (68 %) après l'école ou se réunissent avec des amis (60 %), tandis que près de la moitié (47 %) fait du sport. Le tiers (33 %) des jeunes travaille à temps partiel, tandis que deux jeunes sur dix font des activités parascolaires (21 %) ou d'un programme d'art (18 %).

Perceptions et expériences de parents et d'influenceurs

La majorité des parents (56 %) et une personne sur trois qui exerce de l'influence sur des jeunes (32 %) déclarent avoir parlé à un enfant des risques et des préjudices liés aux gangs. La moitié des répondants (52 %) affirme ne pas avoir entendu parler de ressources et de programmes offerts qui peuvent aider les jeunes à risque et prévenir leur adhésion à des gangs. Lorsqu'ils recherchent de l'information sur la façon d'aider un enfant qui pourrait être à risque de se joindre à un gang, la majorité des jeunes (58 %), des parents (55 %) ou des influenceurs (65 %) disent qu'ils se tourneraient vers un organisme à but non lucratif pour obtenir des ressources. Les autres sources d'information principales sont la police ou les autorités, les écoles et les éducateurs, ou encore les amis et la famille. Les sites Web de gouvernements sont une source potentielle selon 49 % des jeunes, 33 % des parents et 34 % des influenceurs.

Selon 85 % des répondants, les programmes destinés aux jeunes sont un moyen très ou assez efficace de garder les enfants à l'écart des gangs. Deux jeunes sur trois (67 %), ainsi que la moitié des influenceurs (50 %) et des parents (53 %) disent avoir participé à un programme pour jeunes lorsqu'ils étaient enfants. Bien que les parents et les influenceurs croient que ces programmes sont efficaces (83 % à 87 % respectivement), les jeunes sont moins susceptibles de croire que les programmes pour jeunes empêchent les jeunes de se joindre à des gangs (75 %) et 16 % des jeunes considèrent que cela n'est pas très efficace. Les principales raisons relevées par les parents qui n'ont pas participé à un programme pour les jeunes ou qui n'y ont pas inscrit un enfant sont que cela n'intéressait pas leur enfant ou qu'ils considèrent ces programmes comme inutiles. Plus d'un répondant sur trois (37 %) n'y a tout simplement jamais pensé.

D. Note aux lecteurs

Les résultats détaillés de l'étude sont présentés dans les sections ci-dessous. Les résultats globaux apparaissent dans la section principale du rapport et sont normalement appuyés par un graphique ou une présentation tabulaire. Les résultats sont également décrits et présentés dans des graphiques pour les trois principaux segments d'intérêt de l'étude : les jeunes âgés de 12 à 24 ans, les parents de jeunes et les autres personnes qui influencent ou soutiennent les jeunes (à l'exclusion des parents) désignés dans le rapport comme des « influenceurs ». Lorsque les résultats pour les parents et les autres « influenceurs » sont semblables, ils sont combinés.

Les résultats pour la proportion de répondants de l'échantillon qui répondent « je ne sais pas » ou qui ne fournissent pas une réponse peuvent ne pas être indiqués dans la représentation graphique dans tous les cas, particulièrement lorsqu'ils ne sont pas appréciables (p. ex., 10 % ou moins). Aussi, il est possible que le total des résultats ne soit pas égal à 100 % en raison des arrondissements. De même, certains totaux de pourcentages compilés pour deux réponses peuvent ne pas sembler corrects en raison de l'arrondissement.

Des textes à puces sont également utilisés pour mettre en évidence des différences statistiques importantes entre des sous-groupes de répondants (p. ex., selon la région, le niveau de scolarité ou le revenu du ménage). Les mises à l'essai pour d'autres groupes cibles clés (p. ex., personnes nées à l'extérieur du Canada, personnes ayant une déficience physique, mentale ou cognitive, personnes s'identifiant comme des membres d'une population racisée ou autochtone, ou comme un membre de la communauté 2SLGBTQI+) comparent leurs résultats à ceux de tous les autres répondants de l'échantillon, généralement décrits comme « autres ». Si aucune différence n'est soulignée dans le rapport, cela signifie que la différence n'est statistiquement pas considérable[1] par rapport aux résultats globaux, ou que cette différence est considérée comme beaucoup trop faible pour être digne de mention.

Le questionnaire de sondage programmé se trouve à l'annexe B.

E. Valeur du contrat

La valeur du contrat du projet de sondage d'opinion publique est de 96 352,28 dollars (TVH incluse).

Nom du fournisseur :
Les Associés de recherche Ekos
No de contrat avec TPSGC :
CW2345624
Date du contrat :
15 janvier 2024

Pour obtenir de plus amples renseignements sur cette étude, veuillez envoyer un courriel à ps.communications-communications.sp@canada.ca.

F. Certification de neutralité politique

À titre de cadre supérieur des Associés de recherche Ekos Inc., j'atteste par la présente que les documents remis sont entièrement conformes aux exigences de neutralité politique du gouvernement du Canada exposées dans la Politique sur les communications et l'image de marque et dans la Directive sur la gestion des communications. En particulier, les documents remis ne contiennent pas de renseignements sur les intentions de vote électoral, les préférences quant aux partis politiques, les positions des partis ou l'évaluation de la performance d'un parti politique ou de ses dirigeants.

Signé par Susan Galley (Vice-présidente)

Résultats détaillés

A. Risque perçu

Le niveau de préoccupation par rapport au fait que les gangs et la violence liée aux gangs constituent une menace pour la sécurité publique dans la collectivité locale est divisé uniformément, la moitié (51 %) des Canadiens affirmant être assez préoccupée (33 %) ou très (17 %) préoccupée. Cela se reflète dans les opinions des parents et d'autres personnes qui influencent ou soutiennent des jeunes (c.-à-d., les « influenceurs ») (52 %), mais c'est moins probable chez les jeunes, où seuls 35 % se disent préoccupés (dont 26 % « très préoccupés »).

Une proportion plus élevée de Canadiens s'inquiète de la menace à l'extérieur de leur collectivité locale (78 %, 34 % étant très préoccupés et 44 % assez préoccupés). Comme pour la préoccupation dans la collectivité locale, moins de jeunes se disent préoccupés par la menace à l'extérieur de leur collectivité locale (63 %, alors que 19 % sont très préoccupés).

Graphique 1 : Niveau de préoccupation – La violence liée aux gangs constitue une menace pour la sécurité publique

Graphique 1 : Niveau de préoccupation – La violence liée aux gangs constitue une menace pour la sécurité publique. La version textuelle suit.

Graphique 1 : Niveau de préoccupation – La violence liée aux gangs constitue une menace pour la sécurité publique - Version textuelle

La violence liée aux gangs constitue une menace pour la sécurité publique

Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de deux énoncés dans quatre catégories : pas du tout préoccupé, pas très préoccupé, assez préoccupé, et très préoccupé. Trois colonnes sur le côté montrent le pourcentage des résultats (« Assez/ très préoccupé ») pour trois groupes : tous, jeunes, et parents/influenceurs.

On a posé deux questions aux répondants : « Q9. À quel point êtes-vous préoccupé(e) par le fait que les gangs et la violence liée aux gangs constituent une menace pour la sécurité publique dans votre collectivité locale? » et « Q10. À quel point êtes-vous préoccupé(e) par le fait que les gangs et la violence liée aux gangs constituent une menace pour la sécurité publique à l'extérieur de votre collectivité locale? »

Les répondants ont sélectionné :

Dans votre collectivité locale :
  • Catégorie « Pas du tout préoccupé » : 17 %
  • Catégorie « Pas très préoccupé » : 33 %
  • Catégorie « Assez préoccupé » : 33 %
  • Catégorie « Très préoccupé » : 17 %
  • Catégorie « Assez/Très préoccupé » : Tous : 50 %; Jeunes : 35 %; Parents/ Influenceurs : 53 %
À l'extérieur de votre collectivité locale y :
  • Catégorie « Pas du tout préoccupé » : 4 %
  • Catégorie « Pas très préoccupé » : 17 %
  • Catégorie « Assez préoccupé » : 44 %
  • Catégorie « Très préoccupé » : 34 %
  • Catégorie « Assez/Très préoccupé » : Tous : 78 %; Jeunes : 63 %; Parents/ Influenceurs : 80 %

Base : Tous n=2069; Jeunes n=385; Parents/Influenceurs n=1000

Q9. À quel point êtes-vous préoccupé(e) par le fait que les gangs et la violence liée aux gangs constituent une menace pour la sécurité publique dans votre collectivité locale?

Q10. À quel point êtes-vous préoccupé(e) par le fait que les gangs et la violence liée aux gangs constituent une menace pour la sécurité publique à l'extérieur de votre collectivité locale?

Base : Tous n=2069; Jeunes n=385; Parents/Influenceurs n=1000

Jeunes
Adultes

La majorité des Canadiens dit entendre parler de gangs et de violence liée aux gangs rarement (35 %) ou jamais (25 %). Quatre personnes sur dix entendent parler de violence liée aux armes à feu parfois (26 %) ou souvent (15 %). Les jeunes sont moins susceptibles d'entendre parler parfois ou souvent des gangs et de la violence liée aux gangs dans leur collectivité (27 %), tandis que les influenceurs sont les plus susceptibles (46 %) d'en entendre parler.

Entendre parler des gangs et de la violence liée aux gangs à l'extérieur de sa collectivité locale est beaucoup plus fréquent, 80 % des répondants disant en entendre parler parfois ou souvent. La tendance est en deçà de la moyenne pour les jeunes (65 %) et pour les influenceurs (63 %).

Graphique 2 : Fréquence à laquelle les gens entendent parler des gangs et de la violence liée aux gangs

Graphique 2 : Fréquence à laquelle les gens entendent parler des gangs et de la violence liée aux gangs. La version textuelle suit.

Graphique 2 : Fréquence à laquelle les gens entendent parler des gangs et de la violence liée aux gangs - Version textuelle

Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de deux énoncés dans quatre catégories : jamais, rarement, parfois, et souvent. Quatre colonnes sur le côté montrent le pourcentage des résultats (« parfois/souvent ») pour quatre groupes : tous, jeunes, parents, et influenceurs.

On a posé deux questions aux répondants : « Q10. À quelle fréquence entendez-vous parler de gangs et de violence liée aux gangs dans votre collectivité locale? » et « Q11. À quelle fréquence entendez-vous parler de gangs et de violence liée aux gangs à l'extérieur de votre collectivité locale? »

Les répondants ont sélectionné :

Dans votre collectivité locale :
  • Catégorie « Jamais » : 25 %
  • Catégorie « Rarement » : 35 %
  • Catégorie « Parfois » : 26 %
  • Catégorie « Souvent » : 14 %
  • Catégorie « Parfois/souvent » : Tous : 40 %; Jeunes : 27 %; Parents : 35 %; Influenceurs : 46 %
À l'extérieur de votre collectivité locale :
  • Catégorie « Jamais » : 3 %
  • Catégorie « Rarement » : 17 %
  • Catégorie « Parfois » : 39 %
  • Catégorie « Souvent » : 41 %
  • Catégorie « Parfois/Souvent » : Tous : 80 %; Jeunes : 65 %; Parents : 83 %; Influenceurs : 63 %

Base : Tous n=2069; Jeunes n=385; Parents n=504; Influenceurs n=631

Q10. À quelle fréquence entendez-vous parler de gangs et de violence liée aux gangs dans votre collectivité locale?

Q11. À quelle fréquence entendez-vous parler de gangs et de violence liée aux gangs à l'extérieur de votre collectivité locale?

Base : Tous n=2069; Jeunes n=385; Parents n=504; Influenceurs n=631

Jeunes
Adultes

La plupart des Canadiens pensent que les principales raisons pour lesquelles les gens se joignent à un gang sont la pression exercée par les pairs (69 %) la recherche d'amis ou d'un cercle social (68 %), l'argent (64 %), le manque de scolarité (63 %) et le manque d'appartenance (63 %). Les principales raisons que mentionnent un peu plus de quatre personnes sur dix sont le fait de suivre des membres de la famille (45 %), la sécurité ou la protection (41 %) et la pression culturelle (41 %). Les traumatismes intergénérationnels (34 %) et les problèmes de santé mentale (30 %) sont mentionnés par environ le tiers ou moins des répondants, tandis que cette proportion est de 24 % pour ceux qui croient que la raison est la représentation des gangs dans les médias. Les résultats sont en grande partie les mêmes pour les jeunes ainsi que les parents ou influenceurs, bien que les jeunes soient moins susceptibles que la moyenne de mentionner la pression exercée par les pairs (63 %), la recherche d'amis (54 %) ou le manque d'appartenance (58 %), mais plus enclins que la moyenne à considérer un traumatisme intergénérationnel (41 %) ou une mauvaise santé mentale (38 %) comme une cause profonde.

Graphique 3 : Raisons perçues pour rejoindre un gang

Graphique 3 : Raisons perçues pour rejoindre un gang. La version textuelle suit.

Graphique 3 : Raisons perçues pour rejoindre un gang - Version textuelle

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de treize énoncés. Deux colonnes sur le côté montrent le pourcentage des résultats pour deux groupes : jeunes et parents/influenceurs.

On a demandé aux répondants : « Q13. Pourquoi pensez-vous que la plupart des gens se joignent à des gangs? [Choisissez toutes les réponses pertinentes] »

Les répondants ont sélectionné :

Base : Tous n=2069; Jeunes n=385; Parents/Influenceurs n=1000

Q13. Pourquoi pensez-vous que la plupart des gens se joignent à des gangs? [Choisissez toutes les réponses pertinentes]

Base : Tous n=2069; Jeunes n=385; Parents/Influenceurs n=1000

Jeunes
Adultes

Activités associées aux gangs

Les crimes liés à la drogue sont le type d'activité le plus souvent associé aux gangs selon 76 % des répondants. Cette proportion est suivie par les crimes commis avec des armes à feu (48 %). Moins d'un répondant sur quatre (23 %) associe les gangs au crime organisé ou à la violence en général (20 %), et une moindre proportion les associe aux vols qualifiés (13 %) ou à la traite de personnes (10 %). Les jeunes sont plus susceptibles que les parents et les influenceurs d'associer les gangs à la violence (26 %).

Graphique 4 : Activités les plus associées aux gangs

Graphique 4 : Activités les plus associées aux gangs. La version textuelle suit.

Graphique 4 : Activités les plus associées aux gangs - Version textuelle

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de dix énoncés. Deux colonnes sur le côté montrent le pourcentage des résultats pour deux groupes : jeunes et parents/influenceurs.

On a demandé aux répondants : « Q14. Quelles sont les deux activités que vous associez le plus aux gangs? [Choisissez-en deux] »

Les répondants ont sélectionné :

Base : Tous n=2069; Jeunes n=385; Parents/Influenceurs n=1000

Q14. Quelles sont les deux activités que vous associez le plus aux gangs? [Choisissez-en deux]

Base : Tous n=2069; Jeunes n=385; Parents/Influenceurs n=1000

Jeunes
Adultes

Trois Canadiens sur quatre (76 %) sont d'accord pour dire que le port d'une arme à feu est dangereux, bien que 22 % ne soient pas d'accord. Sept personnes sur dix croient que tous les gangs sont mauvais (71 %) et que le Canada a un problème de violence liée aux gangs (69 %). Les Canadiens sont plus divisés sur la question de savoir si le Canada a un problème de violence liée aux armes à feu. En effet, alors qu'un peu plus de la moitié (54 %) sont d'accord, 42 % sont en désaccord. Les parents sont moins susceptibles que les autres répondants de convenir que le port d'une arme à feu est dangereux (66 %), bien qu'ils aient un peu plus tendance à convenir que tous les gangs sont mauvais et que le Canada a un problème de violence liée aux gangs (73 %). Les jeunes sont un peu moins enclins à convenir que tous les gangs sont mauvais (68 %) et beaucoup moins susceptibles de croire que le Canada a un problème de violence liée aux gangs (47 %) ou aux armes à feu (35 %).

Un peu moins de six personnes sur dix (59 %) croient que les gens se joignent à des gangs parce qu'ils doivent le faire, bien que 29 % ne soient pas d'accord et 12 % ne savent pas. Les parents sont moins susceptibles d'être d'accord avec cet énoncé (51 %).

Plus de six répondants sur dix (64 %) sont d'accord pour dire que les médias traditionnels rendent attrayant le style de vie des gangs, et 55 % croient la même chose des médias sociaux, bien que trois sur dix ne soient pas d'accord dans chaque cas (31 % et 30 % respectivement). Bien que les parents soient moins susceptibles que les autres d'être d'accord sur le fait que les médias sociaux rendent attrayant le style de vie des gangs (52 %), les jeunes et les influenceurs sont plus enclins à être d'accord (59 % et 57 %, respectivement).

Graphique 5 : Perceptions des gangs

Graphique 5 : Perceptions des gangs. La version textuelle suit.

Graphique 5 : Perceptions des gangs - Version textuelle

Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de sept énoncés dans trois catégories : ne sais pas, en désaccord, et d'accord. Trois colonnes sur le côté montrent le pourcentage des résultats (« d'accord ») pour trois groupes : jeunes, parents, et influenceurs.

On a demandé aux répondants : « Q15. À quel point êtes-vous d'accord ou en désaccord avec les énoncés suivants concernant les gangs au Canada? »

Les répondants ont sélectionné :

Porter une arme à feu est dangereux :
  • Catégorie « Ne sais pas » : 2 %
  • Catégorie « En désaccord (1-2) » : 22 %
  • Catégorie « D'accord (3-4) » : 76 %; Jeunes : 73 %; parents : 66 %; Influenceurs : 77 %
Tous les gangs sont mauvais :
  • Catégorie « Ne sais pas » : 8 %
  • Catégorie « En désaccord (1-2) » : 21 %
  • Catégorie « D'accord (3-4) » : 71 %; Jeunes : 68 %; parents : 75 %; Influenceurs : 70 %
Le Canada a un problème de violence liée aux gangs :
  • Catégorie « Ne sais pas » : 7 %
  • Catégorie « En désaccord (1-2) » : 24 %
  • Catégorie « D'accord (3-4) » : 69 %; Jeunes : 47 %; parents : 73 %; Influenceurs : 69 %
Les médias (télévision, films, musique, etc.) rendent attrayant le style de vie des gangs :
  • Catégorie « Ne sais pas » : 5 %
  • Catégorie « En désaccord (1-2) » : 31 %
  • Catégorie « D'accord (3-4) » : 64 %; Jeunes : 63 %; parents : 62 %; Influenceurs : 66 %
Les gens se joignent à des gangs parce qu'ils sentent qu'ils doivent le faire :
  • Catégorie « Ne sais pas » : 12 %
  • Catégorie « En désaccord (1-2) » : 29 %
  • Catégorie « D'accord (3-4) » : 59 %; Jeunes : 62 %; parents : 51 %; Influenceurs : 64 %
Les médias sociaux rendent attrayant le style de vie des gangs :
  • Catégorie « Ne sais pas » : 15 %
  • Catégorie « En désaccord (1-2) » : 30 %
  • Catégorie « D'accord (3-4) » : 55 %; Jeunes : 59 %; parents : 51 %; Influenceurs : 57 %
Le Canada a un problème de violence liée aux armes à feu :
  • Catégorie « Ne sais pas » : 4 %
  • Catégorie « En désaccord (1-2) » : 42 %
  • Catégorie « D'accord (3-4) » : 54 %; Jeunes : 35 %; parents : 52 %; Influenceurs : 51 %

Base : Tous n=2069; Jeunes n=385; Parents n=504; Influenceurs n=631

Q15. À quel point êtes-vous d'accord ou en désaccord avec les énoncés suivants concernant les gangs au Canada?

Base : Tous n=2069; Jeunes n=385; Parents n=504; Influenceurs n=631

Jeunes
Adultes

Un Canadien sur cinq (20 %) dit avoir été touché par la violence liée aux gangs, tendance qui est semblable, quoiqu'un peu plus élevée, à celle observée chez les parents et les influenceurs (24 %), que chez les jeunes (19 %).

Graphique 6 : Incidence d'être touché par la violence liée aux gangs

Graphique 6 : Incidence d'être touché par la violence liée aux gangs. La version textuelle suit.

Graphique 6 : Incidence d'être touché par la violence liée aux gangs - Version textuelle

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de quatre énoncés : oui, non, ne sais pas, et préfère ne pas répondre. Deux colonnes sur le côté montrent le pourcentage des résultats pour deux groupes : jeunes et parents/ influenceurs.

On a demandé aux répondants : « Q16. Est-ce que vous ou une personne proche de vous avez été touché(e) par la violence liée aux gangs (activité criminelle, drogues, violence liée aux armes à feu, etc.)? »

Les répondants ont sélectionné :

Base : Tous n=2069; Jeunes n=385; Parents/Influenceurs n=1000

Q16 Est-ce que vous ou une personne proche de vous avez été touché(e) par la violence liée aux gangs (activité criminelle, drogues, violence liée aux armes à feu, etc.)?

Base : Tous n=2069; Jeunes n=385; Parents/Influenceurs n=1000

Jeunes
Adultes

Incidence de l'environnement

Alors que 61 % des Canadiens sont d'accord (22 % sont tout à fait d'accord et 38 % sont plutôt d'accord) pour dire qu'il y a dans leur quartier des endroits où passer du temps et socialiser qui sont gratuits et faciles d'accès, 31 % ne le sont pas. Près de la moitié (48 %) sont d'accord pour dire que leur famille est très préoccupée par l'argent (18 % sont tout à fait d'accord). Très peu de gens sont d'accord (8 %) pour dire que les médias sociaux donnent un aperçu précis sur la vie des autres. En fait, 66 % sont tout à fait en désaccord. Les préoccupations concernant l'argent sont plus souvent mentionnées par les parents et les influenceurs (51 %) que par les jeunes (45 %). Les jeunes sont un peu plus susceptibles de croire que les médias sociaux donnent un aperçu honnête sur la vie des autres.

Graphique 7 : Influences générales

Graphique 7 : Influences générales. La version textuelle suit.

Graphique 7 : Influences générales - Version textuelle

Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de trois énoncés dans quatre catégories : fortement en désaccord, plutôt en désaccord, plutôt d'accord, et tout à fait d'accord. Trois colonnes sur le côté montrent le pourcentage des résultats (« d'accord/ tout à fait d'accord ») pour trois groupes : tous, jeunes, et parents/influenceurs.

On a demandé aux répondants : « Q36a-c. À quel point êtes-vous d'accord ou en désaccord avec les énoncés suivants? »

Les répondants ont sélectionné :

Il y a des endroits dans mon quartier pour passer du temps ou pour socialiser qui sont gratuits et faciles d'accès :
  • Catégorie « Fortement en désaccord » : 11 %
  • Catégorie « Plutôt en désaccord » : 20 %
  • Catégorie « Plutôt d'accord » : 38 %
  • Catégorie « Tout à fait d'accord » : 22 %
  • Catégorie « D'accord/Tout à fait d'accord » : Tous : 61 %; Jeunes : 63 %; parents/Influenceurs : 62 %
Ma famille est très préoccupée par l'argent :
  • Catégorie « Fortement en désaccord » : 19 %
  • Catégorie « Plutôt en désaccord » : 31 %
  • Catégorie « Plutôt d'accord » : 30 %
  • Catégorie « Tout à fait d'accord » : 18 %
  • Catégorie « D'accord/Tout à fait d'accord » : Tous : 48 %; Jeunes : 45 %; parents/Influenceurs : 51 %
Les médias sociaux vous donnent un aperçu précis et honnête sur la vie des autres :
  • Catégorie « Fortement en désaccord » : 66 %
  • Catégorie « Plutôt en désaccord » : 22 %
  • Catégorie « Plutôt d'accord » : 6 %
  • Catégorie « Tout à fait d'accord » : 1 %
  • Catégorie « D'accord/Tout à fait d'accord » : Tous : 8 %; Jeunes : 11 %; parents/Influenceurs : 7 %

Base : Tous n=2069; Jeunes n=385; Parents/Influenceurs n=1000

Q36a-c. À quel point êtes-vous d'accord ou en désaccord avec les énoncés suivants?

Base : Tous n=2069; Jeunes n=385; Parents/Influenceurs n=1000

Jeunes
Adultes

B. Perception des mesures de lutte contre les crimes et la violence liés aux gangs

La majorité des Canadiens ne voit pas le rendement du gouvernement du Canada de façon positive lorsqu'il s'agit d'adopter des mesures pour lutter contre la violence liée aux gangs. Bien que 19 % estiment ne pas en savoir assez pour avoir une opinion, 43 % sont d'avis que ce rendement est médiocre. Vingt-sept pour cent croient que le rendement est correct. Seuls 10 % pensent qu'il est bon, et presque personne ne le considère comme excellent (1 %). Parmi les jeunes, les parents et les influenceurs, les parents sont les moins positifs (50 % mentionnent qu'il est mauvais). Les jeunes ont plus tendance à dire qu'ils ne savent pas (25 %).

Graphique 8 : Rendement perçu du GC dans la lutte contre la violence liée aux gangs

Graphique 8 : Rendement perçu du GC dans la lutte contre la violence liée aux gangs. La version textuelle suit.

Graphique 8 : Rendement perçu du GC dans la lutte contre la violence liée aux gangs - Version textuelle

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de cinq énoncés : mauvais, correct, bon, excellent, et ne sais pas. Trois colonnes sur le côté montrent le pourcentage des résultats pour trois groupes : jeunes, parents, et influenceurs.

On a demandé aux répondants : « Q17. Comment évalueriez-vous le rendement du gouvernement du Canada lorsqu'il s'agit d'adopter des mesures (p. ex., politiques, programmes) visant à lutter contre la violence liée aux gangs? »

Les répondants ont sélectionné :

Base : Tous n=1985; Jeunes n=301; Parents n=504; Influenceurs n=631

Q17. Comment évalueriez-vous le rendement du gouvernement du Canada lorsqu'il s'agit d'adopter des mesures (p. ex., politiques, programmes) visant à lutter contre la violence liée aux gangs?

Base : Tous n=1985; Jeunes n=301; Parents n=504; Influenceurs n=631

Jeunes
Adultes

L'appui aux mesures visant à lutter contre la criminalité et contre la violence liées aux armes à feu et aux gangs au Canada est élevé, en particulier pour les investissements dans d'autres ordres de gouvernement visant à financer des programmes de prévention du crime et d'application de la loi (85 %, y compris 48 % qui sont « tout à fait favorables »), pour l'adoption d'une loi « drapeau jaune » qui permettrait aux contrôleurs des armes à feu de suspendre temporairement des permis d'armes à feu (82 %, dont 56 % qui sont « tout à fait favorables »), pour les investissements visant à soutenir des initiatives d'application de la loi aux frontières (81 %, dont 49 % qui sont « tout à fait favorables ») ou à soutenir la réinsertion et à réduire la récidive (79 %, dont 46 % qui sont « tout à fait favorables »). Plus de sept répondants sur dix sont également favorables à l'adoption d'une loi « drapeau rouge » permettant à quiconque de faire une demande au tribunal pour retirer immédiatement des armes à feu à une personne (73 %, dont 50 % qui sont « tout à fait favorables »), à l'imposition de restrictions sur la vente, l'achat et le transfert d'armes de poing (72 %, dont 56 % qui sont « tout à fait favorables ») de même que, de façon plus générale, à des modifications aux lois et réglementations (72 %, dont 39 % qui sont « tout à fait favorables »).

Les parents sont moins susceptibles d'appuyer la plupart de ces mesures que les influenceurs et les jeunes, à l'exception des investissements visant à soutenir des initiatives d'application de la loi aux frontières, où ils sont plus souvent favorables (86 %), et des investissements pour d'autres ordres de gouvernement visant à financer des programmes de prévention du crime et d'application de la loi.

Tableau 1 : Appui aux mesures de lutte contre la violence liée aux gangs et aux armes à feu
Q18a-g. À quel point êtes-vous favorable ou défavorable à chacune de ces mesures visant à lutter contre les crimes et la violence liés aux gangs? Défavorable (plutôt/tout à fait) Favorable (plutôt/tout à fait) Favorable (plutôt/tout à fait) -Jeunes (n=385) Favorable (plutôt/tout à fait) - Parents (n=504) Influenceurs (n=630)
Investissements dans les provinces, les territoires, les municipalités et les collectivités autochtones pour financer des programmes de prévention du crime et d'application de la loi 11 % 85 % 83 % 84 % 86 %
Adopter une loi « drapeau jaune » qui permettrait à un contrôleur des armes à feu de suspendre temporairement le permis d'armes à feu de toute personne qui constitue un danger pour elle-même ou pour autrui 13 % 82 % 86 % 75 % 85 %
Investissements visant à soutenir des initiatives d'application de la loi aux frontières 12 % 81 % 69 % 86 % 80 %
Investissements visant à soutenir la réinsertion et à réduire la récidive 14 % 79 % 81 % 77 % 82 %
Adopter une loi « drapeau rouge » qui permettrait à n'importe qui d'envoyer une demande aux tribunaux pour confisquer immédiatement les armes à feu à toute personne qui constitue un danger pour elle-même ou pour autrui 22 % 73 % 64 % 73 % 77 %
Imposer des restrictions sur la vente, sur l'achat et sur le transfert d'armes de poing 25 % 72 % 73 % 66 % 72 %
Modifications aux lois et aux réglementations 10 % 72 % 72 % 67 % 71 %
Jeunes
Adultes

C. Perceptions des jeunes

Environ un jeune sur trois dit toujours se sentir en sécurité dans sa collectivité (31 %) ou à l'école (36 %). Plus de la moitié dit se sentir en sécurité dans sa collectivité (55 %) et quatre sur dix se sentent en sécurité à leur école (39 %). Très peu de jeunes disent se sentir rarement en sécurité dans leur collectivité (3 %) ou à leur école (1 %).

Graphique 9 : Perception de la sécurité chez les jeunes

Graphique 9 : Perception de la sécurité chez les jeunes. La version textuelle suit.

Graphique 9 : Perception de la sécurité chez les jeunes - Version textuelle

Ce graphique, composé de doubles barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de cinq énoncés : toujours, la plupart du temps, parfois, rarement, et jamais dans deux groupes : « collectivité » et « école ».

On a posé deux questions aux répondants : « Q19. Vous sentez-vous en sécurité dans votre collectivité (émotionnellement ou physiquement)? » et « Q20. Vous sentez-vous en sécurité à votre école (émotionnellement ou physiquement)? »

Les répondants ont sélectionné :

Toujours :
  • Collectivité : 31 %
  • École : 43 %
La plupart du temps :
  • Collectivité : 55 %
  • École : 45 %
Parfois :
  • Collectivité : 11 %
  • École : 9 %
Rarement :
  • Collectivité : 3 %
  • École : 2 %
Jamais :
  • Collectivité : 0 %
  • École : 1 %

Base : Q19 : Jeunes n=385

Base : Q20 : Jeunes n=328 (qui fréquentent l'école, exclut 15 % qui ne fréquentent pas l'école)

Q19. Vous sentez-vous en sécurité dans votre collectivité (émotionnellement ou physiquement)?

Base : Jeunes n=385

Q20. Vous sentez-vous en sécurité à votre école (émotionnellement ou physiquement)?

Base : Jeunes (n=328) (qui fréquentent l'école, exclut 15 % qui ne fréquentent pas l'école)

Graphique 10 : Sources vers lesquelles se tourner dans des situations d'insécurité

Graphique 10 : Sources vers lesquelles se tourner dans des situations d'insécurité. La version textuelle suit.

Graphique 10 : Sources vers lesquelles se tourner dans des situations d'insécurité - Version textuelle

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de huit énoncés .

On a demandé aux répondants : « Q22. À qui parleriez-vous si vous vous sentiez en danger dans votre collectivité? [Téléphone version] Est-ce que vous parleriez à….? »

Les répondants ont sélectionné :

Base : Jeunes n=385

Q22. À qui parleriez-vous si vous vous sentiez en danger dans votre collectivité? [Version téléphonique] Est-ce que vous parleriez à….?

Base : Jeunes n=385

Trois jeunes sur dix (30 %) disent avoir ressenti la pression de leurs amis ou de leurs pairs pour prendre de la drogue. Environ deux personnes sur dix disent avoir ressenti de la pression pour participer à une activité sexuelle (20 %), pour voler (19 %) ou faire de l'intimidation ou de la cyberintimidation (18 %). Moins d'un répondant sur dix mentionne une pression pour commettre un acte de violence physique (8 %), pour vendre de la drogue (6 %), pour distribuer des images intimes sans consentement (6 %), pour porter une arme (5 %) ou pour se joindre à un gang (2 %).

Graphique 11 : Pressions subies par les jeunes

Graphique 11 : Pressions subies par les jeunes. La version textuelle suit.

Graphique 11 : Pressions subies par les jeunes - Version textuelle

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats (« OUI ») pour les réponses de neuf énoncés.

On a demandé aux répondants : « Q23a-i. Avez-vous déjà ressenti de la pression de la part de vos ami(e)s ou de vos pairs pour faire l'une des activités suivantes? »

Les répondants ont sélectionné :

Base : Jeunes n=385

Q23a-i. Avez-vous déjà ressenti de la pression de la part de vos ami(e)s ou de vos pairs pour faire l'une des activités suivantes?

Base : Jeunes n=385

Un peu plus de la moitié des jeunes (53 %) ont été dans une situation où quelqu'un leur a parlé des risques et des préjudices liés aux gangs, ce qui n'est pas le cas de plus d'un jeune sur trois (37 %). Dix pour cent sont incertains. Le plus souvent, la personne qui a parlé au jeune était un enseignant, un éducateur ou un entraîneur (73 %), ou un parent ou un tuteur (53 %).

Graphique 12 : Fréquence à laquelle les jeunes discutent des risques et des préjudices liés aux gangs avec des adultes

Graphique 12 : Fréquence à laquelle les jeunes discutent des risques et des préjudices liés aux gangs avec des adultes. La version textuelle suit.

Graphique 12 : Fréquence à laquelle les jeunes discutent des risques et des préjudices liés aux gangs avec des adultes - Version textuelle

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de trois énoncés.

On a demandé aux répondants : « Q24. Quelqu'un vous a-t-il déjà parlé des risques et des préjudices liés aux gangs? »

Les répondants ont sélectionné :

Base : Jeunes n=385

Q24. Quelqu'un vous a-t-il déjà parlé des risques et des préjudices liés aux gangs?

Base : Jeunes n=385

Les jeunes rapportent un éventail d'activités auxquelles ils s'adonnent normalement après l'école. Pour la vaste majorité, le divertissement tourne principalement autour de la télévision, des jeux vidéo, de YouTube et des médias sociaux (82 %). Six répondants de ce groupe sur dix font leurs devoirs (68 %) après l'école ou passent du temps entre amis (60 %). Près de la moitié (47 %) fait du sport. Le tiers (33 %) des jeunes travaillent à temps partiel, tandis que deux jeunes sur dix participent à un programme parascolaire (21 %) ou à un programme d'art (18 %).

Graphique 13 : Activités typiques après l'école

Graphique 13 : Activités typiques après l'école. La version textuelle suit.

Graphique 13 : Activités typiques après l'école - Version textuelle

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de neuf énoncés.

On a demandé aux répondants : « Q26. Quelles sont les activités que vous faites le plus souvent après l'école? [Choisissez toutes les réponses pertinentes] »

Les répondants ont sélectionné :

Base : Jeunes n=328

Q26. Quelles sont les activités que vous faites le plus souvent après l'école? [Choisissez toutes les réponses pertinentes]

Base : Jeunes n=328

D. Perceptions et expériences de parents et d'influenceurs

Plus de la moitié des parents (56 %) dit avoir parlé à un enfant des risques et des préjudices liés aux gangs. Un influenceur sur trois (32 %) dit avoir parlé à un enfant des gangs, tandis que 20 % des jeunes qui influencent ou soutiennent d'autres jeunes disent la même chose.

Graphique 14 : Parler aux jeunes des gangs

Graphique 14 : Parler aux jeunes des gangs. La version textuelle suit.

Graphique 14 : Parler aux jeunes des gangs - Version textuelle

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de trois énoncés : oui, non, et ne sais pas/ne me rappelle pas. Trois colonnes sur le côté montrent le pourcentage des résultats pour trois groupes : jeunes, parents, et influenceurs.

On a demandé aux répondants : « Q27. Avez-vous déjà parlé à un(e) enfant des risques et des préjudices liés aux gangs? »

Les répondants ont sélectionné :

Base : Tous n=1417; Jeunes n=180; Parents n=504; Influenceurs n=631

Q27. Avez-vous déjà parlé à un(e) enfant des risques et des préjudices liés aux gangs?

Base : Tous n=1417; Jeunes n=180; Parents n=504; Influenceurs n=631

La plupart des jeunes (58 %), des parents (55 %) et des influenceurs (65 %) se tourneraient vers un organisme à but non lucratif pour obtenir des ressources sur la façon de soutenir un enfant qui pourrait être à risque de se joindre à un gang. Les autres sources d'information les plus importantes sont la police ou les autorités (46 % des jeunes, 56 % des parents et 50 % des influenceurs), les écoles et les éducateurs (57 % des jeunes, 45 % des parents et 53 % des influenceurs) ou les amis et la famille (61 % des jeunes, 45 % des parents et 51 % des influenceurs). Les sites Web de gouvernements sont une source potentielle selon 49 % des jeunes, 33 % des parents et 34 % des influenceurs. Une moindre proportion chercherait le soutien d'un chef religieux ou culturel, ou se tournerait vers les forums en ligne et les médias sociaux. En particulier, les jeunes ont plus tendance que les parents ou les influenceurs à dire qu'ils s'adresseraient à leurs amis et à leur famille, qu'ils consulteraient des sites Web de gouvernements ou qu'ils se tourneraient vers l'école et des éducateurs, des forums en ligne et des médias sociaux.

Graphique 15 : Principales sources d'information pour soutenir les discussions

Graphique 15 : Principales sources d'information pour soutenir les discussions. La version textuelle suit.

Graphique 15 : Principales sources d'information pour soutenir les discussions - Version textuelle

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de dix énoncés. Trois colonnes sur le côté montrent le pourcentage des résultats pour trois groupes : jeunes, parents, et influenceurs.

On a demandé aux répondants : « Q28. Où iriez-vous pour obtenir des ressources sur la façon de soutenir un(e) enfant qui risque de se joindre à un gang? [Choisissez toutes les réponses pertinentes]. »

Les répondants ont sélectionné :

Base : Tous n=1417; Jeunes n=180; Parents n=504; Influences n=631

Q28. Où iriez-vous pour obtenir des ressources sur la façon de soutenir un(e) enfant qui risque de se joindre à un gang? [Choisissez toutes les réponses pertinentes].

Base : Tous n=1417; Jeunes n=180; Parents n=504; Influenceurs

n=631

Adultes

Environ la moitié des répondants (52 %) affirme ne pas avoir entendu parler de ressources et de programmes offerts qui peuvent aider les jeunes à risque et prévenir leur adhésion à des gangs. Deux personnes sur cinq (39 %) ont entendu parler un peu des ressources disponibles, et 3 % disent en avoir entendu parler beaucoup. Les résultats ne varient pas beaucoup entre les jeunes, les parents et les influenceurs.

Graphique 16 : Connaissance des ressources disponibles

Graphique 16 : Connaissance des ressources disponibles. La version textuelle suit.

Graphique 16 : Connaissance des ressources disponibles - Version textuelle

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de quatre énoncés. Trois colonnes sur le côté montrent le pourcentage des résultats pour trois groupes : jeunes, parents, et influenceurs.

On a demandé aux répondants : « Q29. À quel point avez-vous entendu parler de ressources et programmes offerts qui peuvent aider les jeunes à risque et prévenir leur adhésion à un gang? »

Les répondants ont sélectionné :

Base : Tous n=1417; Jeunes n=180; Parents n=504; Influenceurs n=631

Q29. À quel point avez-vous entendu parler de ressources et programmes offerts qui peuvent aider les jeunes à risque et prévenir leur adhésion à un gang?

Base : Tous n=1417; Jeunes n=180; Parents n=504; Influenceurs n=631

Adultes

Dans l'ensemble, la plupart des adultes estiment que les programmes destinés aux jeunes sont très (37 %) ou assez (48 %) efficaces pour garder les enfants à l'écart des gangs. Les jeunes sont moins susceptibles de percevoir les programmes destinés aux jeunes comme étant efficaces (75 %) que les parents (83 %) et les influenceurs (87 %).

Graphique 17 : Efficacité perçue des programmes destinés aux jeunes pour garder les jeunes à l'écart des gangs

Graphique 17 : Efficacité perçue des programmes destinés aux jeunes pour garder les jeunes à l'écart des gangs. La version textuelle suit.

Graphique 17 : Efficacité perçue des programmes destinés aux jeunes pour garder les jeunes à l'écart des gangs - Version textuelle

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de cinq énoncés. Trois colonnes sur le côté montrent le pourcentage des résultats pour trois groupes : jeunes, parents, et influenceurs.

On a demandé aux répondants : « Q30. À votre avis, à quel point les programmes destinés aux jeunes (comme les sports et les activités, les programmes parascolaires, le mentorat, la sensibilisation communautaire, etc.) sont-ils efficaces pour garder les enfants loin des gangs? »

Les répondants ont sélectionné :

Base : Tous n=1417; Jeunes n=180; Parents n=504; Influenceurs n=631

Q30. À votre avis, à quel point les programmes destinés aux jeunes (comme les sports et les activités, les programmes parascolaires, le mentorat, la sensibilisation communautaire, etc.) sont-ils efficaces pour garder les enfants loin des gangs?

Base : Tous n=1417; Jeunes n=180; Parents n=504; Influenceurs n=631

La moitié ou plus des répondants a participé à un programme pour jeunes quand elle était enfant. Cette proportion est plus élevée chez les jeunes (67 %) que chez les parents (53 %) ou chez les influenceurs (50 %). En général, quatre personnes sur dix (41 %) disent avoir inscrit un enfant à un programme jeunes. Cette proportion est beaucoup plus élevée chez les parents (70 %) que chez les influenceurs (28 %) ou que chez les jeunes (4 %).

Plus d'un répondant sur trois (37 %) a participé à un programme pour jeunes à titre d'adulte et un répondant sur quatre (25 %) n'a jamais participé ou inscrit un enfant à un programme pour jeunes.

Graphique 18 : Participation à des programmes destinés aux jeunes

Graphique 18 : Participation à des programmes destinés aux jeunes. La version textuelle suit.

Graphique 18 : Participation à des programmes destinés aux jeunes - Version textuelle

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de quatre énoncés. Trois colonnes sur le côté montrent le pourcentage des résultats pour trois groupes : jeunes, parents, et influenceurs.

On a demandé aux répondants : « Q31. Avez-vous déjà participé à un programme pour les jeunes (sports et activités, programmes parascolaires, mentorats, sensibilisation communautaire, etc.) ou inscrit un(e) enfant à un tel programme? [Choisissez toutes les réponses pertinentes] »

Les répondants ont sélectionné :

Base : Tous n=1417; Jeunes n=180; Parents n=504; Influenceurs n=631

Q31. Avez-vous déjà participé à un programme pour les jeunes (sports et activités, programmes parascolaires, mentorats, sensibilisation communautaire, etc.) ou inscrit un(e) enfant à un tel programme? [Choisissez toutes les réponses pertinentes]

Base : Tous n=1417; Jeunes n=180; Parents n=504; Influenceurs n=631

En ce qui concerne les activités des jeunes, les répondants ont surtout participé à des sports d'équipe ou y ont inscrit un enfant (78 %). Cette proportion est plus élevée chez les parents (84 %) que chez les influenceurs (73 %). La moitié ou plus de ces répondants ont participé ou inscrit un enfant à des activités liées aux arts ou à la culture (57 %) ou à des sports individuels (50 %). Cette proportion est également plus élevée parmi les parents (65 % et 56 %, respectivement). Dans l'ensemble, 42 % disent avoir participé ou inscrit un enfant à du mentorat ou à des activités éducatives, bien que cette proportion soit plus élevée chez les influenceurs à 47 %.

Graphique 19 : Types de programmes auxquels s'inscrivent les jeunes

Graphique 19 : Types de programmes auxquels s'inscrivent les jeunes. La version textuelle suit.

Graphique 19 : Types de programmes auxquels s'inscrivent les jeunes - Version textuelle

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de six énoncés. Trois colonnes sur le côté montrent le pourcentage des résultats pour trois groupes : jeunes, parents, et influenceurs.

On a demandé aux répondants : « Q32. À quels programmes pour les jeunes avez-vous participé ou inscrit un(e) enfant? [Choisissez toutes les réponses pertinentes] »

Les répondants ont sélectionné :

Base : Tous n=1030; Jeunes n=126; Parents n=404; Influenceurs n=434

Q32. À quels programmes pour les jeunes avez-vous participé ou inscrit un(e) enfant? [Choisissez toutes les réponses pertinentes]

Base : Tous n=1030; Jeunes n=126; Parents n=404; Influenceurs n=434

Parmi les parents de jeunes, 41 % n'ont pas participé à un programme destiné aux jeunes ou d'y avoir inscrit un enfant parce que cela n'intéressait pas leur enfant ou parce qu'ils considéraient cela comme inutile. Une moindre proportion (37 %) déclare n'y avoir jamais pensé. Moins d'une personne sur cinq souligne l'engagement en matière de temps (18 %) ou l'absence de programmes ou d'ouvertures dans sa collectivité (17 %), ou dit ne pas savoir où trouver de l'information ou comment s'inscrire (14 %).

Graphique 20 : Raisons du manque d'inscription aux programmes pour jeunes

Graphique 20 : Raisons du manque d'inscription aux programmes pour jeunes. La version textuelle suit.

Graphique 20 : Raisons du manque d'inscription aux programmes pour jeunes - Version textuelle

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de onze énoncés.

On a demandé aux répondants : « Q33. Qu'est-ce qui vous a empêché de participer à un programme pour les jeunes ou d'y inscrire un(e) enfant? [Choisissez toutes les réponses pertinentes] »

Les répondants ont sélectionné :

Base : n= 96 parents de jeunes

Q33. Qu'est-ce qui vous a empêché de participer à un programme pour les jeunes ou d'y inscrire un(e) enfant? [Choisissez toutes les réponses pertinentes]

Base : Parents de jeunes n=96

Annexes

A. Détails méthodologiques

L'échantillon du sondage était issu de notre panel Probit, dont les membres sont recrutés de façon aléatoire. Les panélistes de Probit ont été sélectionnés pour former une base hybride de répondants utilisant des téléphones cellulaires et des lignes terrestres à l'aide d'un système à composition aléatoire. Le prétest a mené à 30 entretiens en anglais et à 18 entrevues en français. Parmi les 48 cas inclus, 28 ont été remplis en ligne et 20 au téléphone. Des questions supplémentaires ont été intégrées à la version du prétest du questionnaire pour recueillir les impressions des répondants sur la durée, le rythme, la clarté des libellés et d'autres aspects du questionnaire. Aucun changement n'a été apporté à la suite des essais.

Le sondage, qui s'est déroulé entre le 28 février et le 14 mars 2024, faisait appel à un questionnaire bilingue hébergé sur un serveur Web sécurisé sous le contrôle des Associés de recherche Ekos. Le courriel d'invitation comprenait une description et une explication de l'objectif du sondage (dans les deux langues), ainsi qu'un lien vers le site du sondage. La base de données du sondage a été mise au point en ayant recours à des numéros d'identification personnels (NIP) de façon à ce que seules les personnes détenant un NIP aient accès au sondage (le NIP était inclus dans le courriel d'invitation). Le questionnaire comprenait une préface qui présentait brièvement l'étude et la raison d'être de la recherche. Le message insistait également sur la nature volontaire et confidentielle d'une participation au sondage. La collecte des données s'est faite dans le respect de toutes les normes de l'industrie en vigueur. Tous les membres invités du panel étaient informés de leur droit sous le régime des lois de protection de la vie privée ainsi que de la façon d'obtenir une copie de leurs réponses et des résultats du sondage.

Taux de réponse

Le taux de réponse global pour le sondage sur la violence liée aux armes à feu et aux gangs est de 26 %. Les détails des résultats des prises de contact sont fournis ci-dessous.

Tableau 2 : Taux de réponse
Résultat Total
Total 8 700
Invalides 579
Échantillon valide 8 121
Non-réponse 5 718
Refus 186
Partiellement rempli 112
Inadmissible/Quota rempli 36
Nombre total de non-réponses 6 052
Enquête terminée 2 069
Taux de réponse 25,5 %

Les participants étaient informés dans l'invitation que toutes leurs réponses étaient totalement confidentielles et qu'aucune réponse ne serait liée à des noms précis.

À la suite de la collecte des renseignements, la base de données a fait l'objet d'un examen en lien avec la qualité, les valeurs aberrantes, les exigences en matière de codage, la pondération et la construction de variables indépendantes, ce qui a permis d'examiner les tendances des sous-groupes (p. ex. par âge, sexe, etc.) dans l'analyse. La pondération de l'échantillon se fonde sur les paramètres de la population selon le plus récent recensement en ce qui concerne l'âge, le genre et la région du pays pour chaque groupe du grand public.

Le tableau suivant présente le profil de l'échantillon utilisé dans le sondage.

Tableau 3 : Caractéristiques de l'échantillon
Variable Total Jeunes Parents Influenceurs
Région (non pondéré) n=2069 n=385 n=504 n=631
Colombie-Britannique 14 % 10 % 10 % 12 %
Alberta 18 % 12 % 16 % 11 %
Manitoba et Saskatchewan 10 % 10 % 10 % 8 %
Ontario 38 % 42 % 31 % 36 %
Québec 23 % 20 % 23 % 21 %
Maritimes 6 % 5 % 8 % 6 %
Yukon -- -- -- --
Nunavut -- -- -- --
Zone
Zone urbaine 40 % 40 % 34 % 41 %
Banlieue 32 % 39 % 36 % 29 %
Petite ville, zone rurale ou éloignée 27 % 18 % 29 % 29 %
Communautés autochtones/autre 0 % 0 % 1 % 0 %
Âge (non pondéré)
De 12 à 16 ans 5 % 27 % -- 0 %
17-20 ans 5 % 25 % 1 % 4 %
21-24 ans 9 % 47 % 1 % 16 %
25-34 ans 16 % - 1 % 19 %
35-44 ans 15 % -- 20 % 13 %
45-54 ans 14 % -- 63 % 8 %
55-64 ans 16 % -- 14 % 14 %
65 ans ou plus 21 % -- 2 % 26 %
Genre (non pondéré)
Genre masculin 48 % 58 % 54 % 49 %
Genre féminin 50 % 37 % 46 % 48 %
Diverses identités de genre 2 % 3 % 0 % 3 %
Je préfère ne pas répondre 1 % 1 % 0 % 1 %
Êtes-vous né(e) au Canada ou dans un autre pays?
Canada 87 % 84 % 87 % 87 %
Autre pays -- 5 % 2 % 2 %
Je préfère ne pas répondre -- 1 % 1 % 1 %
Scolarité
Encore à l'école/Moins que le diplôme d'études secondaires 41 % 1 % 3 %
Diplôme d'études secondaires ou l'équivalent, ou moins 31 % 25 % 15 % 22 %
Certificat ou diplôme professionnel (formation d'apprenti, institut technique, école de métiers, école de formation professionnelle) 8 % 3 % 8 % 7 %
Certificat ou diplôme collégial, CEGEP, ou non universitaire 21 % 11 % 23 % 22 %
Diplôme universitaire (premier cycle) 22 % 16 % 27 % 26 %
Diplôme universitaire (études supérieures ou professionnelles) 16 % 3 % 24 % 18 %
Je préfère ne pas répondre 1 % 0 % 1 % 1 %
Revenu
Moins de 20 000 $ 5 % 6 % 2 % 6 %
20 000 $ à un peu moins de 40 000 $ 10 % 10 % 4 % 12 %
40 000 $ à un peu moins de 60 000 $ 10 % 8 % 5 % 10 %
60 000 $ à un peu moins de 80 000 $ 12 % 10 % 8 % 15 %
80 000 $ à un peu moins de 100 000 $ 11 % 10 % 11 % 13 %
100 000 $ à un peu moins de 150 000 $ 18 % 12 % 25 % 16 %
150 000 $ et plus 20 % 19 % 34 % 18 %
Je préfère ne pas répondre/Je ne sais pas 11 % 25 % 11 % 11 %
Minorités
Communauté 2SLGBTQI+ 11 % 21 % 5 % 14 %
Minorité racisée 10 % 21 % 9 % 12 %
Personnes handicapées 9 % 4 % 7 % 8 %
Personnes ayant un trouble d'apprentissage 5 % 12 % 2 % 5 %
Personnes atteintes d'une maladie mentale qui limite les activités quotidiennes 5 % 9 % 3 % 6 %
Autochtones 4 % 3 % 5 % 3 %
Aucune de ces réponses 65 % 51 % 72 % 61 %
Je préfère ne pas répondre 4 % 3 % 4 % 4 %

B. Questionnaire

Introduction – En ligne

Merci d'accepter de répondre au présent sondage. Nous réalisons un sondage auprès des Canadiens de 12 ans et plus. Le sondage permettra de réunir des opinions au sujet de les gangs et la violence armée au Canada. L'ensemble de vos réponses seront traitées en toute confidentialité. Quelques rappels avant que nous débutions. If you prefer to answer the survey in English, please click on English.

Soyez sans crainte, vos réponses seront traitées en toute confidentialité (c'est-à-dire que les résultats du sondage ne seront associés à aucun nom mais seront plutôt groupés dans de grandes catégories afin de protéger l'anonymat de chaque répondant). De plus, vous êtes entièrement libre de participer ou non au sondage. Il est géré par Les Associés de recherche Ekos en conformité avec la Loi sur la protection des renseignements personnels. Pour consulter notre politique de confidentialité, cliquez ici. Cette recherche est enregistrée auprès du service de vérification des recherches du Conseil de recherche et d'intelligence marketing canadien. Veuillez cliquer ici si vous souhaitez vérifier son authenticité (code du projet 20240129-EK775).

Directives

Sur chaque écran, après avoir sélectionné votre réponse, cliquez sur le bouton « Continuer » au bas de l'écran pour avancer dans le questionnaire.

Le sondage prend environ 10 minutes à compléter. Si vous quittez le sondage avant d'avoir terminé, vous pourrez y revenir plus tard au moyen de l'adresse URL et vous obtiendrez la page où vous étiez en quittant. Les réponses que vous aurez données jusque-là auront été sauvegardées.

Pour toute question sur la façon de répondre au sondage, veuillez téléphoner à Ekos, au 1-866-211-8881, ou par courriel, à l'adresse online@ekos.com. Nous vous remercions d'avance pour votre participation.

Introduction par téléphone

Bonjour. Je m'appelle [nom de l'intervieweur] et je travaille pour Les Associés de recherche Ekos. Pourrais-je parler à [nom du répondant]?

Nous réalisons un sondage auprès des Canadiens de 12 ans et plus. Le sondage permettra de réunir des opinions au sujet de les gangs et la violence armée au Canada. Je tiens à vous assurer que nous ne vendons ni ne sollicitons quoi que ce soit. Préférez-vous répondre aux questions du sondage en français ou en anglais?/Would you prefer to be interviewed in English or French?

Le sondage prend environ 15 minutes à compléter. Vous êtes libre de participer ou non et toutes vos réponses demeureront confidentielles et anonymes. Ce sondage est géré en conformité avec les exigences de la Loi sur la protection des renseignements personnels. Les résultats ne seront pas communiqués de façon individuelle, mais pour des groupes de 20 personnes ou plus afin de protéger la confidentialité. Votre décision à cet égard n'aura aucune incidence sur vos éventuels rapports avec le gouvernement du Canada. Cette recherche est enregistrée auprès du service de vérification des recherches du Conseil de recherche et d'intelligence marketing canadien (Si on demande : Visitez https://canadianresearchinsightscouncil.ca/rvs/home/?lang=fr si vous souhaitez vérifier son authenticité (code de projet 20240129-EK775)).

Puis-je commencer?

Politique de confidentialité

Cet appel peut être enregistré pour contrôle de la qualité ou formation.

QPROV

Quelle est votre province/territoire de résidence?

QAGEX

Quelle est votre année de naissance?

QAGEA

Avez-vous au moins 12 ans?

QAGEB

Avez-vous au moins 18 ans?

QAGEY

À quelle catégorie d'âge appartenez-vous?

QAGEMIX

Calcul de l'âge

QGENDR

Quelle est votre genre?

QPARENT

Dans le sondage, il y a aussi quelques questions qui s'adressent aux parents. Êtes-vous un parent, un(e) tuteur(trice) ou un(e) gardien(ne) d'un(e) enfant?

QPARENTB [1,7]

Quel est l'âge du ou des enfants ou jeunes dont vous êtes un parent, un(e) tuteur(trice) ou un(e) gardien(ne)?

Choisissez toutes les réponses pertinentes

QINFLUENCER

Avez-vous agi comme bénévole, entraîneur(se), enseignant(e), mentor(e) ou conseiller(ère) auprès d'enfants ou de jeunes de moins de 21 ans?

QSUPPORT

Offrez-vous du soutien ou des conseils à une personne de moins de 21 ans à d'autres titres? Vous pouvez le faire en tant que membre de la famille, en tant qu'ami(e) proche de la famille ou en tant que voisin(e).

Q8

Ce sondage examine la connaissance, la compréhension et les perceptions au sujet des activités des gangs et de la violence liée aux armes à feu. Ayez l'assurance que tous vos points de vue demeureront strictement confidentielles et ne serviront en aucun cas à vous identifier.

À quel point êtes-vous préoccupé(e) par le fait que les gangs et la violence liée aux gangs constituent une menace pour la sécurité publique dans votre collectivité locale?

Q9

À quel point êtes-vous préoccupé(e) par le fait que les gangs et la violence liée aux gangs constituent une menace pour la sécurité publique à l'extérieur de votre collectivité locale?

Q10

À quelle fréquence entendez-vous parler de gangs et de violence liée aux gangs dans votre collectivité locale?

Q11

À quelle fréquence entendez-vous parler de gangs et de violence liée aux gangs à l'extérieur de votre collectivité locale?

Q12 [1,11]

De quelle(s) source(s) entendez-vous parler de gangs et de violence liée aux gangs dans votre collectivité?

Choisissez toutes les réponses pertinentes

[Version pour téléphone] Intervieweur : Lire la liste

Q13 [1,12]

Pourquoi pensez-vous que la plupart des gens se joignent à des gangs?

Choisissez toutes les réponses pertinentes

[Version pour téléphone] Intervieweur : Lire la liste

Q14 [1,2]

Quelles sont les deux activités que vous associez le plus aux gangs?

Choisissez-en deux

[Version pour téléphone] Intervieweur : Lire la liste

PREQ15

À quel point êtes-vous d'accord ou en désaccord avec les énoncés suivants concernant les gangs au Canada?

Q15A

Les gens se joignent à des gangs parce qu'ils sentent qu'ils doivent le faire.

Q15B

Tous les gangs sont mauvais.

Q15C

Le Canada a un problème de violence liée aux gangs.

Q15D

Le Canada a un problème de violence liée aux armes à feu.

Q15E

Porter une arme à feu est dangereux.

Q15F

Les médias (télévision, films, musique, etc.) rendent attrayant le style de vie des gangs.

Q15G

Les médias sociaux rendent attrayant le style de vie des gangs.

Q16

Est-ce que vous ou une personne proche de vous avez été touché(e) par la violence liée aux gangs (activité criminelle, drogues, violence liée aux armes à feu, etc.)?

Q17

Comment évalueriez-vous le rendement du gouvernement du Canada lorsqu'il s'agit d'adopter des mesures (p. ex., politiques, programmes) visant à lutter contre la violence liée aux gangs?

PREQ18

À quel point êtes-vous favorable ou défavorable à chacune de ces mesures visant à lutter contre les crimes et la violence liés aux gangs?

Q18A

Imposer des restrictions sur la vente, sur l'achat et sur le transfert d'armes de poing

Q18B

Adopter une loi « drapeau rouge » qui permettrait à n'importe qui d'envoyer une demande aux tribunaux pour confisquer immédiatement les armes à feu à toute personne qui constitue un danger pour elle-même ou pour autrui

Q18C

Adopter une loi « drapeau jaune » qui permettrait à un contrôleur des armes à feu de suspendre temporairement le permis d'armes à feu de toute personne qui constitue un danger pour elle-même ou pour autrui

Q18D

Investissements visant à soutenir la réinsertion et à réduire la récidive

Q18E

Investissements dans les provinces, les territoires, les municipalités et les collectivités autochtones pour financer des programmes de prévention du crime et d'application de la loi

Q18F

Investissements visant à soutenir des initiatives d'application de la loi aux frontières

Q18G

Modifications aux lois et aux réglementations

Q19

Vous sentez-vous en sécurité dans votre collectivité (émotionnellement ou physiquement)?

Q20

Vous sentez-vous en sécurité à votre école (émotionnellement ou physiquement)?

Q21

Pouvez-vous indiquer ce qui vous fait vous sentir en danger dans votre collectivité?

Q22 [1,6]

À qui parleriez-vous si vous vous sentiez en danger dans votre collectivité? [Version pour téléphone] Est-ce que vous parleriez à... (Intervieweur : Lire la liste)>

Choisissez toutes les réponses pertinentes

[Version pour téléphone]

PREQ23

Avez-vous déjà ressenti de la pression de la part de vos ami(e)s ou de vos pairs pour faire l'une des activités suivantes?

Q23A

Vol

Q23B

Consommation de drogue

Q23C

Ventre de drogue

Q23D

Port d'une arme (revolver, couteau, etc.)

Q23E

Adhésion à un gang

Q23F

Intimidation ou cyberintimidation

Q23G

Participation à une activité sexuelle

Q23H

Violence physique

Q23I

Distribution d'images intimes sans consentement

Q24

Quelqu'un vous a-t-il déjà parlé des risques et des préjudices liés aux gangs?

Q25 [1,6]

Qui vous a parlé des risques et des préjudices liés aux gangs? [Version pour téléphone] Était-ce... (Intervieweur : Lire la liste)>

Choisissez toutes les réponses pertinentes

Q26 [1,8]

Quelles sont les activités que vous faites le plus souvent après l'école?

Choisissez toutes les réponses pertinentes

Q27

Avez-vous déjà parlé à un(e) enfant des risques et des préjudices liés aux gangs?

Q28 [1,9]

Où iriez-vous pour obtenir des ressources sur la façon de soutenir un(e) enfant qui risque de se joindre à un gang?

Choisissez toutes les réponses pertinentes

Q29

À quel point avez-vous entendu parler de ressources et programmes offerts qui peuvent aider les jeunes à risque et prévenir leur adhésion à un gang?

Q30

À votre avis, à quel point les programmes destinés aux jeunes (comme les sports et les activités, les programmes parascolaires, le mentorat, la sensibilisation communautaire, etc.) sont-ils efficaces pour garder les enfants loin des gangs?

Q31 [1,3]

Avez-vous déjà participé à un programme pour les jeunes (sports et activités, programmes parascolaires, mentorats, sensibilisation communautaire, etc.) ou inscrit un(e) enfant à un tel programme?

Choisissez toutes les réponses pertinentes

Q32 [1,5]

À quels programmes pour les jeunes avez-vous participé ou inscrit un(e) enfant?

Choisissez toutes les réponses pertinentes

Q33 [1,10]

Qu'est-ce qui vous a empêché de participer à un programme pour les jeunes ou d'y inscrire un(e) enfant?

Choisissez toutes les réponses pertinentes

[Version pour téléphone] Intervieweur : Lire la liste

PREQ36

À quel point êtes-vous d'accord ou en désaccord avec les énoncés suivants :

Q36A

Ma famille est très préoccupée par l'argent.

Q36B

Il y a des endroits dans mon quartier pour passer du temps ou pour socialiser qui sont gratuits et faciles d'accès.

Q36C

Les médias sociaux vous donnent un aperçu précis et honnête sur la vie des autres.

QEDUC

Pour terminer, nous n'avons que quelques questions vous concernant à des fins statistiques uniquement. Soyez assuré que vos réponses demeureront entièrement confidentielles.

Laquelle des catégories suivantes représente le plus haut niveau de scolarité que vous ayez terminé?

[QAGEMIX = 1,2,3]

[QAGEMIX = 1,2,3]

QBORN

Êtes-vous né(e) au Canada ou dans un autre pays?

QBORNB

Quand êtes-vous déménagé(e) au Canada?

QMINOR [1,6]

Le cas échéant, à quels groupes parmi les suivants vous identifiez-vous?

Choisissez toutes les réponses pertinentes

[Version pour téléphone] Intervieweur : Lire la liste

QETHN [1,2]

Laquelle des catégories suivantes décrit le mieux votre origine ethnique ou votre nationalité?

Choisissez deux réponses au maximum :

QINC

Laquelle des catégories suivantes décrit le mieux la somme des revenus de votre foyer, incluant les revenus de toutes les personnes de votre foyer, avant impôts?

Veuillez sélectionner une seule réponse:

[QAGEMIX = 1,2]

QAREA

Laquelle des catégories suivantes décrit le mieux votre lieu de résidence?

[QAGEMIX = 1,2]

QYOUTHREC

Nous vous remercions de votre participation à ce sondage!

Nous aimerions également inviter [QPARENT = 1 et QPARENTB = 3,4,5,6] votre enfant âgé de 12 à 24 ans [Sinon] un jeune dont vous subvenez aux besoins qui est âgé de 16 à 20 ans à participer à ce sondage en ligne. Comme nous l'avons souligné au début, ce sondage est entièrement volontaire, et il sera possible de le quitter à n'importe quel moment. Si le répondant ne répond pas à la totalité du sondage, les réponses sa fournies ne seront pas conservées. S'il répond à toutes les questions du sondage, ses réponses ne seront jamais associées à son identité ou à ses coordonnées. Il peut aussi choisir de passer les questions auxquelles il ne souhaite pas répondre.

[QPARENTB not = 3,4] Notez que vous pouvez choisir de faire envoyer l'invitation au sondage avec le lien de participation à votre propre adresse courriel (que vous pouvez ensuite transférer à la personne concernée) ou notre équipe de recherche peut lui envoyer directement. Si l'adresse de courriel d'un jeune est fournie, elle ne sera utilisée que pour ce sondage. Elle sera définitivement supprimée après la collecte des données du sondage. Elle ne sera pas utilisée à d'autres fins ni fournie à quiconque en dehors de l'équipe de recherche Ekos/Probit.

Les participants recevront un code cadeau de dix dollars d'Amazon en guise de remerciement.

[QPARENT = 1 et QPARENTB = 3,4,5,6] Il est important que votre enfant ait la possibilité de remplir le sondage sans aide. Veuillez donner à votre enfant le plus d'intimité possible pendant qu'il répond au sondage. Si votre enfant n'est pas certain de savoir comment répondre à une question, encouragez-le à choisir la meilleure réponse possible. Sinon, la question peut être ignorée.

[QPARENT = 1 et QPARENTB = 3,4] Consentez-vous à ce que votre enfant participe à ce sondage et à nous aider à informer votre enfant de ce sondage afin qu'il puisse choisir d'y participer ou non? [Sinon] Acceptez-vous de nous aider à informer [QPARENT = 1 et QPARENTB = 3,4,5] votre enfant [Sinon] ce jeune de ce sondage afin qu'il puisse choisir d'y participer ou non?

[QPARENTB not = 3,4]

Merci

[QYOUTHREC = 1,2] Merci, le courriel d'invitation au sondage a été envoyé. Voilà toutes les questions que nous avions à vous poser. Merci d'avoir pris le temps de répondre à notre sondage. Nous vous en sommes très reconnaissants. Vos réponses ont été enregistrées et vous pouvez maintenant fermer la fenêtre de votre navigateur.

THNK2

Éliminé

Malheureusement, sur la base de vos réponses, vous n'êtes pas admissible à participer à ce sondage. Merci de nous avoir accordé de votre temps!